Valensole Juillet 1965

C’était le 1er Juillet 1965 dans un petit village du sud de la France nommé Valensole (capitale mondiale de la lavande), vers 5h45, près de la route d’Oraison. M. Masse, agriculture provençale, travaillait sur son champ de lavande lorsqu’il entendit un étrange sifflement. S’attendant à voir un hélicoptère, il aperçoit à 90 mètres de lui, à sa stupeur, un engin en forme de ballon de rugby ressemblant étonnement à une voiture d’époque. En s’approchant, l’agriculteur fait la rencontre de deux créatures de petite taille similaires à des enfants à l’apparence humaine, mais pas tout à fait. Lorsqu’il se trouve à environ 10 mètres d’eux, ils pointèrent vers lui une espèce de « tubes » qui le paralysa jusqu’à la fin de l’observation. Ils ne paraissaient pas méchants, mais plutôt amusés en regardant M. Masse.

C’est alors que les deux êtres se seraient mis à communiquer à l’aide de sons étonnants avant de s’envoler à bord de leur engin, avec le même sifflement que lors de l’atterrissage, et de disparaître furtivement. Il n’y avait ni fumée ni poussière soulevée par cet engin.

Différentes traces et notamment un trou rond d’une trentaine de centimètres de profondeur furent observées à l’endroit de l’atterrissage de ce supposé objet. Le sol resta très dur durant longtemps, de même pour l’herbe qui est restée un bon moment avant de repousser.
D’après ce qu’on peut lire sur cette affaire dans le rapport Cometa, « le long de l’axe de fuite de l’objet, sur une centaine de mètres, les plans de lavandes étaient desséchés. Ce phénomène dura des années au cours desquelles le témoin essaya vainement de planter des plants dans un rayon de quelques mètres autour de la trace « .

L’agriculteur se rendit plus tard à Valensole où il raconta ce qui lui était arrivé, et en mettant de côté les faits qu’il considérait trop insolites de peur du ridicule. C’est plus tard qu’il raconta aux gendarmes la vraie version.
Suite à ces événements, M. Masse développa des troubles psychologiques durant des semaines (il dormit douze à quinze heures par nuit), et aurait même quitté la ville étant donné qu’il semblait agacé par les médias et par ce qu’il semblait vivre.

À partir du 3 juillet, les journaux parlent de la « soucoupe volante de Valensole ». La plupart émettent l’hypothèse d’un hélicoptère Alouette II ou III.
Des similitudes ont été constatées entre ce cas et celui de Socorro dans le Nouveau-Mexique.
Des ufologues tels qu’Aimé Michel, Jimmy Guieu ou Jacques Vallée plus tard, se sont intéressés à cette affaire.

Aimé Michel dit :  » si le témoin a inventé la chose, il a inventé quelque chose de tout à fait conforme à ce que l’on sait déjà, en particulier de tout fait conforme à une observation faite l’année dernière aux États-Unis dans un endroit qui s’appelle Soccoro « .

Quant au fait qu’il puisse s’agir, selon les autorités, d’un hélicoptère ou pas, on a beaucoup d’éléments contradictoires à ce sujet même s’il existe, près du lieu des faits, une base d’hélicoptère.

Près des lieux de l’atterrissage de l’Ovni de Valensole, il y aurait des antennes radars émettant des champs de micro-ondes qui auraient pu affaiblir l’appareil obligé de se poser.
Et les deux occupants, se sentant peut-être agressés, auraient pu vouloir se défendre à l’aide de leur fameux tube. Mais ce ne sont que des suppositions.

 

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