Mutilations animales

Les mutilations animales ont souvent été associées au dossier des Ovnis ainsi qu’à de multiples légendes, telles que le mythe du Chupacabra qui veut dire en espagnol  » suceur de chèvres « .

La créature est décrite comme ayant une tête de forme ovale avec une mâchoire proéminente. Elle posséderait deux gros yeux rouges, deux petits trous pour les narines, et une petite bouche avec des crocs saillants vers le haut et le bas. 
Elle serait couverte de poils noirs et posséderait deux petits bras, avec des mains à trois doigts, terminés par des griffes, ainsi que deux jambes à trois griffes.

Le Chupacabra fait partie de la culture populaire dans toute l’Amérique latine depuis 1992, notamment au Mexique et sur l’île de Porto Rico. On aurait rapporté sa présence dans certains lieux des États-Unis et du Canada (l’Alberta et le Saskatchewan).
L’animal se nourrirait en suçant le sang des animaux de ferme comme les chèvres ou les vaches en faisant des trous parfaitement circulaires dans le cou jusqu’au cervelet tuant l’animal en ne provoquant aucune souffrance.
Les animaux mutilés sont retrouvés avec de petits trous parfaitement circulaires mesurant environ 0,6 à 1,25 centimètre.
Cette hypothèse semble néanmoins farfelue pour expliquer les mutilations de bétails.
Comment expliquer que dans des domaines du Sud des États-Unis, des mutilations animales sont répertoriés en masse par les autorités et des éleveurs sans que l’on ait signalé la moindre description d’une quelconque créature étrange ?
Sectes sataniques ? Expériences de l’armée ? Ovnis ?

La manière d’opérer ces actes reste néanmoins mystérieuse.
Environ 10000 à 20000 victimes animales ont été recensées depuis 1967 aux États-Unis.
Le sud-ouest des États-Unis et le nord du Nouveau-Mexique sont le plus souvent les théâtres de ces mutilations.
Les bêtes sont retrouvées mortes et mutilées, et des membres sont souvent prélevés avec une certaine précision chirurgicale. Les incisions sont franches et nettes sur les cavités corporelles. On constate d’une manière récurrente un vidage du corps.
Il s’agit pour la plupart des cas du même mode opératoire.

Selon une étude financée par le Texas Agriculural Extension Services, le Texas Agricultural Experiment Station et le Texas A. & M. University System, sous l’égide de l’United States Fish and Wildlife Service, aucun prédateur animal n’a la capacité de causer des lésions aussi rectilignes et lisses que celles pouvant être réalisées par des couteaux, scalpels, etc ; et les animaux n’ont ni l’intelligence, ni le moyen physique pour agir de cette manière.

On remarque dans certains cas des décompositions rapides de cadavres.
Aucune trace de luttes, de pats, de sang ni de tissus n’est retrouvée sur les lieux, et les morts seraient brusques.
Les yeux seraient arrachés, de même pour les tissus autour des yeux et la langue ainsi que le tissu rectal vidé (dans environ 95% des cas). Les organes sexuels sont le plus souvent prélevés.
De nombreuses carcasses ont été retrouvées loin des lieux où se trouvent habituellement les animaux. Les animaux semblent écrasés au sol, comme s’ils avaient été précipités d’une certaine hauteur. 
Ce qui expliquerait le fait qu’ils aient les os brisés.
Après des analyses, on aurait relevé un taux de potassium 70 fois supérieur à la normale.
De plus, le sang de ces bêtes mutilées serait comme grillé, donc soumis à une très forte température.

Durant les périodes de mutilations, des témoins auraient aperçu dans les alentours des lumières étranges dans le ciel.
Des hélicoptères noirs sont aussi souvent aperçus au moment où chacun de ces incidents eut lieu.
Dans les années 1970, les éleveurs tiraient même sur les hélicoptères.
Il pourrait s’agir d’hélicoptères silencieux Top Secret avec un dispositif anti bruit, nommé NOTAR. 
NOTAR (NO Tail Rotor) est une formule de dispositif anticouple pour hélicoptères mise au point par McDonnell Douglas. Elle consiste à prélever les gaz d’échappement de la turbine, à les amener en bout de poutre de queue, pour compenser le couple du rotor principal. 
Ce système est intéressant, car il permet d’économiser une partie de la puissance mécanique normalement prélevée par un rotor anticouple.
Des solutions comparables avaient été testées dans les années 1940 sur le Cierva W-9, le Hiller J-5 et dans les années 1950 sur l’Aerotecnica AC-12 « Norelfe » .

Il faut savoir que près de ces lieux où les mutilations animales ont été les plus fréquentes, on a des installations militaires, par exemple la base de force aérienne de Kirtland à Albuquerque au Nouveau-Mexique, d’où décolleraient les hélicoptères responsables de ces expériences sur le bétail.
On accuse l’armée d’utiliser des lasers chirurgicaux lors de ces interventions sur les animaux.
Des soupçons pèsent aussi sur l’institut national d’exploration scientifique de Las Vegas qui serait une devanture de la CIA avec un budget colossal. Ils entreprendraient des missions clandestines et posséderaient des résultats non divulgués.
Vous devez bien vous poser la question de savoir pourquoi ?

Pourquoi l’armée aurait intérêt à cacher tout cela ?

Alamogordo fut dans les années 40 la zone d’essai nucléaire où la bombe Trinity (nom de code du premier essai atomique de l’histoire) avait explosé.
Le Sud du Colorado fut aussi le théâtre d’explosions nucléaires secrètes.
On constata des retombées radioactives sur le sud-ouest des États-Unis, soit environ 10000 kilotonnes sur le Nouveau-Mexique, le Nevada et le Colorado.
Le gouvernement aurait contrôlé secrètement les effets des radiations (Secret Défense).
 » Dans le cadre des projets noirs, il y eut le  » Projet Gasbuggy  » qui n’était qu’une simple expérience et qui eut lieu à 1300 mètres de profondeur au lieu-dit du bassin de San Juan dans un secteur du Nouveau-Mexique. Le 10 décembre 1967 un dispositif nucléaire de 26 kilotonnes a explosé dans un puits fermé.
Il y eut ensuite le  » Projet Rulison  » le 10 septembre 1969 à Rifle dans le Colorado où l’on fit exploser une masse de 40 kilotonnes à 2500 mètres de profondeur.
Ces utilisations d’explosifs nucléaires avaient pour origine la construction de ports, de barrages, d’autoroutes,…
Tout cela s’effectuait suite à la création du CEA (Commissariat de l’Energie Atomique) qui fut à l’origine du  » Projet Plowshare  » dans le cadre d’une utilisation pacifique d’explosifs nucléaires « .

Ces zones citées ci-dessus furent principalement les théâtres de ces mutilations.
L’armée aurait peut-être pour objectif de contrôler biologiquement les animaux qui broutent sur ces sites et ainsi vérifier les taux de contaminations. 
Ils effectueraient donc des prélèvements aléatoires d’animaux dans les zones potentiellement contaminées.
Il faut aussi noter la présence de mines d’uraniums dans le Colorado et le Nouveau-Mexique ainsi que la présence de deux grands laboratoires nucléaires au nord du Nouveau-Mexique.

Le gouvernement américain sait sans doute ce qui se passe même si diverses enquêtes du ministère public ont été menées dans tous les États du Sud Ouest des États-Unis.

Quant à l’hypothèse des sectes sataniques ou d’interventions terrestres d’êtres humains, elle est complètement écartée étant donné l’absence totale d’une éventuelle présence humaine autour.
Pour en revenir à l’hypothèse du Chupacabra ou d’un éventuel prédateur issue d’une manipulation génétique, pourquoi les autorités laisseraient-elles faire ? 
Comment expliquer la présence, dans de très rares cas la présence de cercles de cultures près des lieux des mutilations animales ? Existe-t-il un prédateur doté d’une intelligence capable de concevoir de tels modèles sur le sol ou opérer d’une manière si discrète et précise sur des cadavres d’animaux ?
Je doute que même un tel mythe soit capable de crimes aussi parfaits que cela.

Beaucoup d’ufologues font immédiatement le parallèle avec une intelligence extraterrestre.
Je ne serai pas aussi catégorique. Rien ne prouve aujourd’hui cette hypothèse. 

Les récits de l’époque racontent que les Animaux (vaches, chevaux) étaient enlevés ou tués par les fées ou elfes. Tués au moyen de  » traits de l’elfe  » puis vider de leur sang.

On remarque une certaine évolution au niveau de l’interprétation de tels faits en fonction de l’époque et de l’esprit du temps.

L’hypothèse militaire reste pour moi la plus crédible, soit pour effectuer des recherches, soit pour désinformer l’opinion publique de manière à attirer les ufologues dans un piège de plus et ainsi les décrédibiliser.

Révélations sur les mutilations de bétails

Publié le 21/10/2013

Pendant des décennies, d’étranges lumières sont observées dans le ciel nocturne ainsi que des mystérieuses mutilations de bétails qui ont suscité des rumeurs comme par exemple la présence d’une base alienne sous-terraine près de la petite ville de Dulce, située dans le nord du Nouveau-Mexique et chef-lieu de la nation apache de Jicarilla.
 
Un nouveau livre intitulé « Dulce Base: the Truth and Evidence from the Case Files of Gabe Valdez » vise à résoudre le mystère. Il affirme que les êtres humains, et pas les aliens, sont derrière ces événements étranges. L’auteur du livre est Greg Valdez, fils de l’ancien officier de police de l’État du Nouveau-Mexique Gabe Valdez.
 
Après avoir pris connaissance de nouveaux documents récemment déclassifiés, Gabe Valdez a conclu que le gouvernement fédéral utilise Jicarilla pour effectuer des tests sur les effets de la pollution provoquée par les essais nucléaires ayant eu lieu dans les années 1960.
 
Greg Valdez affirme que cette contamination a été causée par une expérience appelée « Projet Gasbuggy » qui se serait produit à 21 miles au sud-ouest de Dulce, le 10 décembre 1967.
 
Ce projet a été réalisé par le Commissariat à l’énergie atomique américain, le « Lawrence Radiation Laboratory » et « El Paso Natural Gas Company », selon le livre.
 
Alors que le dispositif a explosé avec succès et que les puits de gaz ont été forés sur le site, le gaz s’est avéré finalement être trop radioactif pour un usage commercial.

 
Greg Valdez déclare que son père avait découvert que le gouvernement fédéral avait mené les mutilations de bétail afin de déterminer les effets des rayonnements de « Gasbuggy ».

 
« Ils testaient les bovins afin d’éviter la paniquer du public », a-t-il dit. « Ils ont été également mis à l’essai un type d’avion secret d’une base aérienne à proximité. L’avion était invisible et silencieux et utilisé à des fins de camouflage optique. Cette technologie a depuis été déclassifiée. »
 
Greg Valdez affirme que plusieurs agences gouvernementales et les entités militaires, telles que l’US Air Force, ont été fortement impliquées dans le cover-up. Il ajoute notamment que la CIA et la National Security Agency ont également participé aux affaires d’Albuquerque lorsque Paul Bennewitz a découvert des preuves relatives aux projets militaires secrets sur la base aérienne de Kirtland, et qui avait également des liens avec Dulce.
 
Pour protéger la confidentialité de leurs opérations, Gabe Valdez a appris que le gouvernement avait lancé une campagne de désinformation et a encouragé les rumeurs sur les ovnis et les extraterrestres.
 
En 1979, lorsque le gouvernement a réalisé que Gabe Valdez avait découvert la vérité sur l’origine de ces étranges événements, ils ont commencé à le surveiller ainsi que son fils. Il raconte que sa famille a même découvert des dispositifs d’écoute cachés dans leur maison.
 
Brooks Marshall qui est un passionné d’OVNI et un expert local sur le paranormal a pris connaissance de ces documents. Il a participé à de nombreux colloques et conférences sur la question.
 
Selon lui,  il existe une présence militaire secrète centrée autour de Dulce mais ne pense pas qu’elle explique les mutilations de bétail.
 
Il déclare que des organes spécifiques, tels que la langue et les appareils de reproduction ont été retirés des bovins. Les mutilations se produisent encore régulièrement, dit-il.
 
Marshall, qui a travaillé pour « El Paso Natural Gas », est familier du « projet de Gasbuggy » et prétend avoir travaillé avec les employés qui ont directement été impliqués. Il émet l’idée de campagnes de désinformation menées par les militaires pour détourner l’attention d’une éventuelle base souterraine et ne trouve pas foi en la théorie que les mutilations de bétail sont le résultat de tests du gouvernement dans le but de mesurer les effets radioactifs.
 
 » Il n’est pas logique que le gouvernement effectue des tests sur les bovins de cette façon » a-t-il dit. « Ce qu’ils ont tout simplement à faire pour tester les niveaux de radiation est de marcher jusqu’à la vache avec un compteur Geiger. « 

Avis de la rédaction d’Ovnis-Direct :

 
Alamogordo fut dans les années 40 la zone d’essai nucléaire où la bombe Trinity (nom de code du premier essai atomique de l’histoire) avait explosé.
Le sud du Colorado fut aussi le théâtre d’explosions nucléaires secrètes.

On constata des retombées radioactives sur le sud-ouest des États-Unis, soit environ 10000 kilotonnes sur le Nouveau-Mexique, le Nevada et le Colorado. Le gouvernement aurait contrôlé secrètement les effets des radiations (Secret Défense).
 » Dans le cadre des projets noirs, il y eut le  » Projet Gasbuggy  » qui n’était qu’une simple expérience et qui eut lieu à 1300 mètres de profondeur au lieu-dit du bassin de San Juan dans un secteur du Nouveau-Mexique. Le 10 décembre 1967 un dispositif nucléaire de 26 kilotonnes a explosé dans un puits fermé.

Il y eut ensuite le  » Projet Rulison  » le 10 septembre 1969 à Rifle dans le Colorado où l’on fit exploser une masse de 40 kilotonnes à 2500 mètres de profondeur.

Ces utilisations d’explosifs nucléaires avaient pour origine la construction de ports, de barrages, d’autoroutes,…
Tout cela s’effectuait suite à la création du CEA (Commissariat de l’Energie Atomique) qui fut à l’origine du  » Projet Plowshare  » dans le cadre d’une utilisation pacifique d’explosifs nucléaires « .

Ces zones citées ci-dessus furent principalement les théâtres de ces mutilations. L’armée aurait peut-être pour objectif de contrôler biologiquement les animaux qui broutent sur ces sites et ainsi vérifier les taux de contaminations. Ils effectueraient donc des prélèvements aléatoires d’animaux dans les zones potentiellement contaminées. Il faut aussi noter la présence de mines d’uraniums dans le Colorado et le Nouveau-Mexique ainsi que de deux grands laboratoires nucléaires au nord du Nouveau-Mexique.

Le gouvernement américain sait sans doute ce qui se passe même si diverses enquêtes du ministère public ont été menées dans tous les États du Sud-Ouest des États-Unis.

 

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