Vague Ovnis de 1954

Vague d’ovnis de 1954

L’année 1954 reste une date historique pour tous les ufologues, car une vague d’ovnis a eu lieu sur toute la planète et notamment en France avec une quantité importante de témoignages. La presse en a parlé d’une manière récurrente. Notons que la radio et les journaux étaient les principaux médias accessibles à l’époque par la population. On compta 1000 dépositions en gendarmerie concernant des atterrissages d’ovnis dans tout le pays et 472 rapports rien que pour cette même année. C’est surtout durant l’automne 1954 que des engins en formes de soucoupes ou de cigares sont aperçus dans le ciel. En France, les zones rurales et urbaines sont aussi bien concernées les unes que les autres. On va tenter de décortiquer chaque fait relatif à l’ufologie qui aurait eu lieu durant cette année 1954 et tenter de trouver une explication à cette vague.
 » Beaucoup de spécialistes à cette époque pensaient que les soucoupes étaient un phénomène exclusivement lumineux provoqué par des résidus de champignons atomiques. La radioactivité d’un nuage d’une bombe reste et ne se dilue pas aussi uniformément dans l’atmosphère qu’on pourrait penser. « 
 

Ils se morcellent en domaines de plus en plus petits, mais persistent très longtemps dans des zones tourbillonnaires de gaz ionisés. Ces sortes de « plasmas » (ce ne sont pas exactement des plasmas au sens de la physique classique puisque ce n’est pas un gaz « raréfié ») jouent le rôle de la foudre en boule, dont on ne sait toujours pas très bien ce qu’elle est exactement.

On avait donc dans ces années une certaine corrélation entre le nombre d’explosions et les apparitions d’Ovnis :

– Trois premières explosions atomiques en 1945
– Bikini en 1946, justement l’année des premières manifestations du phénomène lumineux soucoupiste.
– Eniwetok en 1948 : trois explosions améliorées et l’explosion de la première bombe soviétique en 1949. On continue à voir quelques soucoupes.
– Puis ce sera les essais thermonucléaires : des dizaines de mégatonnes en novembre 1952, 1953 et mars-avril-mai 1954 dans le Pacifique et l’Arctique. La radioactivité disséminée est proportionnelle à l’énergie dégagée et d’autant plus, à ce moment, que c’était des bombes primitives particulièrement « sales », c’est-à-dire à enveloppe d’uranium radioactivité par les neutrons; au total l’équivalent de milliers de bombes du type Hiroshima-Nagasaki. Coïncidence?

L’année 1954, surtout l’été qui suivit la série américaine du printemps, vit la grande vague européenne de soucoupe : des objets lumineux, de formes variées, qui balayaient le ciel de la France en ligne droite comme s’ils étaient soumis aux lois de l’électrodynamique et du magnétisme terrestre. Ce seront ensuite les séries d’explosions et les vagues de soucoupes de 1956-1957 qui s’achèveront après deux ans d’interruption de 1961 et 1962 qui ont rempli le réservoir stratosphérique de radioactivité pour de nombreuses années. « 

Les faits suivants qui sont décrits ne bénéficient pas d’un total crédit et sont à prendre au conditionnel. Cela fait partie de ce que j’appelle le folklore ufo-conspirationniste.

Le 25 Mars 1948, un extraterrestre vivant est capturé après l’écrasement d’un OVNI dans le Colorado. Le Crash de l’engin est observé à l’aide du radar et les autorités savent exactement où se situe l’impact.
Les hauts gradés se mobilisent dans le plus grand secret et se rendent sur les lieux où ils découvrent 5 corps extraterrestres de petites tailles.
L’humanoide rescapé garde le silence durant un an puis donne par la suite des informations sur sa planète d’origine. Il montre qu’il peut communiquer à l’aide d’un cristal avec des vaisseaux spatiaux à des distances lointaines de la terre et utiliserait le cosmos pour se déplacer. 

Le 20 février 1954, une rencontre aurait eu lieu entre le président des États-Unis Eisenhower et les ET, à leur demande.
Ceci nous est compté par Lord Clancarty, membre du parlement britannique, à qui l’affaire aurait été rapportée par un ancien pilote d’essai de l’Air Force qui faisait partie des six personnes qui rencontrèrent les extraterrestres ce jour-là.
Trois soucoupes et deux objets en forme de cigare atterrirent sur le lieu de rencontre.
D’après le pilote d’essai, ces êtres avaient un aspect humain, mais pas tout à fait. Ils avaient les mêmes mensurations qu’un humain ordinaire, et pouvaient respirer sans l’aide d’un masque ou d’un casque. Ils s’exprimaient en anglais avec le président.
Des négociations auraient eu lieu afin d’autoriser la présence de ces ET sur terre, mais le président Eisenhower leur précisèrent que les habitants de la terre n’étaient pas encore prés et qu’ils seraient, très vite, pris de panique.
Les aliénés acceptèrent cette idée disant qu’ils continueraient à contacter des personnes isolées jusqu’à ce que les habitants de la Terre soient habitués à leur présence.
Ensuite, le président fut témoin d’une démonstration de la technologie ET et ils lui montrèrent comment ils pouvaient se rendre invisibles.
Ceci aurait mis le président mal à l’aise. Puis ils s’en allèrent.
Le pilote raconta à Lord Clancarty qu’il n’avait jamais parlé de cette histoire à quiconque et que les autres personnes présentes ce jour-là étaient décédées.

Il y a d’autres témoins comme un sergent d’artillerie stationné à la base Edwards ou Gerald Light qui écrivit une lettre datée du 16 avril 1954 à l’auteur Meade Layne lui disant qu’il avait vu cinq Ovnis atterrir à la base.
D’autres versions de cette fameuse rencontre avec des circonstances différentes sont aussi sorties.
Notons enfin qu’Eisenhower est sûrement le dernier président des États-Unis à avoir était totalement au courant de ce qui se passait dans le silence.
On pourrait qualifier ces êtres, décrits par les pilotes, de Grands Blancs ou de Nordiques.

“ Il y avait environ 300 personnes, qui s’étaient rassemblées sur un côté de la base, pour voir l’Air Force One se poser. L’avion présidentiel s’était curieusement immobilisé à 800 mètres, seul dans cet endroit reculé, et les moteurs à l’arrêt. Pas de tapis rouge, ni d’orchestre, pas de parade d’honneur, seulement quelques meuglements de vaches au loin…
Les employés civils et les militaires reçurent l’ordre de retourner à leurs tâches, et la base reprit une activité normale. Néanmoins, la question circulait : Ike est-il dans l’avion ? Que se passe-t-il ?
On avait notifié aux civils et militaires que tout devait se dérouler comme à l’habitude pendant la visite du Président.
Peu de temps après, un Ovni est venu se poser à cent mètres devant l’Air Force One. Un homme, que l’on présume être Eisenhower, est sorti de l’avion et s’est dirigé vers l’Ovni.
La rencontre a duré 45 minutes, puis le personnage est retourné vers l’avion. Un autre Ovni s’était maintenu dans les airs au-dessus de la piste pendant toute la durée de cet échange.“

“Il est fort possible que le Président Eisenhower eût rencontré des ETs l’année précédente sur la base de MUROC (devenue Edwards AFB). La presse avait mentionné en février 1954 le fait que “Ike avait disparu pendant quelques heures“.

Art Bell ajoute : “Le chercheur canadien Grant Cameron, spécialiste de l’histoire des présidents, en regard de la question Ovnis, m’avait raconté que Ike, l’année précédente à Muroc, était entouré de 250 personnes. On pense que cette fois Eisenhower avait tenu à fausser compagnie aux journalistes qui le croyaient toujours à Thomasville, parce que les autres nations, y compris les Russes et le bloc Communiste, devaient absolument ignorer cette rencontre.”

Les Grands Blancs

Entre 1965 et 1967, Charles James Taylor avait été assigné comme observateur météo pour l’US Air Force sur la base de Nellis dans le Nevada.
Cet homme, très diplômé, dispose d’une autorisation d’accès à un niveau secret du Département américain de la Défense.
Il a attendu que ces enfants grandissent pour raconter son histoire d’humanoïdes de grandes tailles, minces, à la peau blanche et crayeuse, aux grands yeux bleus en formes d’amandes…
Ils ressemblaient à des humains et pouvaient vivre jusqu’à 800 ans selon Taylor même s’ils mettaient beaucoup plus de temps à guérir de leurs maladies que nous.

Ils échangeaient avec les généraux américains des technologies telles que des systèmes de communications, mais rien de ce qui concernait les engins à vitesses  » supraluminiques « . Ils aidaient au développement de véhicules à propulsion nucléaire, mais pas à celui de systèmes de propulsion pour le voyage spatial, et ne partageaient pas leurs technologies relatives à l’antigravité.
Ils utilisaient la terre comme base de réapprovisionnements pour des voyages spatiaux extrêmement longs.
Ces êtres gardaient leurs activités très secrètes de manière à ce que les humains proches d’eux ne puissent pas s’inspirer de leurs vaisseaux.
Notons que ces ET dits  » Grands Blancs  » possédaient une sorte d’arme en forme de stylo pouvant provoquer la paralysie, le sommeil, ou même la mort.
Ce détail me semble très important étant donné le rapprochement que je tenterai d’effectuer avec l’affaire de Valensole en France, dans les pages qui suivront.

Selon Charles James Taylor, les dernières traces de présences de ces Grands Blancs sur la base de Nellis datent de l’année 1954 même s’ils devaient y être depuis probablement plus longtemps.

Charles James Taylor aurait pu tout aussi bien être engagé par le gouvernement afin de raconter ce récit. De même pour Bob Lazar ou d’autres militaires de l’armée qui ont prétendu risquer leur vie pour dévoiler la vérité alors qu’ils étaient simplement employés par le gouvernement.
Mais peut-être bien qu’il dit la vérité. On ne peut guère émettre de certitudes à ce sujet.

Pour en revenir à l’année 1954, on peut remarquer un net rapprochement entre les activités nucléaires sur la planète et les apparitions d’Ovnis.

On a un exemple du 1er mars au 22 avril 1954 où a eu lieu l’Opération Castle qui consistait en une série d’essais nucléaires sur l’atoll de Bikini.
C’est alors qu’en Septembre et Octobre 1954, une Grande Vague d’Ovnis déferle sur la France et dans certaines parties du monde.
L’explication de ces phénomènes, qui se traduit par des pics d’observations, semble être en rapport avec certaines activités pouvant être des symboles d’instabilité sur terre. C’est à dire des problèmes liés à l’environnement dus aux rejets de dioxydes de carbone dans l’atmosphère, et à la forte activité nucléaire ou militaire (guerre d’Indochine en 1954) dans certains cas.
Un climat social extrêmement tendu régnait en France à cette époque ainsi qu’une instabilité ministérielle et un climat de grève permanent.
On constate à cette époque que le peuple français était mécontent dans son ensemble.
Avaient-ils envie ou besoin de voir ces Ovnis ? Ces engins observés, étaient-ils d’origine ET et se souciaient-ils du sort de l’humanité à cette époque ? S’agissait-il de la théorie de Gaia (que nous développerons plus tard), cette conscience dite planétaire qui tentait encore une fois de maintenir la biosphère à son niveau optimal ?

21 janvier 1954

Lancement du premier sous-marin nucléaire. L’USS « Nautilus » sort des chantiers navals de Croton dans le Connecticut. Long de 91 mètres et pesant plus de 3 000 tonnes, le « Nautilus » est le premier bâtiment à propulsion nucléaire au monde. Il est baptisé ainsi en hommage à Jules Vernes et au sous-marin du Capitaine Nemo dans « Vingt mille lieues sous les mers ». Il entrera officiellement en fonction à partir du mois de septembre. Le « Nautilus » est capable de rester plusieurs semaines immergées et de parcourir ainsi 140 000 kilomètres. En août 1958, il sera le premier bâtiment à naviguer sous la calotte glacière du pôle Nord.

27 juin 1954

La première centrale nucléaire mise en service.

L’URSS est le premier pays à produire de l’électricité nucléaire en ouvrant la première centrale à Obninsk. Deux ans plus tard, une centrale nucléaire au fonctionnement différent sera construite en Grande-Bretagne. En France, la première centrale opérationnelle exploitée commencera sa production à Chinon en 1963. Les méthodes utilisées à travers le monde sont alors multiples et le nucléaire semble promis à un bel avenir. Mais son coût augmentera aussi vite que son image se détériorera dès les années 70-80, jusqu’au drame de Tchernobyl en 1986.

On peut aussi noter que le 9 septembre 1954, un tremblement de terre de magnitude 6,8 fait 1 450 victimes à Orléansville en Algérie.
Si cela a un rapport, on l’ignore encore complètement aujourd’hui.

D’autres pays tels que l’Espagne, l’Italie, le Portugal, l’Inde, les États-Unis (une énorme boule de feu verte traverse le sud des États-Unis à quelques milliers de mètres d’altitude) ou la Tunisie furent les théâtres d’apparitions.

Vous trouverez sur la droite de l’écran des cas étudiés plus en profondeur concernant cette année 1954.

L’Observation d’Antananarivo

Cette observation de Tananarive, à Madagascar est l’une des plus grandioses où on compterait des centaines, voire même des milliers de témoins. Le 16 août 1954 vers 17h, plusieurs dizaines de milliers de personnes aperçoivent une boule verte survoler la ville durant quelques minutes laissant une traînée derrière elle, et changeant plusieurs fois de vitesse et de direction.  L’objet réapparut une minute plus tard, survolant les hauteurs d’Antananarivo sans bruit à peu près cent mètres du sol. Des villes auraient même connu des pannes de courant lors du survol de l’engin d’environ 40 mètres de diamètre. Après avoir volé au-dessus de Tananarive, il est reparti vers l’Ouest. Deux ou trois minutes après, un objet identique a été observé à 150 km de l’endroit au-dessus d’une ferme école.  On a même des témoignages de personnels d’Air France.
M. Edmond Campagnac, ancien directeur technique d’Air France à Tananarive, a participé à l’étude du cas pour le comité COMETA. Il évalue en tant que pilote professionnel l’altitude du phénomène à moins de 300 m, sa vitesse de déplacement à 400 km/h et sa longueur totale à plus de 1000 m.

Jean Jacques Vélasco ne manque pas de signaler les aspects significatifs de ce cas : 

Le fait du passage de l’objet entre des témoins visuels et des collines, permettant une évaluation des distances et donc des dimensions. 
Le trajet même de l’objet, descendant à grande vitesse à la verticale pour ensuite effectuer un trajet plus lent et à l’horizontale. 
Le phénomène physique des éclairages s’éteignant au passage de l’OVNI et se rallumant après. 
Les phénomènes de réactions des animaux. 
Le nombre colossal de témoins. 
La nature culturellement diverse des témoins: « M. Campagnac à peut-être lu de la science-fiction, mais il est assez douteux que les paysans malgaches aient tous été influencés par les comics de science-fiction US. » 
Le fait que le cas ne se produise pas aux États-Unis, suspecté d’être un terrain sociologique favorable à de tels phénomènes considérés alors comme illusoires ou frauduleux.

1er Novembre 1954 (Italie)

A Rome, à l’initiative des spécialistes sur ces phénomènes et de journalistes, un centre d’information et d’observation des espaces célestes voit le jour à cette date à Marina di Pietrasante en Toscane prés de Lucques, en raison du nombre important d’observations d’Ovnis en tout genre. 
Le but de ce centre est principalement d’étudier la possibilité de communication avec de possibles extraterrestres et de recueillir des témoignages relatifs à des apparitions d’objets.

3 Septembre 1954 (Tunisie)

Dans les champs proches de Souk-el Khemis, des travailleurs voient un objet volant au-dessus des habitations. Il reste immobile en position verticale puisse se met à balancer pour ensuite se déplacer en position horizontale et s’en aller.

18 Septembre 1954 (Italie)

Les radars du centre de surveillance de Pratica di Mare à Rome enregistrent un Ovni. L’objet aurait évolué durant plus de 40 minutes devant de nombreux témoins, dont des techniciens de l’aviation.

26 Octobre 1954 (Italie)

Des centaines de témoins déclarent avoir observé des engins en formes de soucoupes volantes, notamment dans de nombreuses régions de la Péninsule et le long du littoral adriatique.

27 octobre 1954 (Yougoslavie)

Une multitude de témoins racontent, à travers la radio et la presse, avoir observés des objets étranges volant très rapidement et en formations dans le ciel de Belgrade.

24 Septembre 1954 (France)

Des dizaines d’ouvriers de  » Sidelor  » affirment avoir aperçu six cigares volants entre 4h30 et 5h30 du matin.
Source : Journal l’Alsace du 25 Septembre 1954

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *