Les thèmes qui seront traités :
- La recherche Ovni en France et aux USA
- Questions sur le rapport du 25 juin
- L’ouvrage « TRINITY : Le secret le mieux gardé » sur un éventuel crash et récupération d’ovni
- Conscience et physicalité des ovnis
- Le Ranch Skinwalker
Une recherche révolutionnaire révèle les premières preuves de la récupération des ovnis du gouvernement américain
Des preuves solides existent depuis 1945 pour la récupération réelle d’engins volants non identifiés aux États-Unis, selon ce nouveau livre de recherche, “TRINITY: The Best-Kept Secret” écrit par deux analystes chevronnés.
La journaliste d’investigation italienne Paola Leopizzi Harris et le scientifique d’origine française, le Dr Jacques F. Vallée se sont associés pour découvrir les détails d’un crash au Nouveau-Mexique en 1945, deux ans avant l’incident bien connu de Roswell et la célèbre observation par pilote Kenneth Arnold en 1947.
Au cours de plusieurs enquêtes sur le site, Harris et Vallée ont reconstitué les observations historiques de trois témoins, dont deux sont encore en vie, qui leur ont décrit les circonstances de l’accident, avec des détails sur la récupération d’un véhicule volant presque intact et de ses occupants par un détachement de l’armée.
Combinant leur longue expérience dans la recherche sur le terrain à travers le monde, les auteurs ont documenté les efforts pas à pas déployés par l’armée pour retirer l’objet, un engin en forme d’avocat pesant plusieurs tonnes, de la propriété où il s’est écrasé lors d’une tempête.
Étonnamment, la littérature du domaine ne comprend que quelques mentions passagères sur l’affaire, et un seul documentaire télévisé (étranger) l’a mentionné, mais la corrélation entre le crash de l’objet extraordinaire et l’explosion de la première bombe atomique à White Sands , à moins de 20 miles, a été manqué. Harris et Vallée suggèrent que la corrélation est significative pour des raisons physiques, géographiques et biologiques, indépendamment des implications stratégiques évidentes.
Les témoins ont pu observer non seulement l’écrasement réel de l’objet sur leur propriété, mais chaque étape des efforts militaires pour le soulever et l’enlever. Craignant des représailles, ils sont restés silencieux pendant environ 60 ans sur ce qu’ils avaient vu et fait au cours de ces neuf jours sur le site pendant que la récupération se poursuivait. Placé dans le contexte de l’histoire de l’analyse chimique et physique des débris d’OVNI récupérés – une zone où Harris et Vallée ont longtemps collaboré – les dispositifs observés par les témoins soulèvent un certain nombre de questions scientifiques très importantes.
Jacques Vallée obtient une licence de mathématique à la Sorbonne et une maitrise d’astrophysique à l’Université de Lille et entame sa carrière professionnelle en tant qu’astronome à l’Observatoire de Paris en 1961.
En 1962, il quitte la France pour exercer l’astronomie à l’université du Texas (États-Unis), où il contribue à établir la première carte informatisée de Mars pour la NASA.
Il étudie ensuite à l’université Northwestern, où il obtient un doctorat en informatique. Il travaille à l’Institute for the Future, il est nommé responsable de la recherche du système de téléconférence PLANET fonctionnant sur ARPANET. Il officie également au National Advisory Committee of the University of Michigan College of Engineering2. Il participe aux travaux du SRI3 à Menlo Park, dans la Silicon Valley en Californie, notamment sur Arpanet (le réseau ancêtre d’Internet) et sur la vision à distance, le remoteviewing.
Il découvre l’intelligence artificielle et rejoint le projet Blue Book. S’intéressant de plus en plus aux ovnis, il propose, en 1966, un système de classification des observations d’ovnis, qui sera suivi d’un second en 1990.
Il fonde avec son mentor J. Allen Hynek le Collège Invisible, qui se fondra ensuite dans le CUFOS, un groupe d’experts du monde entier qui s’interrogent sur les soucoupes volantes sans pour autant forcément y croire.
Jacques Vallée voit dans le phénomène ufologique un système de « contrôle » évolutionniste terrestre, s’exerçant sur l’inconscient collectif de notre espèce, dans une vision holistique, par des phénomènes parapsychologiques ou religieux. Cette perception de l’auteur s’exprime notamment dans sa trilogie Autres dimensions/confrontations/révélations à l’orée des années 1990.
Steven Spielberg fait de lui son modèle pour le personnage de Lacombe, le savant français interprété par François Truffaut dans son film Rencontres du troisième type.
Actuellement Vallée étudie les isotopes sur des échantillons issus de projections d’ovnis, ce qui permettrait d’identifier les éléments qui ne sont pas terrestres. Le 26 juin 2017 il vient faire à Paris une conférence sur la question de la composition matérielle des ovnis.
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