La CIA dévoile d’étranges cas d’ovnis en Espagne

Publié le 17/02/2016

 
La CIA vient de déclasser des centaines de documents d’enquêtes sur les ovnis. L’un des cas les plus notoires a eu lieu aux alentours de la tour de contrôle de l’aéroport de Reus, à 11h40 le 13 mai 1969.
 
 
Le rapport comportant la mention « confidentielle » rapporte les événements suivants : « le contrôleur assiste au décollage d’un Boeing 727. Lorsque l’appareil atteint 2.000 mètres, ils observent, en bas à droite de la piste et de l’avion, une tache lumineuse stationnaire et similaire à celle d’une pièce de monnaie de 5 pesetas. Cinq autres personnes (le copilote, deux mécaniciens et deux soldats) ont observé le phénomène.
Le contrôleur a décrit, à l’aide de ses jumelles, une forme circulaire (probablement sphérique) avec des taches lumineuses homogènes… »

Des enquêtes ont été réalisées, sans écarter la possibilité qu’il puisse s’agir d’un ballon largué par un établissement français. Néanmoins, le rapport a démontré que le centre français d’essais de « L’Adour » avait constaté que le lancement de certains ballons ne coïncidait pas avec les dates.

Du fait d’un manque d’explications, il a été mentionné qu’il puisse s’agir d’un phénomène de réflexion optique.

Il est important de noter qu’il s’agit d’une zone militarisée.

Un incident similaire a eu lieu le 11 septembre 1967.
 
Un avion charter en provenance d’Angleterre a rencontré un ovni, à 16.000 pieds, au nord de Reus (ville du nord-est de l’Espagne, en Catalogne), vers environ 17h35.
 
Le rapport explique que « La nature de ces objets n’a pu être déterminée « . Ce sont les hypothèses du ballon d’essai ou du satellite artificiel qui ont été mise en avant.
 
Dans le troisième enregistrement, Tarragona (à proximité de la base aérienne) a été le théâtre d’une observation le 12 décembre 1979 par le pilote d’un vol privé en provenance de Barcelone et à destination de Saragosse durant une « nuit sans lune claire et très sombre ».
 
Le rapport indique l’observation d’une lumière blanche très lumineuse et fixe.
 
Puis la lumière se réduisit à la « taille d’une tête d’épingle », avant de retrouver sa puissance initiale, au point de provoquer la surprise de l’équipage. Jusqu’à la Lleida, « la lumière a commencé à se déplacer de manière complètement désordonnée, puis latéralement et verticalement, avec des variations d’intensité lumineuse ». L’objet a ensuite disparu.
 
 
 

 

 

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