Publié le 14/12/2014
La vidéo obtenue par le journaliste David Collins montre des avions militaires dans le ciel de l’Arizona durant la nuit de l’une des plus célèbres observations d’ovnis au monde, en mars 1997.
Rappelons que les lumières de Phoenix ont été vues par des milliers de résidents de Phoenix en Arizona et que d’authentiques films amateurs ont mis en évidence des objets hors du commun.
L’explication officielle de l’armée américaine est que les lumières étaient des fusées éclairantes (ou « Flares »)
Le gouverneur de l’État de l’Arizona, Fife Symington, à plus tard avoué lors d’une interview :
« Je suis un ancien pilote de chasse et je connais les types d’engins actuellement en circulation… Je peux définitivement affirmer que ce que j’ai observé ne ressemblait à aucun engin réalisé par l’homme… Et ce n’était certainement pas des fusées éclairantes… »
La vidéo dont parle David Collins, actuellement inaccessible, a été postée par « KWBV News 6 » à Phoenix. Il prétend s’être procuré des images confidentielles de ce qui ressemble à un combat de chiens entre des jets de l’armée et des ovnis.
Elle a été postée sur une chaîne YouTube sous le nom de « David Collins ».
Le site de « KWBV News » prétend que « David Collins est un journaliste d’investigation, vivant à Phoenix en Arizona, et qu’il a travaillé aux côtés des forces de la coalition durant les opérations « Opération Liberté » et « Opération New Dawn » en Irak.
Cependant, après enquêtes, on se rend compte que le journaliste en question ne semble pas être David Collins tel qu’il est décrit. Et bien qu’il soit le seul à écrire pour KWBV, ses histoires sont principalement centrées autour de lui et écrites à la troisième personne.
D’autres récits évoquent des mutilations de bétail ainsi qu’une abduction en mars 1997, c’est-à-dire le même mois que les observations de Phoenix.
Sans oublier les histoires au sujet de la fameuse course qui mettait en scène le soi-disant plus infâme tueur de l’histoire de l’Arizona. Sachant que ni les personnes supposément disparues, ni le tueur n’étaient réels.
Une des histoires fait référence à un autre canal d’informations, « KUDP », dont il n’existe aucune trace.