OVNIS : la quête d’une syntaxe de connexion

Publié le 19/11/2014|

Philippe SOLAL, Professeur agrégé de Philosophie
 
Si le monde perçu (matériel) est bien le produit d’une  « lecture » par la conscience de l’information (0-1) qui est le fondement de la réalité, couplée à une énergie fondamentale, comme le conjecture la physique digitale, cela implique qu’il y ait nécessairement, comme interface entre l’information et l’énergie, un langage qui s’adresse à la conscience.
 
 
Ce langage à trouver est l’équivalent du javascript ou de toute autre forme de langage informatique structuré permettant l’émergence des formes à partir des unités de base que sont les 0 et les 1  (le vide et le plein), exactement comme nous-mêmes avons réussi à faire émerger les images, les couleurs et les sons à partir de séquences composées de bits c’est-à-dire de suites de 0 et de 1, grâce à un langage structuré.

Il nous faut découvrir une syntaxe, un code, un type de langage qui permette la connexion entre les « mondes phénoménaux », puisque nous pressentons que c’est par le truchement d’un tel langage que les OVNI interfèrent dans notre propre réalité phénoménale.
 
Il doit exister une « partition cosmique » qui permette le contact au sein de ce web cosmique ou de cette « noosphère », sans passer par la médiation d’un déplacement par les voies de  l’espace et du temps, un langage qui, de manière non-locale,  instaure la communication entre les consciences et les mondes qu’elles portent avec elles,  à travers l’information.
 
La découverte d’une telle syntaxe, si elle existe, nous rendrait enfin actifs vis-à-vis du phénomène OVNI et non plus simplement passifs, les sujets passifs d’un phénomène qui a constamment le contrôle sur nous et sur les moments où il se manifeste à  nous.

 
Bien que le Rapport CARET  (affaire liée aux drones californiens) invite à la plus grande prudence quant à une possible manipulation, le contenu de ce rapport cadre avec les conclusions de nos propres investigations. Si l’on suit cette ligne, cela signifierait que le contenu de ce Rapport révèle des « procédés » parfaitement exacts.

L’intégralité de ce Rapport peut-être consulté ICI

Dans ce passage est évoquée l’idée d’un système de symboles capable de « s’auto-exécuter sous l’action d’un champ très spécifique ».

La similitude entre certaines figures géométriques du Rapport CARET et certains crops-circles (voir ci-dessous), nous autorise à émettre une hypothèse qui n’a vraiment de sens que si le Rapport CARET n’est pas une manipulation grossière:

Se pourrait-il que les crops-circles soient les éléments de ce langage pressenti qui permet aux intelligences cachées derrière le phénomène OVNI de se « connecter » à notre réalité phénoménale ? Dans l’affirmative, nous n’aurions qu’une toute petite partie de la réponse, car nous sommes à la recherché d’une syntaxe et non simplement d’un alphabet.

 
La réflexion sur la syntaxe qui permet aux intelligences du « web cosmique » de se connecter à nous est la dernière étape  de la voie de recherche que nous proposons.  Nous n’irons pas plus loin dans notre investigation car nous estimons que nous n’avons pas assez d’éléments pour formuler des hypothèses découlant strictement des cadres de la physique de l’information.
 
Philippe Solal
Agrégé de philosophie

 

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