La catégorie des triangles à quatre feux (Type T4F)​

Un dossier signé Daniel Robin www.lesconfins.com et publié sur Ovnis-Direct le 14/01/2014

La catégorie qui vient juste après les triangles sombres à trois feux est celle des triangles à quatre feux ou « Type TF4 ». Dans cette catégorie figurent les observations mentionnant des triangles à trois feux avec un quatrième feu généralement placé au centre de l’engin. Dans de nombreux cas, ce quatrième feu est d’une couleur et d’une forme différence des trois autres. Dans cette catégorie, les engins triangulaires ne sont pas toujours sombres ou noirs. Leur surface inférieure peut, en effet, être visible et décrite comme étant « grise métallique » par exemple. Dans certains cas (lors de la « vague belge » par exemple), le feu central de couleur rouge s’est détaché de la structure, a évolué autour d’elle comme pour explorer son environnement, puis est revenu se placer au centre. Encore une fois, nous ignorons la fonction de ce mystérieux feu rouge qui est capable de se désolidariser de la structure triangulaire. Quand nous parlons « d’exploration », ce n’est qu’une hypothèse.

 
Ci-dessus : deux exemples de structures triangulaires à quatre feux tirés des enquêtes effectuées lors de la « vague belge ». Nous voyons que le quatrième feu est au centre et qu’il est de couleur rouge.
 
Challis, Idaho – Septembre 2000. Un triangle grand comme un terrain de football.
Source, site Internet Ovni USA : ovnis-usa.com

L’enquêtrice Linda Moulton Howe (LMH) a profité de son déplacement au 10ème Festival Ovni de McMinnville pour rencontrer les frères Bales et recueillir leurs témoignages sur une observation exceptionnelle qui s’est déroulée le 27 septembre 2000.
A cette date, quatre chasseurs ont vu un immense triangle, mesurant près de 100 mètres d’envergure, silencieux, se déplacer au-dessus d’eux à environ 70 mètres de hauteur. Cette rencontre rapprochée avec un immense triangle s’est produite à Challis, dans l’arrière pays de l’Idaho où quatre chasseurs avaient établi leur campement. Les frères Kris et Marc Bales dirigent une entreprise de bâtiment à Bend, dans l’Oregon. Cela faisait vingt ans qu’ils venaient chasser dans la région de Challis, dans une vallée qui se situe à une altitude de 2000 mètres, entourée de montagnes culminant à 4000 mètres. Leur ami Rob, et son père, les accompagnaient. Le groupe avait chassé toute la journée dans les bois et venait de rentrer pour préparer le dîner dans leur caravane. Vers 21h15, Kris Bales est sorti de la caravane pour aller chercher des provisions dans sa camionnette.

…Kris Bales raconte : J’allais prendre mon sac, quand j’ai ressenti une impression étrange. Pour vous donner une image, c’était comme si vous vous trouviez dans une caverne assez obscure, et des gens auraient étendu une épaisse couverture de laine au-dessus de vous, et bien qu’elle ne vous touche pas directement, vous avez le sentiment que quelque chose vous a recouvert. J’ignore pour quelle raison, mes cheveux se sont dressés sur ma nuque, et j’ai regardé vers le haut, en me reculant un peu de la camionnette. J’avais une petite lampe torche dans la main droite. C’est comme par réflexe que j’ai braqué la lampe vers le ciel, et c’est là que j’ai vu cet objet. Je me souviens que ma torche a éclairé vers le haut des arbres, et dans la lumière j’ai vu un objet qui obscurcissait totalement le ciel. C’était une très belle soirée, sans brume ni vent. Cette chose cachait entièrement le ciel au-dessus de moi. La lumière de ma torche me permettait de voir la couleur et la texture. C’était une forme triangulaire, et autant que je me souvienne, chaque côté faisait la longueur d’un terrain de football. C’est l’image de référence qui m’était venue à l’esprit, comme la distance entre deux buts sur un terrain. Donc c’était énorme !

…LMH : Ce qui ferait peut-être une centaine de mètres de côté.

…Kris Bales : C’est cela. Donc c’était assez impressionnant ! (rires) Les contours extérieurs étaient plats, noirs comme du charbon, avec des taches sombres qui semblaient être mélangées avec d’autres plutôt dorées, tirant sur le vert, un peu comme du cuir tanné.

Les notes de Kris Bales datées du 27 Septembre 2000 : J’ai l’impression qu’une épaisse couverture s’étend sur moi. Il y a une forme sombre juste au-dessus de moi et de la caravane. J’ai levé les yeux et j’ai vu les contours de cette forme parce qu’elle se détachait sur le ciel et cachait les étoiles. AUCUN BRUIT. Ma lampe torche a éclairé la surface d’en bas – était-ce le coin inférieur droit ? Ou bien de l’avant vers l’arrière ? A un angle d’environ 45 degrés c’était devenu très net (pendant moins d’une seconde). J’ai pu observer la couleur, la texture, et les bords. La lampe torche a semblé causer une réaction de l’engin, comme s’il savait qu’il avait été remarqué. Un son très grave de « remise des gaz », extrêmement puissant, a graduellement augmenté, et l’engin a commencé à léviter verticalement, puis il s’est déplacé très lentement en direction du canyon. Alors qu’il s’élevait, la lumière s’est mise à briller mais faiblement, comme un phare d’urgence, et la lueur centrale rouge sombre a commencé lentement à pulser (pas comme un flash), alors qu’il s’élevait du canyon jusqu’à disparaître. AUCUN BRUIT après la « remise des gaz ».

…LMH : De quelle couleur était la base de l’objet ?

…Kris Bales : Plutôt doré, tirant sur le vert, et mat, pas du tout brillant. Au début, il n’y avait pas de lumières. Cette chose se trouvait à une hauteur d’environ 30 à 60 mètres au-dessus de moi. Je savais que les arbres faisaient une trentaine de mètres, donc ça n’était pas plus bas. L’engin se maintenait en l’air sans aucun bruit. Cette chose énorme était en lévitation sans bouger. J’étais dans un état d’incompréhension totale au sujet de ce qui m’arrivait. Quand la lumière de ma torche a accroché la partir inférieure de l’engin, j’ai pensé : « whoops », on nous a trouvés ! Il y avait des lumières en-dessous, à chacun des coins du triangle, qui faisaient peut-être 10 mètres de diamètre chacune. Elles avaient commencé à s’allumer après que j’eu dirigé ma torche vers l’objet. Cela me faisait penser à ces dômes d’alerte qu’on pose sur le toit des voitures, mais elles n’éclairaient pas vraiment. Les lumières n’éclairaient pas les arbres ni le sol. Je les voyais distinctement, mais elles ne servaient visiblement pas à éclairer ce qui se trouvait en-dessous.

…LMH : Avaient-elles une couleur ?

…Kris Bales : Non. Tout ça s’est passé en une fraction de seconde. C’est plus long à raconter que la durée réelle de l’évènement lui-même. Au moment où les lumières se sont allumées, j’ai vu sous l’engin, au centre, une sorte de couvercle inversé, comme sur un pot de confiture. C’était environ trois fois plus grand que les plots lumineux. Cette lumière centrale s’est allumée très lentement, et elle était de couleur rouge, intense, comme un rubis. Là encore, ça ne brillait pas, ça n’éclairait pas vraiment. Elle devait faire une trentaine de mètres de diamètre.

…LMH : C’était immense !

…Kris Bales : Oui ! En même temps que cette lumière s’allumait, l’engin a commencé à émettre un son très grave, subsonique. Cela m’évoquait les turbines d’un barrage hydro-électrique. C’est le seul son que nous avons entendu. C’était le silence complet jusque-là. Cela n’a duré qu’une fraction de seconde, puis cette chose a commencé à s’élever. L’engin devait s’élever tout droit, à cause de la configuration de la vallée. Je me suis mis à hurler. J’étais tombé à genoux, parce que je ne parvenais pas à comprendre. C’était bien davantage que de la surprise ou de la frayeur. Il m’est arrivé de me trouver face à des ours, l’un d’eux m’avait même poursuivi. J’avais eu très peur, mais au fond ce n’étais rien comparé à ce que je vivais à ce moment-là. J’ai alors hurlé : bon sang, venez tous voir ça ! Mon frère Marc est sorti le premier de la caravane. J’ai pris appui sur lui pour me relever, et j’ai montré le ciel, sans parler. Alors, Marc a regardé et Rob a eu la présence d’esprit de courir vers leur camionnette et ils ont pris leurs jumelles pour observer l’objet. L’engin avait commencé à se déplacer vers l’avant quand Marc levait la tête. Donc il n’était plus au-dessus de nous. Il se déplaçait extrêmement lentement, et toujours en silence. Comment un objet aussi énorme peut-il se déplacer comme ça ? J’ai aussi eu le sentiment que ça n’était pas terrestre. Je ne sais pas pourquoi. J’ai aussi été frappé par la perfection de ses lignes. Lorsque la torche avait éclairé sa base, il n’y avait pas de rivets, pas de boulons, aucune surface réfléchissante, pas de marques d’identification sur cet immense triangle. Nous avons pu l’observer encore pendant une quinzaine de secondes, alors qu’il s’élevait par paliers de la vallée, passant de 2000m à près de 4000m, à une distance d’environ 7 miles (7 miles = 11265.408 mètres, 11 kilomètres environ).

 

Ci-dessus : montage de dessins de témoins et reconstitutions de l’aspect des ovnis triangulaires ayant été observés en Belgique entre 1989 et 1993. Source SOBEPS. Nous proposons une série de liens vers les travaux du Professeur Auguste Meessen qui a mené des études très sérieuses sur le phénomène ovni et la « vague belge » :
. Le phénomène ovni et le problème des méthodologies : lesconfins.com
. Réflexions sur la propulsion des ovnis : lesconfins.com
. Réflexions sur le Phénomène Ovni : lesconfins.com
. Etude approfondie et discussion de certaines observations du 29 novembre 1989 : lesconfins.com

 

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