Ovnis de la vallée de l’Hudson River


Un dossier signé Daniel Robin www.lesconfins.com et publié sur Ovnis-Direct le 18/08/2013

Avis aux lecteurs : ce dossier concernant les observations d’ovnis de l’Hudson River est d’une extrême importance. Cette affaire est capitale pour la compréhension du phénomène ovni. C’est peut-être le cas le plus spectaculaire survenu aux Etats-Unis au XXème siècle. C’est pour cette raison que mon souhait le plus vif est que chaque lecteur de ce dossier fasse son possible pour le diffuser autant qu’il le peut autour de lui. Cet appel a pour but de faire connaître cette extraordinaire vague d’ovnis afin que les humains prennent conscience qu’ils ne sont pas seuls dans l’Univers. Des êtres très évolués visitent notre planète. C’est une certitude.

Information : Les « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué », qui organisent des cycles de conférences à Lyon, ont invité M. Thierry Gay le 6 avril 2013. Notre invité a présenté en public l’affaire des ovnis de l’Hudson River. L’intégralité de la conférence de M. Gay est disponible.
Nous remercions tout particulièrement Thierry qui a fait une présentation remarquable tant par la qualité de son exposé (très vivant), que par la minutie avec laquelle il a traité les différents cas d’observations. J’estime que le travail qu’il a effectué sur ce dossier reste inégalé.

1) Le dossier ovni qui aurait pu changer les mentalités.

Parmi les observations d’ovnis les plus spectaculaires, figurent en bonne place celle de la Vallée de l’Hudson C. Nous présentons ici un dossier ufologique tout à fait exceptionnel qui offre l’opportunité de prouver de façon éclatante que notre planète a bien été visitée par des vaisseaux qui n’étaient sûrement pas d’origine terrestre. Les preuves apportées dans ce dossier reposent sur plus de 7000 témoignages oculaires directs, et sur une enquête rigoureuse menée par des personnalités qualifiées dont la probité et l’expertise sont au-dessus de tout soupçon. Je suis stupéfait par l’attitude des médias et du public en général vis-à-vis de cette affaire d’une portée gigantesque. Nous envoyons des sondes automatiques vers Mars pour savoir si la vie a pu exister ailleurs que sur notre planète, et nous ne prêtons pas la moindre attention à des faits qui prouvent de façon éclatante que cette vie existe bien et qu’elle vient même nous visiter régulièrement. Comment expliquer un tel comportement ?

Pourquoi refusons-nous de voir la réalité en face ? Pourquoi rejetons-nous des faits qui nous confrontent à une autre forme de vie intelligente dans l’Univers ? Avons-nous peur à ce point ? Ne sommes-nous pas suffisamment prêts mentalement pour accepter qu’une rencontre entre une intelligence étrangère et nous puisse se dérouler actuellement sous nos yeux ?
S’agit-il d’une forme particulièrement grave de déni collectif ?

Ce sont autant de questions auxquelles j’ai beaucoup de mal à apporter des réponses.

Cette prodigieuse vague d’observations d’ovnis n’a pas suscité, en effet, l’intérêt qu’elle méritait. Cette affaire n’a pratiquement pas été médiatisée en Europe, et en France, on peut dire qu’aucun média n’a rapporté les événements qui auraient pourtant mérité une étude poussée. Même aux Etats-Unis, les observations d’engins gigantesques (cela ressemblait à une « ville en plein ciel », confiera Ed Burns aux enquêteurs) ayant la forme de triangles, de « V », ou de « boomerangs », n’ont pas éveillé la curiosité des scientifiques qui avaient pourtant-là, presque sous leurs yeux, l’occasion de faire une étude sérieuse du phénomène ovni. Curieusement, les médias du monde entier n’ont pas relayé ces faits d’une importance capitale pour la compréhension du phénomène ovni.

Ce constat est d’autant plus étrange, que les sources d’informations modernes font preuve d’habitude d’une impressionnante efficacité lorsqu’il s’agit de diffuser à grande échelle des informations anodines ou des événements tout à fait anecdotiques. Alors, nous sommes en droit de nous poser la question : cet incroyable silence médiatique n’est-il pas le signe d’une dissimulation volontaire orchestrée par les autorités ? Tout porte à croire que c’est bien le cas si nous songeons qu’à lui seul, ce dossier apporte suffisamment d’éléments probants pour écarter de façon définitive tout doute et toute controverse sur la réalité d’une présence étrangère sur notre planète. Force est de reconnaître que ce dossier est inattaquable.

Dans ces conditions, il n’est pas exagéré de dire qu’une médiatisation plus large et bien menée de cette affaire, aurait sans doute contribué à changer (peut-être pas de façon définitive, mais du moins dans une grande proportion) les mentalités vis-à-vis du phénomène ovni. Malheureusement, l’occasion n’a pas été saisie. Si plusieurs versions peuvent être données pour expliquer cet état de fait, celle de l’« étouffement » intentionnel me paraît la plus probable. Si elle est vraie, cette explication signifierait qu’il existe, au niveau mondial, une sorte de « conspiration du silence » qui ne désire aucunement que les mentalités changent.

Cette dernière conclusion est dérangeante et soulève de grandes inquiétudes. Il ne faudrait pourtant pas croire que nous partageons sans restriction les thèses parfois délirantes des « conspirationnistes ». Loin s’en faut. Ces thèses font d’ailleurs partie, dans certains cas, du dispositif global de désinformation. Mais avec le dossier des ovnis de la Vallée de l’Hudson, nous sommes bien obligés de constater qu’aucun effort n’a été fait de la part des autorités pour informer de façon claire et précise les citoyens de l’une des plus puissantes démocraties du monde (du moins, c’est ce qu’elle prétend être). Nous pensons que cette attitude est dommageable parce qu’elle encourage l’obscurantisme, l’angoisse et la suspicion. Elle montre, en outre, que nos dirigeants ne sont vraiment pas enclins à divulguer quoique ce soit de sérieux au sujet des ovnis. Voici ce nous pouvons lire dans l’une des préfaces du livre intitulé les « Ovnis sur l’Hudson River, l’une des plus importantes observations d’ovnis de tous les temps » (voir ci-dessous) : « Des centaines de personnes habitant à la périphérie de l’une des plus importantes et des plus cosmopolites des villes du monde ont été surprises, effrayées et impressionnées par ce qu’elles ne pouvaient regarder que comme un événement très bizarre.

Pourtant, la Federal Aviation Administration (FAA), qui surveille les couloirs aériens que l’objet en forme de « boomerang » a empruntés de façon répétée, a persisté à nier son existence. Nous n’avons rien entendu de la part des scientifiques de la nation, pour qui ces événements auraient dû revêtir une importance capitale. Nous trouvons que tout ceci est révoltant. Habituellement, les scientifiques sont des hommes et des femmes honnêtes, logiques, qui travaillent avec des faits et des calculs. Leur travail quotidien consiste à effectuer des observations et à réaliser des expériences, recueillant ainsi des renseignements à propos de notre planète et de notre univers. Ils sont, ou devraient être, imaginatifs et curieux.
Mais aucun scientifique n’a fait preuve de curiosité au sujet des événements mystérieux de la Vallée de l’Hudson ».

A nous, ufologues indépendants, d’en tirer les conclusions qui s’imposent…

 

Ci-dessus à gauche : la couverture de l’ouvrage intitulé, « Ovnis sur l’Hudson River, l’une des plus importantes observations d’ovnis de tous les temps » (lien : Un extrait du livre ). Les auteurs : J. Allen Hynek, Philip J. Imbrogno, Bob Pratt. Préface de Joël Mesnard. Editeur : Editions Trajectoire, mai 2011. Dans cet ouvrage exceptionnel, des ufologues réputés et très expérimentés divulguent la vérité sur cette mystérieuse affaire. « Ovnis sur l’Hudson River » est devenu un classique de l’ufologie en raison de ses récits détaillés des extraordinaires observations de la Vallée de l’Hudson survenues dans les années 1980. Cette nouvelle édition a été augmentée pour couvrir également les dernières observations et rencontres rapprochées : sept mille cas signalés entre 1982 et 1995. Sept mille témoins oculaires peuvent-ils se tromper et être tous victimes d’hallucinations ? Cela semble tout à fait impossible. Dans ce cas, cet ensemble impressionnant de témoignages crédibles montre sans aucun doute possible que des vaisseaux spatiaux d’origine extraterrestre ont évolués dans les cieux de l’Etat de New York durant toute cette période. Pour situer le haut niveau de l’enquête menée par les 
auteurs, rappelons que le Dr J. Allen Hynek était un astronome professionnel et l’auteur de « The UFO Experience ». Durant 20 ans, il a été consultant scientifique pour l’armée de l’air américaine dans le cadre de recherches sur le phénomène ovni. Philip J. Imbrogno, professeur de sciences, est l’auteur de « Contact of the Fifth Kind », et de « Crosswalks Across the Universe ». Le journaliste Bob Pratt a été rédacteur en chef du Mufon Ufo Journal, et l’auteur du livre : « Ovnis Danger, appel à la vigilance, rencontres mortelles au Brésil…et ailleurs ? » (Editions Trajectoire, février 2010, préfaces de Jacques Vallée et de Joël Mesnard). Ci-dessus à droite : la couverture du de Philip J. Imbrogno intitulé « Contact Ultraterrestre, les recherches d’un enquêteur du paranormal sur l’épidémie secrète d’enlèvements »

2) Rencontres rapprochées dans la Vallée de l’Hudson (Philip J. Imbrogno).

Généralement on considère que la vague d’ovnis qui s’est déroulée dans la Vallée de l’Hudson dans les années 80 n’avait produit que des rapports décrivant de grands objets qui avaient été vus dans le ciel à plus ou moins grande distance des témoins. Cette vague aurait donc pu se résumer à une série de « Rencontres Rapprochées du 1er Type », ou « RR1 », c’est-à-dire à des observations dans lesquelles le, ou les témoins, voient un ovni, quel qu’il soit, à moins de 150 mètres (Système de classification selon Hynek).

Mais le chercheur Philip J. Imbrogno, qui était sur place à l’époque et qui avait directement enquêté sur les observations au moment où elles se sont produites, fourni d’autres types de rapports qui décrivent des contacts rapprochés avec des entités qui semblent venir d’un autre monde. Le travail de Philip J. Imbrogno montre que nous sommes en présence de « Rencontres Rapprochées du 3ème Type », ou « RR3 » (Système de classification selon Hynek), dans lesquelles les témoins voient un ovni et ses occupants, ou seulement les occupants d’un ovni sans ce dernier. 

Nous reproduisons, ci-dessous, un texte de Philip J. Imbrogno (une traduction imparfaite. DR) qui décrit la complexité et la haute étrangeté des observations de la Vallée de l’Hudson : « Les êtres humains sont-ils maintenant en contact avec une intelligence extraterrestre inconnue ? 

Les enquêteurs s’occupants d’ovnis à travers tout le pays rapportent que le nombre de cas de contacts a augmenté de plus de 200% dans les cinq dernières années ! Mon sentiment est qu’il pourrait y avoir quelque chose de très concret dans ces phénomènes de contact et que nous devrions tous adopter une attitude beaucoup plus sérieuse à ce sujet ».

3) Contacts extraterrestres dans la Vallée de l’Hudson.

Généralement on considère que la vague d’ovnis qui s’est déroulée dans la Vallée de l’Hudson dans les années 80 n’avait produit que des rapports décrivant de grands objets qui avaient été vus dans le ciel à plus ou moins grande distance des témoins. Cette vague aurait donc pu se résumer à une série de « Rencontres Rapprochées du 1er Type », ou « RR1 », c’est-à-dire à des observations dans lesquelles le, ou les témoins, voient un ovni, quel qu’il soit, à moins de 150 mètres (Système de classification selon Hynek). Mais le chercheur Philip J. Imbrogno, qui était sur place à l’époque et qui avait directement enquêté sur les observations au moment où elles se sont produites, fourni d’autres types de rapports qui décrivent des contacts rapprochés avec des entités qui semblent venir d’un autre monde. Le travail de Philip J. Imbrogno montre que nous sommes en présence de « Rencontres Rapprochées du 3ème Type », ou « RR3 » (Système de classification selon Hynek), dans lesquelles les témoins voient un ovni et ses occupants, ou seulement les occupants d’un ovni sans ce dernier. 

Nous reproduisons, ci-dessous, un texte de Philip J. Imbrogno (une traduction imparfaite. DR) qui décrit la complexité et la haute étrangeté des observations de la Vallée de l’Hudson : « Les êtres humains sont-ils maintenant en contact avec une intelligence extraterrestre inconnue ? 
Les enquêteurs s’occupants d’ovnis à travers tout le pays rapportent que le nombre de cas de contacts a augmenté de plus de 200% dans les cinq dernières années ! Mon sentiment est qu’il pourrait y avoir quelque chose de très concret dans ces phénomènes de contact et que nous devrions tous adopter une attitude beaucoup plus sérieuse à ce sujet ».

« Pendant mes recherches dans la partie nord-est des Etats-Unis, j’ai trouvé un bon nombre de personnes qui ont eu et continuent d’avoir des rencontres ovnis. La plupart de ces témoins ont commencé par une observation ordinaire et maintenant, après de nombreuses expériences en rapport avec des ovnis, ils se sentent en contact avec l’intelligence qui est responsable du phénomène ovni. Rien que dans la région de Vallée de l’Hudson, il y a eu plus de 7.000 rapports d’ovnis au cours des sept dernières années. A ma surprise, beaucoup de personnes dans ce secteur ont estimé qu’elles ont eu un contact avec une intelligence non-humaine issue d’un autre monde. D’abord, j’ai trouvé ces affaires étranges et dérangeantes puisque dans la plupart des cas, ce type de rapport est monté en épingle par les médias qui essayent de les discréditer en ridiculisant le témoin. Inutile de dire que ceci est dommageable pour l’ufologie en général. Pendant la partie précédente de mes recherches sur les phénomènes de la Vallée de l’Hudson, j’ai fait de mon mieux pour maintenir ces cas loin des regards du public.

La priorité était de montrer que quelque chose d’étrange était arrivé dans le ciel de cette région et que les ovnis que des milliers de personnes avaient vu n’était pas quelque chose de conventionnel, comme « des avions en formation » par exemple. Tandis que le temps passait, les cas de contacts dans le secteur ont commencé à augmenter. J’ai su alors que certains de ces cas devaient faire l’objet d’un examen plus approfondi. En réponse à cet état de fait, une conférence sur les ovnis a été organisée par Peter Gersten et moi-même. La conférence a eu lieu en septembre 1987, et le thème était l’exploration de la possibilité qu’une intelligence non-humaine soit en contact avec des habitants de la région. Les conférenciers étaient Whitley Strieber, Budd Hopkins, John Keel, Ellen Crystall et moimême. Après douze heures, environ 900 personnes y avaient assisté, et plus de 200 d’entre elles avaient complété des questionnaires en déclarant qu’elles pensaient avoir été en contact avec une intelligence extraterrestre. Le nombre réel m’a vraiment étonné, et nous avions vu seulement la partie émergée de l’iceberg. A partir de ces 200 rapports, une recherche préliminaire a montré que 120 d’entre eux pourraient être incertains, donc seulement 90 ont été choisis pour l’étude.

Ils sont énumérés ci-dessous et classés en cinq catégories :

Types de contact et nombre

.a) Enlèvements : 19.
.b) Channeling : 10.
.c) Communications avec des entités : 15.
.d) Observations avec télépathie : 40.
.e) Rencontres Rapprochées du 3ème Type ou RR3 : 6. 
Total : 90 cas.

Je clarifie chacune de ces catégories ci-dessous :

a) Enlèvements : les personnes prétendent avoir été enlevées à bord d’un engin et avoir rencontré l’intelligence qui l’actionne. 

b) Channeling : les personnes prétendent être en contact mental avec une intelligence nonhumaine ou surhumaine. La plupart des communications sont faites par l’écriture automatique, sous forme de textes ou par des dessins.

c) Rencontre et communication avec des entités : les personnes prétendent avoir rencontré des êtres semblables aux humains (ou non-humains), et auraient eu une communication verbale ou mentale face à face avec eux. Dans la plupart des cas, la personne est laissée avec un certain type d’information, mais dans d’autres cas, aucune information n’est échangée pendant le contact. 

d) Observation avec télépathie : observation d’un ovni pendant laquelle les témoins ressentent qu’un certain type de communication a lieu entre eux et l’intelligence dans l’ovni. Comme vous pouvez le constater, ce type de contact représente la plus grande partie des rapports que j’ai étudiés (40 cas). Dans l’affaire des ovnis de l’Hudson River, 9 témoins sur 10 auraient eu ce type de contact psychique. C’était comme si l’ovni « lisait » directement 
dans les pensées du témoin.

e) RR3 : les personnes ont rencontré un être étrange, mais aucune communication n’a été établie avec cet être. A certaines occasions, la rencontre a lieu près d’un ovni qui a atterri. Parfois il n’y a aucun ovni en vue.

Je présenterai maintenant deux études de cas de contact issus de mes propres recherches avec mes résultats. Il doit être rappelé que les études de cas sont très longues et complexes, mais je présenterais ici, seulement l’essentiel des données. 

4) Enlèvements, le cas exceptionnel de « Ray ».

Le phénomène des enlèvements est largement réparti à travers tout le pays. Les chercheurs pionniers comme Budd Hopkins ont mis beaucoup de cas en évidence. Ce n’était aucunement une surprise pour moi quand les observations d’ovnis ont commencé dans la Vallée de l’Hudson et que des cas d’enlèvements suivirent peu après. Un cas particulier qui a été porté à ma connaissance concerne un informaticien d’une vingtaine d’années. Pour protéger l’identité de cette personne, je l’appellerai « Ray ».

Le 13 mars 1988 à 22h00, « Ray » conduisait vers chez lui sur la route 166 à Croton Falls, état de New York. La route était sombre, isolée, sans lumière, avec un grand réservoir sur sa gauche et des bois du côté droit. Il revenait chez lui depuis la maison d’un ami dans le secteur de Croton Falls, en direction de sa maison située à New Castle, Etat de New York. « Ray » a remarqué un certain nombre de lumières blanches très brillantes, au loin, vers sa gauche juste au-dessus du réservoir. Les lumières étaient à une altitude trop faible pour être un avion. Elles paraissaient être à plusieurs centaines de mètres de distance. Les pins le long du côté de la route ont partiellement obstrué sa vue, donc il a continué à conduire, mais lentement jusqu’à ce qu’il soit arrivé à un endroit déboisée. Il a alors arrêté sa voiture et a descendu sa vitre. Il a observé les lumières qui s’approchaient. Il est alors à moitié sorti de la voiture par la fenêtre et s’est assis sur la portière de son véhicule. Tandis qu’il observait les lumières, il a remarqué qu’elles étaient portées par un certain type de structure très foncée. Il n’y avait aucun bruit venant de l’objet et il était à environ 20 pieds (environ 6 mètres) audessus de la ligne des arbres. Quand l’ovni est passé au-dessus de sa voiture, il a regardé vers le haut jusqu’à ce que le grand objet triangulaire qui avait environ 100 pieds (une trentaine de mètres) d’une extrémité à l’autre, soit passé lentement au-dessus de sa voiture. Il a regardé en l’air et a remarqué que l’objet avait seulement des lumières à l’avant, que le dessous de l’engin était cloisonné, et qu’il avait une profondeur et un renfoncement. A l’intérieur de la partie renfoncée, il a vu des éclairs de lumière blanche. Il a comparé ces éclairs à ceux de la lumière d’un stroboscope. Alors quelque chose d’étrange a eu lieu. La dernière chose dont il s’est souvenu, c’est qu’il était de retour dans sa voiture, et qu’il était en train de rouler. 

L’objet était parti. Quand il est arrivé chez lui, il a eu beaucoup de mal à dormir. Pendant les quelques jours qui ont suivi, « Ray » se réveillait au milieu de la nuit avec des sueurs froides et avec la sensation d’avoir le cœur écrasé. Il était en plein confusion. Il savait d’une façon ou d’une autre que ces épisodes soudains de terreurs nocturnes devaient avoir un rapport avec l’observation de l’ovni. J’ai fait hypnotiser « Ray » par le Dr. Jean Mundy, un psychologue 
certifié qui pratiquait dans la ville de New York et qui était aussi un ufologue bien connu. Le résultat de la session hypnotique a indiqué que « Ray » a subit un enlèvement pendant son observation. Le cas de ce témoin est très long et prenant. Je donnerai seulement une synthèse des informations qui ont été mises à jour pendant ces séances d’hypnose.

5) « Ray » à bord de l’ovni.

Tandis que l’engin passait au-dessus de son véhicule, « Ray » a été sorti (par qui ou par quoi ?) par la fenêtre de la voiture et a été transporté dans l’ovni (comment ?). Il s’est retrouvé couché sur une table dans une salle sombre. Il y avait plusieurs êtres se tenant de chaque côté de lui. L’être qui était du côté gauche déplaçait un certain type d’instrument autour de sa tête. Il a essayé de bouger, mais il a senti que ses jambes étaient paralysées. « Ray » a décrit les êtres comme des « gris » typiques, comme ceux souvent décrits dans la littérature des enlèvements. Il a noté que leurs yeux étaient ronds, et non pas en amande comme c’est souvent rapporté. Un des êtres a alors inséré quelque chose vers le haut de son nez, et cela lui a causé une douleur extrême. La sensation ressentie était comme si du coton était poussé vers le haut de sa narine.

Tandis qu’il se rappelait cet épisode durant l’hypnose, « Ray » a commencé à pleurer de douleur et son nez est devenu rouge. Il a subitement gonflé. Après cet acte d’insertion, « Ray » a été autorisé à se lever. Il a été escorté dans l’ovni par un des êtres vers un pupitre de commande. L’être était petit, il arrivait seulement à la hauteur de la poitrine de « Ray ».
Il n’y a eu à aucun moment la moindre communication verbale, mais « Ray » savait où l’être souhaitait aller et ce qu’il voulait faire. Ensuite, il a vu le pupitre de contrôle qui était comme un matériel grisâtre avec beaucoup d’instruments et de boutons. Il a pensé que ceux-ci pouvaient être les commandes du vaisseau. « Ray » s’est ensuite retrouvé de nouveau dans sa voiture sur la route en train de conduire. « Ray » pense que les êtres reviendront un jour le chercher et que cette fois ils ne le laisseront pas repartir. Sa vie a changé depuis son enlèvement à bord de l’ovni. Il a le sentiment qu’il a vécu une certaine forme de contact mental avec les êtres qu’il a rencontré. Il a aussi l’impression qu’ils se servent de lui pour recueillir des informations sur notre monde pour leur propre compte. Par exemple, « Ray » écoute de la musique, et une voix à l’intérieur de sa tête lui demande au même moment : « parles-nous au sujet de cette musique, comment elle te fait te sentir ». « Ray » ne peut pas contrôler ces demandes, elles peuvent surgir à tout moment tandis qu’il vit quelque chose dans sa vie quotidienne. Le cas de « Ray » n’est pas commun, mais il n’est pas unique, une fois comparé aux nombreux autres cas que j’ai étudiés dans la Vallée de l’Hudson.

6) Le channeling. 

Rappelons brièvement que le terme « channeling » désigne un ensemble de techniques de communication qui permettraient à un être humain d’entrer en contact avec une ou plusieurs entités appartenant à une autre dimension. Ces entités peuvent être soit des anges, soit des entités des « plans astraux », des divinités ou des créatures extraterrestres. En français, channeling est parfois traduit par canalisation, transmission, transmission médiumnique, communication spirituelle, quand le terme américain n’est pas utilisé. On peut lire parfois aussi que le channel est dit servir de canal ou qu’il sert de voie de transmission à l’entité concernée (DR).

Le phénomène de channeling semble être une nouvelle « manie » dans le pays. Quand j’ai été approché par des individus qui prétendaient être en contact avec une intelligence nonhumaine, ma première réaction a été négative. Depuis 1986, j’ai étudié les affirmations d’au moins 40 personnes qui disent qu’elles font du channeling avec une intelligence plus élevée et qui serait de nature extraterrestre. Ma recherche a montré, à ma satisfaction, qu’environ 90% de ces personnes s’avèrent être en contact avec rien d’autre que leur propre imagination. Les autres 10% restant sont intéressants, mais nécessites des recherches supplémentaires. Des dix cas, choisis parmi les données recueillies lors de la conférence de septembre 1987, un seul semble crédible. Cette personne est la seule qui m’a vraiment incité à considérer qu’elle pouvait être en contact avec une intelligence qui n’est pas originaire de notre planète. Dean Fagerstrom est un habitant de Putnam Lake dans l’état de New York. Il est âgé de 57 ans (lors de l’enquête dans doute. DR). Quand j’ai rencontré pour la première fois Dean en 1982, il travaillait en tant que gardien de nuit. J’ai trouvé Dean intelligent, cohérent, et pour tout dire, fascinant. En tant qu’adulte, les expériences de Dean ont commencé en novembre 1966 alors qu’il était dans l’armée en poste à Bad Kreuznach, en Allemagne. Il vivait au centre ville, à environ un mile de la base. Une nuit, à deux heures du matin, alors qu’il se reposait dans son appartement tout en composant une suite de chiffre pour la loterie, il a eu l’impression qu’il n’était pas seul. Cette sensation ne l’a pas alarmé, mais il l’a trouvé curieuse. Finalement, il s’est levé et a fait le tour de son living room.

Comme il n’avait trouvé personne dans son appartement, il est revenu à son siège où il travaillait ses chiffres sur un tableau blanc. Quand il a regardé le tableau blanc, un visage comme celui d’un être humain a commencé à apparaître devant ses yeux. Le visage a empli à peu près toute la surface du tableau blanc qui avait deux pieds sur trois. Tandis que l’image devenait plus claire, il a vu que ce n’était pas un visage, mais deux. Il y avait un tremblement bleuâtre autour des bords de cette image. L’une des images représentait celle d’un homme avec les cheveux « couleur fauve », pas tout à fait à longueur d’épaule, et l’autre image était une femme avec des cheveux légèrement plus foncés mais plus courts. Ensuite, il a entendu une voix près de son oreille prononçant les noms des êtres qu’il voyait. Le « mâle » a donné son nom comme étant « Donestra ». Le nom de sa compagne comme étant « Kilestra ». Ce « Donestra » a ensuite dit que Dean avait étudié beaucoup de choses, et qu’ils avaient reçu la projection de ses pensées parce que l’esprit humain est un puissant émetteur (l’entité avait capté les pensées de Dean, et ce fait nous renvoi au contact psychique entre témoin et ovni. DR). « Donestra » a également indiqué à Dean que les images qu’il voyait maintenant n’étaient pas réelles, mais étaient seulement des projections holographes. Il a ensuite été dit à Dean que ces êtres étaient parmi des milliers d’autres entités de diverses planètes situées dans des régions proches de notre système solaire et au-delà. « Donestra » a également indiqué à Dean qu’ils avaient étudié la Terre pendant de nombreuses années et que notre condition planétaire et humaine les avaient beaucoup intéressé. Après plusieurs minutes de conversation, la communication est arrivée à son terme, et Dean a été invité à ne mentionner à personne pour le moment ce qu’il avait vu et entendu. Il a été dit à Dean d’observer les cieux dans les jours suivants, ce qu’il a fait, et il affirme qu’il a alors vu un engin de conception et de capacités aéronautiques étonnantes. Ceci devait prouver à Dean que le contact qu’il avait établi avec les entités était réel et pas une hallucination. Entre 1966 et 1967 Dean a continué à avoir des contacts avec « Donestra ». En 1967, Dean a été libéré des obligations militaires et il a déménagé à Brewster dans l’état de NewYork. Les choses étaient calmes, et l’année s’est déroulée sans événements. Mais le 19 janvier 1968, à 4h30 du matin, Dean a eu un autre contact extraterrestre, qui cette fois a changé le cours de sa vie. Dean s’est réveillé et a vu une lueur bleuâtre dans le coin supérieur de la pièce. Il a également entendu un bruit de ronflement à une fréquence incroyablement élevée. Graduellement, un objet s’est matérialisé, d’environ trois pouces de diamètre, rond, ressemblant à un vieux microphone d’autrefois.

Cet objet est venu de plus en plus près jusqu’à ce qu’il s’arrête devant le visage de Dean à une distance d’environ un pied (1 pied = 30,47 cm, et 1cm = 0,0328 pied). Cet objet s’est tenu-là, suspendu dans l’air, et il a continué à osciller. Tandis que Dean le regardait, quelque chose s’est projeté du centre du disque et s’est prolongé au-dehors sur quatre ou cinq pouces, soit environ 13 cm (1 pouce = 25,4 millimètres). Il ressemblait à un « pic à glace ». Il a semblé à Dean que c’était un certain genre de sonde et c’est venu à moins de trois pouces de son front. La sonde a alors émis une vibration très intense qui a secoué la tête et le cou de Dean. Ce dernier était couché impuissant dans son lit, mais sans être paralysé. L’objet est alors devenu silencieux, puis il a disparu. Le lendemain, vendredi matin, Dean a pris sa voiture et est allé à un magasin où il a commencé à acheter du papier millimétré, des équerres, des boussoles et divers instruments de dessin. L’impulsion de ces achats n’était pas sous son contrôle conscient. Il n’a pas compris pourquoi il achetait ces instruments pour dessiner. Dean a rassemblé ses achats et est revenu chez lui et pendant les trois semaines suivantes, il a commencé à faire des schémas de divers types de machines étrangères. Dean ne savait pas pourquoi il faisait cela, mais il pensait que ce « Donestra » pourrait avoir quelque chose à voir avec sa passion subite pour le dessin industriel. Dean n’avait aucune idée de ce pouvaient être les motifs qu’il dessinait étaient, ni à quoi ils pouvaient servir. Les schémas de machines ont été faits d’une façon peu ordinaire. Dean n’avait aucune notion de ce qu’il faisait, mais il s’est senti fortement motivé pour réaliser ces schémas. Il plaçait un morceau de papier millimétré devant lui et des points bleuâtres apparaissaient. Les points lui indiquaient où tracer les lignes. Il lui a également semblé avoir une pré-connaissance sur quelle couleur ou nuance devait être placée dans une partie particulière des schémas. Après trois semaines et de nombreuses heures passées comme un reclus chez lui, Dean avait terminé 32 diagrammes et plusieurs pages de symboles inconnus. Dean a conservé ces schémas depuis 1968, puis me les a confiés en 1982. Il m’a dit qu’il avait été chargé de faire cela par « Donestra », et que je saurais quoi faire avec ces documents quand le moment sera venu de les montrer. Les diagrammes ont été examinés par de nombreux professionnels, un physicien, un ingénieur électricien, un artiste professionnel, un dessinateur professionnel, et par le Dr. Hynek. Tous ont été très impressionnés, et le dessinateur a déclaré qu’il faudrait à une personne au moins vingt ans d’expérience pour produire des dessins de cette qualité. Dean Fagerstrom continue ses contacts jusqu’à ce jour. Il faudrait un livre entier pour explorer une partie du matériel qu’il a produit, et une vie pour en faire l’étude complète.

7) Communication avec des entités qui se matérialisent.

Ce type de cas implique des entités qui se matérialisent brusquement devant un témoin à partir de rien. Depuis 1986, 10 cas de ce type ont été portés à ma connaissance dans la Vallée de l’Hudson. Depuis la publication de mon livre « Night Siege, les observations d’ovnis dans la Vallée de l’Hudson » en 1987, et mes articles précédents dans « UFO Universe », j’ai reçu bien plus de 50 lettres de tout le pays, de personnes qui avaient vécu ce type de contact. Dans plus de 80% des cas, l’heure du contact semble être entre 2h00 et 4h00 du matin.

L’endroit du contact est la chambre à coucher des témoins. Les histoires sont très similaires entre elles. Elles racontent que les témoins se sont fait réveillées par une entité, non pas physiquement, mais par une forte impression mentale (phénomène de télépathie ?DR). Les êtres sont habituellement décrits de la même manière. Ils sont grands et minces, avec de longs cheveux (la plupart du temps blonds mais, dans certains cas rares, ils sont noirs). La majorité des êtres rapportés sont masculins (peu de contacts avec des entités féminines).

l est intéressant de noter à ce propos que les grands êtres blonds semblent participer à ce type de contact (matérialisation inopinée), alors que les petits gris sont responsables des enlèvements à bord d’ovnis. Dans ce type de contact, 92% des contactés étaient des femmes. Bien souvent, des informations sont données aux témoins. Les informations concernent habituellement des prédictions de catastrophes naturelles majeures et de futures observations d’ovnis. Dans tous les cas étudiés, aucune des informations fournies à la personne contactée ne se vérifie par la suite. Dans la plupart des cas, la personne est paralysée tandis que l’entité poursuit la communication. Dans tous les cas explorés, les témoins ne peuvent jamais prononcer un seul mot.

8) Observation d’un ovni avec expérience télépathique.

Des personnes qui avaient observé les ovnis dans la Vallée de l’Hudson ont éprouvé une forte « connexion » entre l’ovni et elles-mêmes. Parfois, ces personnes ont ressenti que c’était comme si l’ovni (ou l’intelligence qui était à l’intérieur de l’ovni) pouvait lire dans leur esprit à livre ouvert. Après leurs observations, les témoins ont continué à sentir un lien fort entre l’ovni et eux-mêmes (comme si le lien persistait après l’observation factuelle. DR). Ces 
personnes qui ont eu ce sentiment pendant leur observation initiale dans la Vallée de l’Hudson on continué à avoir des observations supplémentaires. Certains ont même expérimentés, postérieurement, l’un des types de contact énumérés ci-dessus. Ces rapports sont entièrement documentés dans mon livre, « Night Siege », qui a été co-écrit avec le défunt Dr. J. Allen Hynek et M. Bob Pratt. Le cerveau humain serait-il un puissant émetteur d’« ondes de pensées » qui pourraient être captées par une technologie alien ?

9) Rencontres Rapprochées du 3ème Type, ou RR3.

Les « Rencontres Rapprochées du Troisième Type » qui m’ont été rapportées impliquaient de petits humanoïdes « gris » qui ont été vus dans et autour de la Vallée de l’Hudson de New York. Ces cas semblent être en augmentation depuis août 1987 et ils sont actuellement à l’étude. Dans certains de ces témoignages, le contact a été fait sans enlèvement classique à bord de l’ovni. Dans les nombreux rapports qui on été portés à ma connaissance, il était 
souvent question de créatures qui pouvaient être assimilées à des « gris » classiques décrits dans les livres, comme « Communion » et « Intruders ». Parfois les « gris » ont été observés autour d’un ovni qui était près du sol, mais parfois, il n’y avait aucun ovni du tout. (Source Internet : fr.scribd.com)
 
Ci-dessus : les témoins de l’ovni (ou des ovnis) de la Valley de l’Hudson, rapportent des « Rencontres Rapprochées du Troisième Type » dans lesquelles il est fait mention des « gris » tels qu’ils sont décrits dans les cas d’enlèvements classiques. Ce signalement est important, car il montre que la présence des « gris » est bien associée à un ovni (un engin matériel semble-t-il) qui a toutes les apparences d’un vaisseau spatial. Pour ceux qui en douteraient 
encore, les « gris » ne seraient donc pas des créatures imaginaires issues d’expériences purement subjectives. Les témoins ont aussi signalés des entités de type insectoïde ou reptilien.
 
 
Ci-dessus : photographies des fameuses « lumières de Lubbock » (Texas) observées au mois d’août 1951. La ressemblance de ces manifestations lumineuses en forme de boomerang avec celles de la Vallée de l’Hudson est frappante. A l’époque, la sensibilité des appareils photographiques étaient plus faible qu’aujourd’hui. Ceci expliquerait que la « masse porteuse » (très sombre) des lumières n’est pas décelable sur les photos. 
 
 
Ci-dessus : de gauche à droite, les ufologues Phillip Imbrogno et J. Allen Hynek (au milieu), avec Ed Burns à droite, indiquant la hauteur à laquelle devait se trouver l’ovni. Son observation a eu lieu près de millwood sur la Taconic Highway, le 24 mars 1983. Ed Burns était ingénieur en informatique et cadre supérieur chez IBM au moment des faits. Il gérait d’importants contrats avec le Japon et l’Amérique du Sud. Il est maintenant à la retraite.
 
 
Ci-dessus : Une des très rares photos prises au moment de la vague d’ovnis dans la Vallée de l’Husdon. Elle a été faite par un officier de police sur la route inter-Etat 84 (l’équivalent de nos autoroutes en France), près de Waterbury (Connecticut), le 26 mai 1987 vers 21h30 ou 22h00. L’analyse du document a montré que l’objet était énorme (entre 200 et 300 mètres de diamètre) et que les lumières clignotaient rapidement par séquence. Cette photo est la seule qui a pu être exploitée par les enquêteurs. Toutes les autres photos prises par le policier n’ont rien donné. Ce jour-là, plus de cent témoins ont observé dans le ciel, au-dessus de l’ « autoroute », le même objet que l’officier de police. A l’époque, il y avait pas autant d’appareils photos numériques qu’aujourd’hui. Le Dr Bruce Maccabee, physicien, qui a travaillé sur le traiement des données optiques dans la marine américaine, estime que ce document est authentique.

10) Des extraterrestres en mission d’étude sur notre planète ?

D’où viennent-ils ? Que viennent-ils faire ici ? Quelles sont leurs réelles intentions ? Si la réalité d’une présence extraterrestre sur notre planète n’est plus discutable, la question de son origine et de ses motivations reste d’une actualité brûlante. Parmi les nombreux témoins entendus par les enquêteurs dans l’affaire de la Vallée de l’Hudson, certains prétendent avoir capté, disons de façon « télépathique », des messages jugés rassurants sensés provenir des entités qui pilotaient les immenses structures observées. En gros, les messages disaient qu’il ne fallait pas avoir peur, que les pilotes des vaisseaux étaient venus en amis et que leur objectif était d’étudier cet endroit de notre planète. A Bill (pseudonyme), un témoin qui aurait vécu une expérience d’enlèvement, des entités lui dirent : « ne soyez pas effrayé nous avons besoin de vous… vous avez été choisi ». Les « messages » laissaient entendre que les vaisseaux extraterrestres étaient des missions scientifiques totalement inoffensives. Peut-on faire confiance au contenu des ces messages ? Disent-ils la vérité ? Si nous examinons l’ensemble des faits, nous constatons que cette vague d’observations n’a fait aucune victime, n’a produit aucun accident, et aucune de nos installations n’ont été endommagées.

On a plutôt l’impression que les vaisseaux extraterrestres se contentaient d’observer, de façon pacifique et sans se presser, toutes les activités humaines de cette région des Etats-Unis. Mais les apparences sont peut-être trompeuses. Le livre de J. Allen Hynek, Philip J. Imbrogno, et Bob Pratt, intitulé les « Ovnis sur l’Hudson River, l’une des plus importantes observations d’ovnis de tous les temps » (Editions Trajectoire, mai 2011), ne décrit pas l’intégralité des faits qui se sont produits lors de cette importante vague d’observations. Nous savons aujourd’hui que le Dr Hynek ne souhaitait pas que les témoignages à haute étrangeté (channeling, enlèvements à bord des vaisseaux, messages « télépathiques », inter-réactions psychiques entre les témoins et les vaisseaux, rencontres avec des entités extraterrestres) soient évoqués dans les rapports d’enquêtes. Le témoin Cindy Tillison par exemple, croit non seulement que l’engin qu’elle a vu a interagi avec elle, mais aussi qu’il comprenait ce qu’elle faisait. C’était comme si les pensées des témoins étaient littéralement « lues » par l’ovni. Ce phénomène est étonnant, mais il n’est pas rare en ufologie. Il suppose que le phénomène ovni intègre une composante psychique très importante. Le Dr Hynek pensait que des témoignages aussi étranges pouvaient nuire à la crédibilité de son travail. Philip J. Imbrogno, dans son étude intitulée, « Contact Ultraterrestre, les recherches d’un enquêteur du paranormal sur l’épidémie secrète d’enlèvements », révèle que : « Il m’a été demandé, au cours des années, par de nombreux chercheurs ufologues, s’il y avait eu des cas de rencontre rapprochées ou d’enlèvement dans la Vallée de Hudson. Ma réponse à la plupart d’entre eux avait été : non. C’est seulement pour peu d’entre eux que j’ai admis qu’il y avait eu des cas d’enlèvements, et même en abondance. Ce démenti de tels cas je l’avais fait sur la demande du Dr Hynek puisqu’il avait voulu que notre livre intitulé « Night Siege, The Hudson Valley Sightings » (Phillip Imbrogno, Allen Hynek et Bob Pratt, chez Ballantine books, 1987), ne soit qu’une simple relation des nombreux rapports d’ovnis (assez peu détaillés finalement). 

Le Dr Hynek voulait également maintenir les cas étranges sous silence jusqu’à ce que nous ayons eu plus de données au sujet de ce type d’observations dans le secteur ».

Si nous tenons compte de tous ces éléments à la fois troublants et extraordinaires, pouvonsnous encore croire que les extraterrestres ne faisaient qu’étudier cette petite portion du territoire américain ? Nous soupçonnons que leur motivation dépassait sûrement la simple curiosité scientifique pour notre planète. A noter aussi le survol très marqué de la centrale nucléaire d’Indian Point (voir photo ci-dessous) le 24 juillet 1984. L’ovni resta en position 
stationnaire entre la tour et le dôme pendant une quinzaine de minutes et fut contemplé par 12 agents de sécurité du site. Ce fait est une constance dans les annales de l’ufologie. Nous savons aujourd’hui que tous les sites nucléaires militaires importants ont été survolés par des ovnis, et cela, depuis le début de l’ère nucléaire. De même, de nombreuses centrales nucléaires civiles à travers le monde ont fait l’objet de nombreuses visites de la part des 
extraterrestres. Dans le cas d’Indian Point, est-il raisonnable de penser que nos visiteurs venaient étudier la centrale pour en savoir plus sur la façon dont nous gérons l’énergie nucléaire ? Voulaient-ils attirer notre attention sur cette centrale qui a été construite sur un site qui avait déjà connu dans le passé des tremblements de terre et qui représente donc une grande menace pour cette zone très peuplée et riche en infrastructures très variées ?

En compilant des documents historiques et des enregistrements de sismographes, les chercheurs de Columbia ont établi un catalogue rassemblant 383 tremblements de terre allant de 1677 à 2007, sur une zone de près de 40 000 km2 centrée autour de l’agglomération de New York. Ils ont notamment identifié trois séismes de magnitude 5 qui ont eu lieu en 1737, 1783 et 1884. Si les récits manquent pour les deux premiers, le dernier est mieux connu, puisque les journaux de l’époque ont rapporté l’écroulement de cheminées et la panique qui a saisi des baigneurs à Coney Island. Un tel événement, estiment les chercheurs, se produit en moyenne une fois par siècle. Mais la magnitude 5 n’est pas le maximum possible, des tremblements de terre de magnitude 6, voire même de magnitude 7, sont possibles. Pour en arriver à ces conclusions, les géophysiciens ont étudié à la loupe le réseau de failles de la région. Grâce aux données récentes des sismographes, qui enregistrent des secousses parfois imperceptibles pour l’homme, ils se sont aperçus que certaines failles considérées comme inactives ne l’étaient pas, tout en découvrant des structures inconnues jusqu’alors. Leur attention a été particulièrement attirée par une ligne parcourue de petits séismes, qui rejoint une autre zone sismique identifiée. La centrale d’Indian Point se situe justement à l’endroit où se rejoignent ces zones sismiques. Cette découverte ne pouvait pas moins bien tomber pour son exploitant, Entergy, qui essaie actuellement de prolonger la vie des réacteurs de vingt années supplémentaires. En effet, construits au milieu des années 1970 sur la base de données 
sismiques anciennes, ils pourraient ne pas résister à un tremblement de terre majeur. Si un tel événement se produisait, la centrale nucléaire d’Indian Point ne serait pas la seule à souffrir. Autoroutes, voies ferrées, gazoducs, oléoducs et lignes électriques traversent les zones à risque. Quant aux immeubles, bon nombre d’entre eux ont été construits bien avant l’existence des normes parasismiques. Le danger lié à un tremblement de terre est beaucoup plus élevé aujourd’hui que dans les siècles précédents puisque le nombre de personnes, de biens et leur vulnérabilité sont plus importants.

elon une analyse effectuée en 2003, un fort tremblement de terre dans la métropole new-yorkaise occasionnerait de 39 à 197 milliards de dollars de dégâts. En 1970, la centrale d’Indian Point a subi une avarie sur les échangeurs qui a nécessité l’intervention de sept cents plombiers recrutés d’urgence dans l’Etat de New York et dans les Etats voisins. Les plombiers qui sont intervenus sur le site de la centrale ne pouvaient rester que quelques minutes en « zone chaude » avant de retourner se mettre à l’abri, leur dosimètre étant saturé pour deux ou trois ans (Extrait du « Crépuscule des atomes », Louis Puiseux, Hachette 1986).

L’insistance avec laquelle la centrale d’Indian Point a été survolée par d’immenses structures n’est-elle pas l’indice que nos visiteurs se préoccupent de l’état nos installations nucléaires ? Ne veulent-ils pas nous montrer que nous ne sommes peut-être pas encore suffisamment évolués pour gérer sans risque ce type d’énergie ? Certes, ces extrapolations peuvent paraître illusoires car nous ne disposons d’aucun moyen objectif de connaître les réelles motivations des extraterrestres, mais il n’en reste pas moins que leur comportement suscite de nombreuses interrogations. Notons enfin que nos visiteurs, à bord de leurs immenses engins volants, font preuves d’une impressionnante maîtrise de la structure de l’espace/temps. La réalité matérielle ne semble pas trop leur poser de problème, ainsi que la force de gravitation. Leurs vaisseaux (énormes et donc très lourds, je suppose) sont en effet capables de générer des accélérations foudroyantes ou de rester immobiles sans être affecté par la force du vent à quelques mètres au-dessus des toits des maisons ou d’un réacteur nucléaire. Aucun engin construit par l’homme n’est capable de telles performances. Nous devons admettre que nous sommes confrontés à une technologie qui dépasse de loin nos capacités actuelles et qui s’avère totalement incompréhensible pour nous. Par ailleurs, un point très étrange de toute cette affaire, est la capacité des ovnis à capter nos pensées les plus intimes. C’est comme s’ils maîtrisaient une sorte de dimension psychique de la réalité. Il se pourrait que nos visiteurs extraterrestres puissent avoir un accès direct à cet univers psychique. Ils pourraient même y agir à leur guise comme nous le faisons, par exemple, dans l’univers matériel (avec plus de facilité peut-être).

La conclusion à laquelle nous sommes parvenus, et qui peut paraître fantastique, est que les aliens sont sans doute capables d’influer directement sur notre réalité matérielle, c’est-à-dire qu’ils seraient en mesure de modifier sa structure intime selon leurs besoins. Ils seraient capables d’effectuer cette manipulation parce qu’ils ont accès à plus de dimensions de l’univers que nous. Contrairement aux humains qui ne peuvent généralement pas accéder à 
plus de 4 dimensions (3 dimensions d’espace + celle du temps), nos visiteurs pourraient se mouvoir dans une ou deux dimensions supérieures aux nôtres. Et nul doute que ce « pouvoir » passerait à nos yeux pour de la pure « magie ».

 
Ci-dessus à gauche : la couverture de « Night Siege, The Hudson Valley UFO Sightings » (Invasion nocturne, observations d’ovnis dans la Vallée de l’Hudson), de Phillip Imbrogno, Dr Allen Hynek, et Bob Pratt, publié chez Ballantine books en 1987. Ci-dessus à droite : la couverture du livre de Philip J. Imbrogno, « Ultraterrestrial Contact ». Philip J. Imbrogno étudie le phénomène ovni et le paranormal depuis trente ans. Diplômé d’astronomie de l’Université du Texas, et titulaire d’une maîtrise en Sciences de la Terre obtenue à Boston, il s’est également qualifié pour une Maîtrise en chimie au M.I.T. Il a passé une vingtaine d’années à enseigner les sciences et a signé de nombreux articles de magazines sur la science et le paranormal. Il a également conduit et présenté des recherches à la télévision à propos des ovnis, de l’astronomie, et du paranormal en général. Scientifique et enquêteur, Imbrogno fait le point sur ses recherches en ufologie. Il en est venu à considérer que le phénomène ovni tient sa source dans des réalités parallèles. Il explique comment ses études l’ont amené à envisager que tous les incidents constatés sont bien autre chose que des manifestations purement physiques (des vaisseaux extraterrestres). « Je pensais que l’hypothèse extraterrestre suffisait à expliquer toutes ces observations, mais j’ai fini par réaliser que le phénomène ovni est plutôt du domaine du paranormal ». Dans cette démarche, et grâce à l’apport de la physique théorique de pointe, Imbrogno pense maintenant que les ovnis et autres types d’activités paranormales pourraient se produire au carrefour de plusieurs dimensions alternatives. Il a consacré plusieurs ouvrages à développer la plus fantastique des théories. Il pense, en effet, que d’anciens explorateurs européens avaient construit les dolmens qu’on trouve dans la région de Putnam, pour marquer l’emplacement de quelques anomalies dans le champ magnétique terrestre, lesquelles pourraient ouvrir des fenêtres vers la quatrième dimension. Ainsi une sorte de portail existerait à cet endroit, permettant de communiquer avec un autre univers. La Vallée d’Hudson serait le troisième « vortex ovni » parmi les plus populaires au monde, avec Stonehenge, en Angleterre et Sedona en Arizona. 
Imbrogno établit un pont entre la science avancée et les cultures ancestrales. Il s’est par exemple intéressé aux légendes arabes des Djinns, des êtres qui existent dans un monde très proche et interagissent de temps en temps avec le nôtre. Il a réalisé que des entités semblables existent dans toutes les traditions. Il aimerait que nous évitions de classer ces récits au rayon du folklore. Il déclare que : « Nous les avons nommés de bien des façons à travers l’histoire, et il se peut qu’ils soient très réels, qu’ils existent juste à côté de nous ». Considérant que le monde du paranormal est fait d’interconnections, Imbrogno souhaite encourager une meilleure coopération entre les différents domaines de recherches. Il imagine qu’un groupe 
de chercheurs à plein temps, financièrement autonomes, qui étudieraient les diverses disciplines concernées pourrait résoudre cet ensemble d’énigmes liés aux phénomènes paranormaux. Cependant, il craint que la nature éparse de telles études risque de ne pas aboutir à un résultat significatif. Imbrogno lance donc un appel à tous ceux qui travaillent sur ces questions : « Il faut qu’on en finisse. Nous essayons tous de résoudre ces problèmes. Nous avons toutes les pièces du puzzle. Puissions-nous travailler ensemble et nous concerter ! ».
 
 
Ci-dessus : un de dessin de Monique O’Driscoll qu’elle a réalisé suite à son obervation du 26 février 1983. Alors que Mme O’Driscoll roulait avec sa fille en bordure du lac de White Point situé au nord-ouest de Carmel dans le comté de Putnam, elle vit un immense « Boomerang » qui était en position stationnaire au-dessus de la surface gelée du lac. L’engin était silencieux et projetait un faisceau de lumière rouge en direction de la surface du lac. Il était éclairé de nombreuses lumières rouges, bleues, jaunes et vertes. Cette observation extraordinaire s’est accompagnée d’un contact psychique entre Monique et l’ovni. En effet, quand elle formula mentalement le souhaite que l’ovni ne s’éloigne pas, ce dernier pivota sur son axe et revint en direction des témoins. Tout c’était passé comme si l’intelligence aux commandes de l’ovni avait « entendu » la demande de Monique. Le contact psychique entre témoin et ovni est d’ailleurs l’une des caractéristiques de cette vague de l’Hudson Vallée. Selon les enquêteurs, 9 témoins sur 10 auraient vécu un tel contact psychique.
 
 
Ci-dessus : la centrale nucléaire d’Indian Point. Cette centrale nucléaire est équipée de trois réacteurs nucléaires qui sont situés à Buchanan, dans l’Etat de New York au sud de Peekskill. La centrale produit environ 2000 MWe (mégawatts électriques ou 106 watts) et elle est installée sur la rive est de la rivière Hudson, à 24 miles (environ 39 km) au nord de New York. Le site comprend deux réacteurs à eau pressurisée (REP) en exploitation : Indian Point 2, de 971 MWe nominal, et Indian Point 3, de 984 MWe nominal. Ces réacteurs ont été construits en 1974 et 1976 par la société Westinghouse. Ils appartiennent à la société Entergy Nuclear Northeast, une filiale d’Entergy Corporation. Ils sont exploités par cette même société. Par ailleurs, Entergy est resté propriétaire du 1er réacteur construit sur le site : Indian Point 1, réacteur aujourd’hui à l’arrêt. Ce réacteur, construit en 1962 par Consolidated Edison a été arrêté en 1974, et il fait l’objet d’une conservation en l’état (disposition permettant de bénéficier de la décroissance radioactive avant démantèlement). Le site emploie 1500 personnes et bénéficie d’une étroite protection. L’installation de cette centrale a fait l’objet d’une importante controverse de la part des associations antinucléaires qui ont demandé son arrêt total en 1979. Les enquêteurs du CUFOS (Center for UFO Studies) ont reçu le témoignage d’un agent de la sécurité responsable d’un des réacteurs d’Indian Point. Le réacteur se trouve dans une zone de haute sécurité et il ne peut pas être survolé sans autorisation. Les recherches sur ce cas se sont avérées très difficile car le responsable du réacteur refusait toute enquête sur le terrain dans l’enceinte de la centrale. Il était interdit de pénétrer le secteur de la centrale, et les employés ne devaient pas être questionnés. Cet interdit était gênant pour l’enquête parce que l’ovni avait été filmé par le matériel technique de surveillance. Finalement, l’un des agents de sécurité a été rencontré de façon non officielle. Il y a eu deux observations à Indian Point pour être précis. La première s’est déroulée le 14 juin 1984 vers 22h15. De puissantes lumières ont été vues à proximité de la centrale et elles se sont ensuite dirigées directement vers les réacteurs. Ces lumières avaient la forme d’un « boomerang » et sont restées stationnaires une quinzaine de minutes au-dessus des installations sensibles. L’ovni planait si bas qu’on pouvait nettement distinguer une masse sombre derrière les lumières. La présence de cette masse sombre a été confirmée lorsqu’un avion de ligne qui décollait (et dont les feux de position étaient visibles) a disparu de la vue des témoins (10 témoins et 3 agents de la sécurité) derrière celle-ci. Dix jours plus tard, c’est-à-dire le 24 juillet 1984, le même objet, ou un objet semblable, est de nouveau apparu. Cette fois-ci, 7 agents de la sécurité l’ont observé pendant 20 minutes et ont pu voir une gigantesque structure qui a dissimulée les étoiles du ciel nocturne. La structure était donc bien solide et matérielle. Elle était aussi grande que trois terrains de football, confiera l’un des témoins. Cette observation fut bien plus alarmante que la première puisque l’objet planait à très basse altitude juste au-dessus des réacteurs. Les agents de sécurité se trouvaient juste en-dessous de l’objet, leurs armes en main, attendant le signal pour tirer. La garde nationale, contactée, tenta d’identifier l’objet en vain, et décida d’envoyer un hélicoptère qui aurait éventuellement ouvert le feu sur l’ovni. Cependant, il disparu rapidement et aucune tentative de ce genre n’a pu être entreprise. Dans la centrale, un agent de la sécurité a pu voir l’objet sur les caméras de surveillance, il avait la forme d’un immense « V ». Il a pu observer dans le détail sa structure. Toute la scène à été filmée. Il a pu voir des sortes d’ouvertures rappelant celles de dispositifs de mise à feu pour des fusées ou quelque chose de ce genre. Au moment où l’ovni survolait la centrale nucléaire, le système informatique de sécurité, les instruments du poste de contrôle, ainsi que les détecteurs de mouvements ont tous cessés de fonctionner. Sur les trois réacteurs, un seul était actif. L’ovni s’est positionné juste au-dessus de lui comme s’il connaissait l’état du réacteur. Peu de temps après, l’ovni disparaissait en se déplaçant lentement.
 
 
Ci-dessus en haut à droite et à gauche, et en bas à droite : des ovnis en forme de « V », de chevron, ou de « boomerang » ont été observés dans la Vallée de l’Hudson. La partie inférieure de ces immenses structures comportait des sortes de « projecteurs » de lumière répartis tout le long des deux « bras ». Parfois la structure était complètement sombre comme en bas à droite. Ces structures, dont la largeur totale était parfois estimée à 300 mètres,
étaient capables d’effectuer des vols stationnaires, de se déplacer à faible vitesse, ou d’accélérations foudroyantes. Ci-dessus en bas à gauche : dessin fait à partir de plusieurs témoignages dans la soirée du 26 février 1983, près de Kent et de Lake Carmel, dans l’état de New-York.
 
 
Ci-dessus : reconstitution artistique d’une structure en forme de boomerang. Cette reconstitution correspond à un cas réel d’observation. L’engin a survolé les habitations à faible altitude. Les témoins ont pu voir des sortes de « tubes » ou des « tuyaux » sous le boomerang. D’une façon générale, les objets observés dans la Vallée de l’Hudson semblaient privilégier les rencontres rapprochées. Ils étaient fréquemment vu se déplaçant et planant à basse altitude au-dessus de la cime des arbres ou des toits des habitations. Un témoin déclare qu’il aurait pu facilement atteindre l’ovni avec une balle de baseball. Dans la majorité des cas, des lumières étaient d’abord observées puis les témoins remarquaient que ces lumières faisaient partie d’une masse sombre lorsque l’engin se rapprochait. Le métal (s’il s'agit bien d’un métal) a été décrit de couleur gris foncé ou noir. Les observations ont été le plus souvent faites de nuit, cependant, deux d’entre elles ont eu lieu en plein jour. Dans ces deux cas, les objets aperçus avaient la forme de boomerangs et semblaient fabriqués avec un métal gris foncé. Le comportement aérien de ces objets était étrange. Ils pouvaient planer, voler très lentement ou extrêmement rapidement. En outre, ils semblaient pouvoir se déplacer à une vitesse phénoménale, comme projetés, d’un point à un autre presque instantanément. Un témoin au volant de sa voiture a observé des lumières très éloignées dans le firmament, soudain, ces lumières planaient au-dessus du témoin sans qu’il ait pu les voir se déplacer vers lui. Une certaine curiosité de la part des occupants des ovnis a été également constatée. En effet, le 12 juillet 1984, un de ces objets planait sur une maison où un incendie s’était déclaré. L’ovni semblait observer le travail des pompiers, qui eux mêmes observaient l’ovni. Ces engins apparaissaient parfois massifs, parfois transparents, ou bien changeaient de forme. Ils semblaient privilégier des disparitions spectaculaires, soit en disparaissant subitement ou en s’éloignant à une vitesse extraordinaire. Selon les témoins, les observations se sont déroulées de façon presque « irréelle ». Une masse immense, volant à très basse altitude et silencieuse avait le même effet qu’une rencontre avec un « fantôme ». Cette masse était vue, mais elle n’était ni « sentie », ni entendue, elle paraissait irréelle. Des témoins rapportent également un projecteur puissant balayant les environs, se posant sur les bâtiments ou les témoins. Cette lumière semblait pouvoir être pointée directement sur l’objet visé ou sur la personne. Elle était si intense qu’elle éblouissait fortement. Dans quelques cas, des sphères lumineuses rouges semblaient s’échapper de ce rayon lumineux et se déplaçaient ensuite dans les environs. Ces engins étaient totalement silencieux la plupart du temps, quelques témoins rapportent un léger vrombissement, comme celui d’un générateur électrique. Quand l’ovni apparaissait, les témoins constataient des problèmes avec leur radio dans leur véhicule, et cela pendant toute la durée de l’observation. Ce fait est courant en ufologie. Il suppose que l’engin perturbe de façon importante toutes les ondes électromagnétiques. Notons que des ovnis ont survolé les autoroutes, et qu’une partie de la circulation a été immobilisée. Les automobilistes, sortaient de leurs véhicules et observaient les engins qui se trouvaient seulement à quelques mètres au dessus d’eux.
 
 
Ci-dessus : Photographie prise le 17 juin 2007 en Californie (source : Mufon). L’objet ressemble étonnamment aux engins en forme de « V » observés lors de la vague de la Vallée de l’Hudson. La partie supérieure de l’ovni semblait fait de métal couleur or. Cette surface était très réfléchissante et lisse. La partie inférieure avait une couleur bronze terne et ne paraissait pas réfléchir la lumière. L’engin ne faisait absolument aucun bruit et il se déplaçait très lentement (trop lentement pour que ce soit un avion). Lors de l’observation le « V » était incliné en arrière, puis tout d’un coup, il a basculé son nez à un angle de 45 degrés et monta rapidement dans le ciel. Il était complètement hors de vue après environ trois secondes. 
Sourcenawewtech.angelfire.com
 
 
 
Ci-dessus : reconstitutions de l’ovni observé au-dessus de l’Arizona, du Nevada, ainsi que du Sonora (Etat du nord du Mexique) en mars 1997. Cet ensemble d’observations qui intègre aussi les fameuses « lumières de Phoenix », offre une incontestable ressemblance avec les ovnis de la Vallée de l’Hudson. La forme générale de « V » ou de chevron est identique. Il semblerait que l’ovni de 1997 possédait des dimensions plus imposantes que celui de la Vallée de l’Hudson. Entre 1951 (« lumières de Lubbock » -Texas) et 2007, les Etats-Unis ont été survolés par d’immenses structures en forme de « V » qui ont été vus par plusieurs milliers de témoins.

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