Publié le 11/06/2019
Le ministère de la Défense a discrètement publié les deux derniers « X Files » contenant des informations sur les enquêtes secrètes britanniques au sujet des ovnis.
Au cours des 11 dernières années, le ministère de la Défense a déclassifié 60.000 pages dévoilant les secrets d’une enquête gouvernementale sur des observations inexpliquées réalisées au Royaume-Uni.
En avril, les deux derniers fichiers ont été déclassifiés et mis à la disposition du public aux Archives Nationales de Kew où il est uniquement possible de les visionner physiquement car non disponibles en format numérique.
Les derniers fichiers publiés révèlent des aspects fascinants au sujet de la tentative des enquêteurs de comprendre le phénomène.
Ils exposent des éléments permettant de pointer du doigt une division entre ceux qui ont défini la politique sur les ovnis et l’état-major du renseignement de la défense (DIS), ce qui a entraîné une panne totale des communications entre ces deux structures.
L’équipe qui a défini la politique sur les OVNIS s’est montrée prudente et inquiète de ce que le public pouvait penser d’une enquête sur des avions inexpliqués repérés dans les cieux, alors que le DIS s’est comporté de manière beaucoup plus ouvert d’esprit en appelant systématiquement à des enquêtes plus approfondie sur les ovnis.
Nick Pope, ancien enquêteur sur les OVNIS au ministère de la Défense, a étudié les dossiers et déclaré être persuadé de l’influence du Royaume-Uni sur les États-Unis.
Il a déclaré à Metro: « Ces deux derniers fichiers sont particulièrement fascinants et je peux comprendre pourquoi leur déclassification a été retardée. Ils montrent à quel point un débat opposant « sceptiques » et « croyants » a fait rage au sein du MoD, avec une rupture totale des relations entre d’une part la division responsable de la politique sur les ovnis et d’autre part l’état-major du renseignement de la défense (DIS, qui a fourni des informations scientifiques et techniques à la division principale). »
« Tout cela est arrivé quelques années après mon départ, mais les documents montrent que la structure politique (là où j’ai travaillé) était sceptique et excessivement préoccupée par ce que les médias et le public pouvaient penser, alors que le DIS était plus ouvert d’esprit et voulait mener des recherches et des enquêtes plus approfondies sur le phénomène ».
En avril, les deux derniers fichiers ont été déclassifiés et mis à la disposition du public aux Archives Nationales de Kew où il est uniquement possible de les visionner physiquement car non disponibles en format numérique.
Les derniers fichiers publiés révèlent des aspects fascinants au sujet de la tentative des enquêteurs de comprendre le phénomène.
Ils exposent des éléments permettant de pointer du doigt une division entre ceux qui ont défini la politique sur les ovnis et l’état-major du renseignement de la défense (DIS), ce qui a entraîné une panne totale des communications entre ces deux structures.
L’équipe qui a défini la politique sur les OVNIS s’est montrée prudente et inquiète de ce que le public pouvait penser d’une enquête sur des avions inexpliqués repérés dans les cieux, alors que le DIS s’est comporté de manière beaucoup plus ouvert d’esprit en appelant systématiquement à des enquêtes plus approfondie sur les ovnis.
Nick Pope, ancien enquêteur sur les OVNIS au ministère de la Défense, a étudié les dossiers et déclaré être persuadé de l’influence du Royaume-Uni sur les États-Unis.
Il a déclaré à Metro: « Ces deux derniers fichiers sont particulièrement fascinants et je peux comprendre pourquoi leur déclassification a été retardée. Ils montrent à quel point un débat opposant « sceptiques » et « croyants » a fait rage au sein du MoD, avec une rupture totale des relations entre d’une part la division responsable de la politique sur les ovnis et d’autre part l’état-major du renseignement de la défense (DIS, qui a fourni des informations scientifiques et techniques à la division principale). »
« Tout cela est arrivé quelques années après mon départ, mais les documents montrent que la structure politique (là où j’ai travaillé) était sceptique et excessivement préoccupée par ce que les médias et le public pouvaient penser, alors que le DIS était plus ouvert d’esprit et voulait mener des recherches et des enquêtes plus approfondies sur le phénomène ».
Source : metro.co.uk