Publié le 10/03/2019 | Daniel Robin
Un immense ovni triangulaire de 150 mètres de long sur 6 mètres de hauteur à été vu près des installations du LHC situées dans la zone frontalière entre la France et la Suisse.
Reconstitution du triangle noir à partir d’un croquis du témoin. « Je pouvais distinguer sur les bords du triangle, c’est-à-dire sur sa hauteur, qui était au moins de 6 mètres, des formes étranges, mais très belles, qui ne ressemblaient à rien de connu (récit du témoin). » Illustration Patrick Nahon – Instagram
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En préambule, je signale que le témoin décrit des faits qui se sont déroulés le jeudi 4 mai 2016 (jour de son anniversaire : il est né le 4 mai 1982) entre 22h et 22h30. Pour des questions de discrétion, le témoin principal est désigné par « Monsieur G ». La durée de l’observation est de 3 minutes environ. Les conditions météorologiques étaient bonnes : ciel dégagé, pas de vent. Le type d’ovni observé : un grand triangle noir avec plusieurs feux qui correspond dans notre classification à la catégorie 4 : les triangles à feux multiples (« Type TFM »). Les dimensions estimées de l’engin : 150 mètres de large sur 6 mètres de hauteur.
Le récit du témoin :
« Ce soir-là, ma compagne et moi (le témoin, Monsieur G., est aujourd’hui séparé de cette compagne) sortions d’un restaurant vers 22h.
Sur la route de retour en direction de mon domicile, nous avons emprunté la déviation D884.
Peu après avoir passé la sortie de Saint-Jean-de-Gonville (01630, département de l’Ain), j’ai vu une sorte d’« avion » qui semblait en approche de l’aéroport de Genève situé pas très loin d’où nous étions.
Cependant, plus nous avancions, et moins ce que nous observions, ma compagne et moi, ressemblait à un « avion ». C’était plutôt une sorte de « drone » qui était bizarre.
Ce « drone » avait des proportions hallucinantes, gigantesques.
Quand nous sommes arrivés à la hauteur de l’engin, nous nous sommes arrêtés sur le bas-côté de la route sur la droite peu avant la sortie de Challex (01630, département de l’Ain).
Nous avons alors vu un autre véhicule qui était arrêté devant nous, et à l’extérieur, il y avait une personne qui observait le même engin depuis la route. L’engin était maintenant en position stationnaire au-dessus de la forêt qui était sur notre gauche.
Nous avons alors compris que ce n’était ni un « avion », ni un « drone », mais une sorte de vaisseau triangulaire qui avait des dimensions impressionnantes.
Il était immobile. Il volait à très basse altitude à quelques mètres seulement au-dessus des arbres de la forêt qui borde la D884.
Il était totalement silencieux.
Nous n’entendions aucun son provenir de l’engin.
Selon moi, il était fait d’une matière qui ressemblait à du métal* (note).
Sa surface était solide. C’était magnifique.
Je pouvais distinguer sur les bords du triangle, c’est-à-dire sur sa hauteur (épaisseur), qui était au moins de 6 mètres, des formes étranges, mais très belles, qui ne ressemblaient à rien de connu.
L’ovni triangulaire mesurait environ 150 mètres de long avec une épaisseur d’au moins 6 mètres. Sa hauteur était égale à celle des arbres.
Il y avait des petites lumières de couleur bleue et rouge aux extrémités de chaque angle.
Je n’ai perçu aucun son de moteur ou de turbine.
Les arbres ne bougeaient pas.
Je confirme qu’il n’y avait aucun bruit : silence total.
Après avoir longuement observé l’engin, il s’est alors doucement déplacé en direction de l’aéroport de Genève jusqu’à disparaître totalement de notre vue.
C’était comme s’il glissait dans le ciel.
J’ai alors décidé de redémarrer ma voiture pour aller à sa poursuite.
J’avais envie de le revoir et j’ai emprunté la sortie de Challex.
Celle-ci longe la forêt et allait en direction de l’ovni.
Mais en vain, nous n’avons pas pu le retrouver, ni le voir.
Je signale que nous n’avons jamais retrouvé l’automobiliste inconnu qui était avec nous ce soir-là.
C’est étrange, car nous n’avons pas eu la présence d’esprit d’aller à sa rencontre sur le moment.
Je me souviens qu’il était seul, hors de sa voiture, et qu’il regardait l’ovni.
Il semblait captivé par ce qu’il voyait.
Mais aucun signe distinctif, ni aucun autre détail me reviennent en mémoire concernant cette personne, tant la présence de l’ovni était fascinante.
Cela fait presque trois ans qui se sont écoulés depuis cette observation, mais je garde en mémoire beaucoup de détails qui me semblent importants à vous signaler et à vous communiquer. »
* (note) : Il est important de noter que le témoin a décrit la surface de l’ovni triangulaire en disant qu’elle ressemblait en partie à la surface d’une météorite. Elle avait donc un aspect minéral. C’est un matériau que le témoin connaît bien puisqu’il l’utilise dans son métier (il travaille pour un bijoutier). Cette surface était donc, selon lui, à la fois métallique et minérale. C’était une sorte de mélange des deux en quelque sorte.
S’il fallait dresser une sorte de « portrait robot » de l’engin observé par notre témoin, il nous faudrait tout d’abord insister sur ses performances de vol qui sont exceptionnelles. Si nous considérons les dimensions de l’engin qui sont estimées à 150 mètres de long sur 6 mètres de hauteur, nous voyons que nous sommes en présence d’une masse très importante qui peut être estimée à plusieurs centaines de tonnes environ. Cette estimation de la masse est d’autant plus plausible que, selon le témoin, l’engin semblait « usiné » d’un seul bloc dans une matière à la fois métallique et minérale, donc très lourde a priori. Ce qui pose le plus de questions, c’est le fait qu’un engin ayant une telle masse puisse rester en vol parfaitement stationnaire (donc sans mouvement aléatoire d’oscillation) pendant plusieurs minutes sans émettre le moindre bruit, sans dégager aucune chaleur, ni produire aucun souffle. Le témoin se souvient que le triangle se tenait à deux ou trois mètres au-dessus d’une rangée d’arbres et que ces derniers n’ont pas bougé (aucun mouvement de branches ou de feuilles). Tout était calme, immobile et silencieux. Aucun engin terrestre fabriqué par l’homme n’est capable d’une telle prouesse. Elle suppose la mise en œuvre d’une physique et d’une technologie qui pour le moment nous sont totalement incompréhensibles.
Un autre point remarquable concernant les performances de vol exceptionnelles du triangle est tiré du récit du témoin : « l’engin s’est éloigné de nous comme s’il glissait dans l’air. » Ce n’est pas la première fois qu’un témoin fait cette remarque à propos des triangles. Pour ma part, j’ai toujours été étonné par l’emploi du verbe glisser pour rendre compte de ce que voyaient les témoins. Un avion, par exemple, ne glisse pas dans l’air : il est porté par l’air qui s’engouffre sous ses ailes. La nuance est importante, car elle suggère la mise en œuvre d’une technologie de vol qui n’a rien à voir avec les principes de l’aérodynamique appliqués aux avions.
Mais le plus impressionnant, sans doute, est ce que le témoin nous a dit concernant l’ambiance qui régnait au moment de l’observation. Il n’y avait plus aucun bruit, c’était le silence total. Le témoin se souvient : « nous étions sur une 2×2 voies qui est toujours très fréquentée. Il y passe constamment des véhicules. Or, pendant tout le temps de l’observation, nous n’avons vu aucun véhicule passer sur cette route (la D884). La circulation était comme suspendue ». C’est un fait qui est souvent signalé par les témoins qui sont en présence d’un ovni de forme triangulaire. C’est ce que j’appelle l’isolement sensoriel ou le « Facteur Oz » qui correspond à une période de temps pendant laquelle les témoins font mention d’une modification dans la perception qu’ils ont de l’espace et du temps. C’est comme s’ils se trouvaient soudain à l’intérieur d’une « bulle ». Si le témoin est dans une rue très fréquentée d’un centre-ville par exemple, il ne perçoit plus le bruit de la circulation et il éprouve même la sensation d’être seul. Un silence total s’installe brusquement lors du passage du triangle. Pour le témoin, c’est comme s’il se trouvait « ailleurs ». Il voit l’ovni et il est toujours dans le même environnement, mais l’activité qui régnait dans cet environnement a totalement changé. C’était comme si il n’y avait plus de voiture, plus de piéton, plus de bruit de moteur, plus de klaxon, et comme si le temps était suspendu. Dès que l’ovni s’éloigne, tout redevient normal. Le témoin perçoit à nouveau l’activité qui régnait avant son observation. Dans la littérature ufologique ce phénomène est appelé « Facteur Oz », en référence au roman pour enfant intitulé Le Magicien d’Oz écrit par l’auteur américain Lyman Frank Baum et publié aux États-Unis en 1900. L’histoire raconte les aventures d’une petite fille et de son chien qui sont enlevés avec leur maison par une tornade et transportés dans un pays merveilleux appelé Oz. Ce pays fantastique est isolé du reste du monde par un désert dangereux. Les habitants de ce pays magique sont appelés le « peuple des fées ».
Si nous tenons compte de l’ensemble des caractéristiques de vol du triangle que je viens d’évoquer, ainsi que l’effet « silence total », et le fait que l’environnement semble « figé » en présence de l’ovni, peut-être faut-il envisager la possibilité que tous ces phénomènes étranges soient générés par ce que, faut de mieux, j’appelle le « système de propulsion » de l’ovni. J’avance en effet l’hypothèse que ce mystérieux « système de propulsion », sans doute couplé à une source d’énergie inconnue, est capable de modifier localement la trame de l’espace/temps. L’« ambiance figée », la sensation d’isolement sensoriel et le « silence total », qui sont des faits souvent rapportés par les témoins, pourraient selon moi s’expliquer par cette déformation locale de l’espace/temps.
Sans entrer dans des considérations trop techniques, je rappelle brièvement que pour Einstein, le mouvement d’un corps n’est pas déterminé par des forces, mais par la configuration de l’espace-temps. Exemple : selon Newton la Terre tourne autour du Soleil parce que celui-ci exerce une force gravitationnelle sur notre planète. Pour Einstein, c’est une déformation de l’espace-temps induite par la masse du Soleil qui est à l’origine du mouvement de la Terre. La relativité générale a totalement bouleversé les concepts de temps et d’espace. L’univers n’est plus une structure d’espace (euclidien) immuable, dans laquelle se déroulent des phénomènes mus par des forces : il devient un espace-temps « déformable », ce que les mathématiciens nomment « une variété à quatre dimensions » (trois pour l’espace, une pour le temps), qui est déformée par la présence de matière. Bien que jusqu’à présent cette déformation locale de l’espace/temps n’ait été vérifiée qu’avec des corps naturels (planètes, étoiles, galaxies), il n’est pas interdit de penser qu’une technologie très évoluée puisse produire de façon artificielle une telle déformation.
Ci-dessus (illustration 04) : Dessin montrant un vaisseau spatial capable de se déplacer en déformant la trame de l’espace/temps autour de lui. Pour les chercheurs qui travaillent sur ce projet futuriste (EmDrive), la théorie propose de déformer l’espace-temps autour d’un vaisseau fixe. Comme l’espace-temps se contracte devant le vaisseau et se dilate derrière lui, le vaisseau avance sans bouger. C’est ce qui lui permet d’atteindre une vitesse supérieure à celle de la lumière sans pour autant franchir cette vitesse à l’intérieur de la « bulle de distorsion ». C’est comme si le vaisseau situé à l’intérieur de la « bulle de distorsion » glissait sur une « vague » d’espace/temps. À l’intérieur de la « bulle », les lois de la physique sont respectées et la théorie de la relativité générale n’est pas violée.
Ci-dessus (illustration 05 – Daniel Robin – 02.03.2019) : Carte montrant l’itinéraire des témoins entre Saint-Jean-de-Gonville (en haut) et Challex (en bas). Monsieur G. et sa compagne s’apprêtaient à quitter la D884 (direction Challex) lorsqu’ils ont vu le grand triangle noir au-dessus de la forêt sur leur gauche. Ils ont vu l’engin se diriger ensuite vers l’aéroport de Genève situé à 10,33 kilomètres du lieu de l’observation (source : Google Hearth).
Lorsque nous nous sommes rendus sur les lieux de l’observation en compagnie du témoin principal (Monsieur G.), ce dernier a émis l’hypothèse que le triangle noir s’était peut-être positionné dans ce secteur pour « surveiller » à distance les installations du CERN (Centre Européen de la Recherche Nucléaire), et plus particulièrement le site de Meyrin situé à environ 7 km du point d’observation (illustration 7). En vérifiant cette hypothèse sur des cartes, il s’avère en effet que la proximité du LHC par rapport à la position de l’ovni triangulaire est un indice fort indiquant qu’il pourrait y avoir un lien entre l’ovni et les installations du CERN.
Il faut savoir que cette zone située près de Genève concentre des installations de très haute technologie dédiées à la recherche fondamentale en physique des particules. Le Grand Collisionneur de Hadrons (Large Hadron Collider ou LHC), est l’accélérateur de particules le plus grand et le plus puissant du monde. Il a été construit à 100 mètres (en moyenne) de profondeur dans un tunnel circulaire de 27 km de circonférence. Il est équipé de sept détecteurs, dont quatre sont de très grande taille. Avec cette machine exceptionnelle, sans doute la plus grande et la plus complexe jamais construite sur notre planète, les physiciens espèrent apporter des éléments de réponse à plusieurs questions fondamentales concernant la physique des particules, l’antimatière, et la cosmologie (le Big Bang notamment). Avec elle, les scientifiques tentent de s’approcher au plus près des conditions physiques qui régnaient au commencement de l’Univers. Mis en fonction en 2008, le LHC est situé dans la zone frontalière qui sépare la France et la Suisse.
Il n’est peut-être pas inutile de rappeler que la mise en service du LHC a suscité quelques inquiétudes du côté des physiciens qui mettaient en avant les éventuelles « catastrophes » que pourrait générer une machine de cette puissance qui utilise des énergies colossales. Des scientifiques de renom ont prétendu qu’au cours des expériences du CERN qui mettent en jeu des protons (particules constituant le noyau atomique) qui entrent en collision à une vitesse et avec une charge énergétique encore jamais expérimentées, des trous noirs pourraient apparaître dans la machine. Les trous noirs sont des structures naturelles qui possèdent une force d’attraction si considérable que tout ce qui les entoure perd sa forme et sa consistance originelles et que même la lumière ne peut s’en échapper. Deux chercheurs, Walter L. Wagner et Luis Sancho, ont d’ailleurs intenté un procès au CERN au motif que le LHC serait capable de générer un trou noir qui pourrait engloutir notre planète. Il faut aussi noter que la puissance du faisceau qui circule dans l’anneau principal est telle (14 TeV) que si la trajectoire de ce faisceau n’était plus contrôlée, il pourrait produire des dégâts considérables. Bien que le CERN se veuille rassurant, il n’est pas exclu qu’un accident majeur puisse se produire dont les conséquences restent pour le moment inconnues. Nous ne savons pas, en effet, quel phénomène physique incontrôlable pourrait se produire en cas d’accident. Dans ces conditions, la remarque de notre témoin est pertinente : le LHC pourrait faire l’objet d’une surveillance particulière de la part de visiteurs extraterrestres. Par ailleurs, indépendamment des dangers qui sont associés au fonctionnement du LHC, ce pôle d’excellence en matière de technologie et de recherche fondamentale ne peut que susciter l’intérêt de la part d’éventuels visiteurs étrangers à notre planète. Le CERN rassemble 7 000 scientifiques venus de 80 pays. C’est une véritable « tour de Babel » de la matière grise terrestre, tout entière mobilisée autour du LHC. C’est un modèle de coopération internationale qui rassemble les meilleurs chercheurs pour faire avancer nos connaissances dans l’infiniment grand et dans l’infiniment petit. En tenant compte de tous ces éléments, nous comprenons pourquoi nos visiteurs suivent avec beaucoup de curiosité, mais à distance, nos progrès en physique et en cosmologie.
Ci-dessus (illustration 07) : Carte simplifiée montrant le grand anneau du LHC (en vert) situé de part et d’autre de la frontière séparant la France de la Suisse. Le LHC est l’accélérateur de particules le plus grand et le plus puissant du monde. Il a été construit à environ 100 mètres de profondeur dans un tunnel circulaire de 27 km de circonférence.
Ci-dessus (illustration 08) : Carte montrant le grand anneau du LHC (en bleu) situé dans la zone frontalière entre la France et la Suisse. En bas, dans la zone verte, est situé le site de Meyrin qui est le Point 1 de l’anneau. Aujourd’hui, le site de Meyrin est considéré comme la « capitale » mondiale de la physique des particules.
Ci-dessus (illustration 09) : Vue aérienne montrant le grand anneau du LHC et l’aéroport international de Genève au premier plan. Dans cette zone sont concentrées des installations qui exploitent des technologies de pointe dans le domaine de la physique des particules. Cette cohabitation dans un même espace du LHC et de l’aéroport de Genève pourrait expliquer les observations d’ovnis triangulaires à proximité de ces sites.
Depuis quelques années, les observations d’ovnis de forme triangulaire sont en nette augmentation. Parmi elles, les témoins décrivent de mystérieux « triangles noirs ». Suite à ces très nombreuses observations, des questions urgentes s’imposent à nous :
- D’où viennent ces engins mystérieux ?
- Par qui sont-ils pilotés ?
- Quelles technologies utilisent-ils ?
- Pourquoi survolent-ils notre territoire national avec insistance ?
- Quelles sont leurs intentions envers nous ?
- Cette sorte de « surveillance » permanente obéit-elle à un plan, et si oui, lequel ?
- Les organismes officiels tels que l’armée de l’air, la gendarmerie nationale, le CNES, les services de renseignements, ou d’autres organismes dont l’existence est tenue secrète, sont-ils conscients de la situation et, si oui, quelles actions mènent-ils sans en informer les populations ?
- Dans le cas où ces organismes officiels et/ou secrets mèneraient des actions visant à surveiller les activités des ovnis, pourquoi ces actions sont-elles gardées secrètes ?
- Pourquoi ne sommes-nous pas informés de ce qui se passe ?
- Quelle est l’étendue des connaissances de ces organismes au sujet des ovnis ?
- La présence des « triangles noirs » étant largement avérée, à quoi devons-nous nous préparer ?
- Allons-nous bientôt faire face à une situation exceptionnelle que nous n’avons pas anticipée ?
- Sommes-nous en danger ?
- Ne faudrait-il pas envisager la mise en place d’une sorte de « préparation psychologique » des populations vis-à-vis d’un phénomène dont nous ne connaissons pas les réelles intentions ?
Avec cette enquête très documentée, je souhaite alerter l’opinion publique sur l’importance de ces manifestations de plus en plus fréquentes d’ovnis triangulaires
Lien vers mon site Internet consacré à cette enquête :
https://ovnistriangles.blogspot.com/
Le site Delta Initiative consacré exclusivement aux ovnis de forme triangulaire :
https://www.delta-initiative.fr/