« Selon le capitaine Ruppelt, qui fut en charge du projet Grudge : » toute évaluation reposait sur la prémisse que les Ovnis n’existent pas…. Des observations d’Ovnis valables continuaient à arriver au rythme d’une dizaine par mois, mais n’étaient ni contrôlées ni étudiées. La plupart étaient mis au rebut. »Le Projet Grudge, de tendance septique, doit tout expliquer par des phénomènes simples et naturels.
Ce projet rendit son premier rapport en 1949. Ce qui en ressortit était qu’il s’agissait souvent d’objets conventionnels, d’hystérie collective, de nervosité, de canulars et de personnes atteintes psychologiquement (se conférer au menu sur le modèle sociopsychologique).
On remarquait qu’il y avait un certain mépris du sujet et une possible campagne de mystification afin d’apprendre aux gens à ne plus voir d’Ovnis.
Le Projet Grudge fut mis en sommeil en mi 1951 puis réactivé en mars 1952 sous l’appellation du Projet Blue Book.