Exclusivité : suite des révélations sur le cas sensible de Forges-les-Bains
Un article signé Daniel Robin
Président de l’association Ovni Investigation
Responsable des enquêtes sur Ovnis-Direct
Source du témoignage : Ovnis-Direct
1) Une affaire qui soulève de graves questions
Il ne leur a pas échappé, en effet, que le témoignage de Monsieur F. (le témoin principal), allait bien au-delà d’une simple observation d’un objet volant non-identifié, et que les questions qu’il soulevait était de la plus haute importance.
La raison pour laquelle ce cas mérite toute notre attention est le fait que les engins observés par le témoin évoluaient près d’un site militaire de haute technologie abritant les installations de la branche radar de la société « Thales Air Systems* ».
2) Quel degré d’« implication » ?
De façon générale et théorique, il est possible de mesurer ou d’apprécier ce degré d’« implication » : il varierait entre le degré 0 (zéro) et le degré 2 (voir la note ci-dessous*).
Je propose une sorte d’échelle graduée dont vous trouverez le détail ICI.
En fonction des informations qui sont à notre disposition, nous pensons que, dans la réalité, le degré d’« implication » pourrait se situer « quelque part » entre le degré 1 et le degré 2.
En ce qui concerne plus spécifiquement l’affaire de Forges-les-Bains, la première forme d’« implication » qui vient à l’esprit repose sur l’hypothèse qu’il pourrait exister un circuit de rétro-ingénierie, ou ingénierie inverse, à l’intérieur même du groupe Thales.
Cette technologie serait dérivée d’une technologie d’origine extraterrestre. La source première de la technologie exotique pourrait provenir d’une épave de vaisseau qui aurait eu une avarie ou encore d’un « don » volontaire de nos « visiteurs » dans le cadre d’accords strictement définis. Il n’est d’ailleurs pas certain que Thales soit un bénéficiaire direct, ou de « première mains » si je puis dire, de la rétro-ingénierie. Les « labos » R&D de cette entreprise ne pourraient avoir accès qu’à des retombées secondaires.
Bien que difficile à mettre en évidence, l’existence d’un tel circuit est cependant acceptée par diverses sources indépendantes (dont une connaît Thales de l’intérieur). Cette source de l’intérieur possède bien évidemment le niveau requis pour valider cette hypothèse. D’après elle : « les informations dont Thales dispose grâce à « ceux venus du ciel », viennent essentiellement du plateau d’Albion (à l’époque où Thales s’appelait Thomson CSF), et non pas de Forges-les-Bains » (Limours).
Sur le plateau d’Albion : http://www.planete-revelations.com/t246-le-plateau-d-albion
Il va sans dire que la règle qui impose le secret absolu de nos sources s’applique ici dans toute sa rigueur.
Notons aussi que Thales a collaboré avec le géant américain Lockheed Martin (leader mondial des technologies liées à la défense et à la sécurité) sur certains projets sensibles.
IS & GS, à Gaithersburg (MD) pour le développement de l’application software du satellite.
Rappelons qu’Iridium Next est la seconde génération de la constellation de satellites de télécommunications Iridium. Les satellites, d’un poids chacun de 800 kilos et d’une puissance électrique de 2 kW, seront placés à 780 km de la terre, sur les mêmes orbites que les satellites de première génération. Le logiciel applicatif relatif à la constellation est réalisé par Lockheed Martin. Il passe avec succès la Revue Critique de Définition (RCD) en septembre 2012, démontrant que sa conception se situe à un haut niveau de maturité, et tout à fait dans les délais prévus cette nouvelle génération de satellites de communications, avec un premier lancement prévu pour 2015 (source : Wikipédia).
Cette modernisation vise à améliorer l’avionique de l’appareil, avec notamment des écrans tactiles, un suivi et une meilleure détection de cibles potentielles et un partage d’informations plus efficace entre les navires et les appareils en vol. Avec ces nouveaux appareils, la Fleet Air Arm (branche armée qui utilise des aéronefs embarqués sur les bâtiments de la Royal Navy) pourra effectuer des missions de lutte contre la piraterie, mais également, des évacuations sanitaires. Trente Merlin Mk1 doivent être amenés au format Mk2. Les premiers éléments devraient être opérationnels à l’été 2014. Les tout premiers Merlin ont été utilisés en opération en 2000 (source : defens-aero.com)
Thales Alenia Space Italie et Lockheed Martin Space Systems forment un partenariat stratégique. L’étroite collaboration entre Thales et Lockheed Martin renforcerait l’hypothèse selon laquelle Thales bénéficierait (ou aurait bénéficié dans le passé) d’une rétro-ingénierie d’origine extraterrestre. Nous avons en effet montré dans un autre dossier que Lockheed Martin aurait largement bénéficié de cette rétro-ingénierie lors de la conception du SR71* :
3) D’autres faits depuis la publication de mon premier rapport
En premier lieu, signalons un fait étrange et significatif. J’ai eu, en effet, Monsieur F. au téléphone qui m’a dit que peu après la publication de mon rapport, un employé de chez Thales était venu le voir chez lui. Le prétexte de cette visite était en rapport avec l’activité du témoin.
Cependant, Monsieur F. remarqua que le visiteur avait un comportement étrange. Il regardait avec insistance dans la direction de la colline où sont implantées les installations de la société Thales comme s’il cherchait à vérifier que de son domicile le témoin pouvait voir ce qui se passait au-dessus de ce site sensible.
Par ailleurs, Monsieur F. m’a précisé que l’engin discoïdale avait évolué très près d’une ligne à haute tension située au bas de la colline à quelques centaines de mètres juste en face de son domicile, et que l’engin serait même passé en dessous des câbles électriques. Selon lui, l’ovni cherchait peut-être à utiliser cette ligne haute tension comme source d’énergie.
Par ailleurs, en fréquentant les forums, j’ai obtenu des informations intéressantes qui semblent corroborer les affirmations de mon témoin. La première information concerne le dessin d’un témoin que nous appellerons « R », qui aurait observé un disque en tout point semblable à celui de Forges-les-Bains.
Ci-dessous : à gauche, le dessin de « R » qui a publié son récit sur un forum. A droite, le dessin que j’ai publié suite au témoignage de Monsieur F. La ressemblance est fort troublante quand on sait que les deux témoins ne se connaissaient absolument pas.
Voici les commentaires de « R » sur le forum : « Dans l’affaire de Forges-les-Bains le vaisseau représenté ressemble de façon frappante à celui de mon témoignage. Ce dessin je l’avais dessiné lors de la rédaction de celui-ci. Ce qui est troublant aussi, c’est l’allusion au vaisseau des deux abductés Betty et Barney Hill. A l’époque j’écrivais : sur le blog au-dessus de la photo de Betty et Barney il y a une soucoupe qui et très ressemblante à ma vision, sauf que, d’après mes souvenirs, les hublots étaient multicolores ».
Ci-dessus à droite : mon dessin effectué lors de la rédaction de mon rapport sur l’affaire de Forges-les-Bains.
« J’allais pour la première fois à pied, seule, chez ma grand mère. J’ai traversé la première rue près de chez moi et mon regard s’est porté au-dessus de l’immeuble qui se situait sur ma droite. Et là, à environ deux fois la hauteur de l’immeuble, une soucoupe était là. Elle faisait environ une dizaine de mètres de diamètre. A ce moment-là, je me suis frotté les yeux et lorsque je les ai ouverts, il n’y avait plus rien. Je me souviens d’une réflexion que je me suis faite lorsque j’ai quitté le quartier : c’était la rapidité avec laquelle la nuit était tombée.
Pendant 2 à 3 années je ne savais plus si j’avais rêvé, ou si réellement j’avais vu quelque chose. Mais un jour, je fis la connaissance d’une personne dans un centre aéré. Le sujet de notre conversation porta sur les ovnis. Lorsque je me suis mise à raconter mon expérience, cette personne m’a dit qu’elle avait vu aussi un objet au même endroit que moi mais qu’elle était de l’autre coté de l’immeuble à ce moment-là. Alors, nous avons pris chacun une feuille de papier et nous avons dessiné ce que nous avions vu à l’époque. Les dessins étaient identiques. Je me suis dit que je n’avais pas rêvé. Sur le blog au-dessus de la photo de Betty et Barney Hill, il y une soucoupe qui et très ressemblante a ma vision ».
Toujours en fréquentant les forums, je suis tombé sur un témoignage dans lequel nous trouvons l’observation d’un objet de forme triangulaire qui comporte des points communs avec celui de Forges-les-Bains. Nous appellerons les deux témoins de cette affaire : « D » et « P ».
Détails de l’observation :
Ville : Le Breuil.
Département : Saône-et-Loire (dép.71).
Pays : France.
Date de l’observation : 15/02/2010.
Heure du début de l’observation : 21h30.
Durée de l’observation : 5 minutes.
Conditions météo : ciel dégagé.
Nombre de témoins : deux, « D » et « P ».
Type de phénomène : ovni en forme de triangle.
Récit complet de l’observation :
« Bonsoir. Un soir d’hiver de l’année 2010, nous étions en promenade mon voisin et moi dans notre petit village (ou il n’y a malheureusement pas grand chose à faire ...). Du coup, nous avons décidé d’aller nous asseoir sur les escaliers du parking du supermarché de notre village (désert étant donné l’heure tardive, environ 21h30).
Au bout de quelques minutes, nous nous sommes levés pour nous dégourdir les jambes et nous avons commencé à marcher vers la sortie du parking. C’est alors que nous avons entendu ce qui nous semblait être un hélicoptère, nous avons donc levé la tête pour essayer de le voir dans le ciel, et c’est alors, qu’au loin, nous avons aperçu une grosse forme noire. Sur le coup, nous n’en n’avons pas fait de cas et nous avons continué notre chemin tout en entendant toujours le bruit d’hélicoptère.
Tout d’un coup, le bruit est devenu assourdissant, nous avons encore une fois regardé en l’air en pensant que l’hélicoptère volait plus bas que la normale. Soudain, à environ 8 mètres au-dessus de nos têtes, nous avons vu un objet volant de forme triangulaire, noir, d’environ 5 ou 6 mètres de longueur qui faisait le même bruit qu’un hélicoptère, mais il est arrivé au-dessus de nos têtes en à peine quelques secondes. Peut-être entre 10 ou 15 secondes !
Il était si près de nous, que j’ai pu voir le dessous de cet objet volant. Il y avait comme un circuit électronique de couleur or sur toute la longueur et il y a avait une lumière à chacune de ses extrémités : une blanche comme un flash d’appareil photo à son sommet, et 2 rouges sur les 2 extrémités inférieures (voir le croquis ci-dessous).
Nous avons observé cet appareil pendant environ 2 minutes, puis il s’est mis à nous flasher avec sa lumière blanche comme s’il nous prenait en photo. Il a fait cela plusieurs fois, et au bout d’un moment, nous nous sommes dit qu’il ne fallait pas stationner sous cet objet car au final nous ne savions pas ce que c’était. Nous nous sommes donc mis à courir et l’appareil s’est mis à nous suivre. Nous avons continué d’entendre ce bruit assourdissant qui nous suivait et la lumière blanche qui continuait de nous flasher.
Tout d’un coup, plus rien. C’était comme si il s’était volatilisé, plus de bruit, plus de lumière. Plus rien dans le ciel. Nous nous sommes arrêtés pour scruter le ciel mais il n’y avait plus rien. C’était comme si rien ne s’était passé.
Pour ma part, je n’ai jamais revu cet appareil volant. Et je suis formelle, ce n’était ni un avion de chasse, ni un hélicoptère. Malheureusement, je n’ai pas eu le réflexe de sortir mon téléphone portable pour le prendre en photo car sur le coup j’étais à la fois stupéfaite et terrorisée ».
Description précise de l’ovni : un appareil de forme triangulaire noir avec une lumière à chacune de ses extrémités (deux rouges et une blanche semblable à un flash d’appareil photo géant).
Taille du phénomène : environ 5 ou 6 mètres environ.
Comportement : il était tout d’abord à environ 500 mètres puis il est arrivé en à peine 15 secondes à environ 8 mètres au-dessus de nos têtes en faisant un mouvement stationnaire, puis il nous à suivit sur 100 mètres à la même vitesse que nous.
Bruit spécifique : Oui, comme le bruit d’un hélicoptère. Direction de l’objet en fonction du vent : déplacement contrôlé et indépendant.
Présence d’installations : zone commerciale et supermarché.
4) Analyses et commentaires sur la présence des hélicoptères à proximité de l’ovni
« Bonjour Monsieur Robin. Après avoir lu de nombreuse fois l’enquête relative à l’observation de Forges-Les-Bains qui me passionne, j’ai souhaité « creuser » la partie du témoignage consacrée à l’évolution des hélicoptères et vous soumettre le résultat de mes cogitations et de mes modestes recherches sur le net.
Premièrement, situons la Base aérienne 107 (située à environ 17 km, direction Nord Est de Limours).
Sources :
wikipedia
ba107.air.defense.gouv.fr
Remarque : il n’est sans doute pas anodin que le centre Thales de Limours soit si près de la
base aérienne militaire 107 (protection aérienne rapprochée).
Mission « MASA » ou Mesures Actives de Sûreté Aérienne,
Source : defense.gouv.fr
Je suis parti de l’hypothèse que le témoignage de Monsieur F. n’était pas un canular ni une méprise.
Mon objectif est d’essayer de répondre aux questions suivantes :
D’où venaient les hélicoptères observés ? Quelles unités de l’armée étaient impliquées dans cette opération ? Quel modèle d’hélicoptère a été utilisé ?
Les réponses à ces questions peuvent recouper d’autres informations provenant d’une enquête directe sur le terrain ou de la recherche de témoignages complémentaires.
Notons aussi que le site de Limours est situé dans une région exposée aux nuisances aériennes (survol d’hélicoptères) : limours.fr
« Parmi les sujets sensibles, les nuisances aériennes figurent malheureusement en bonne place à Limours. Retour sur les dernières évolutions intervenues récemment sur un dossier complexe. Les survols d’hélicoptères : Comme si tout cela ne suffisait pas, depuis un bon nombre d’années, nous sommes en proie à des survols intempestifs d’hélicoptères. Les plus nuisant d’entre eux sont des gros porteurs de l’armée de type « Frelon » et « super Frelon » qui opèrent sur le quart Nord/Ouest de notre commune. Après un rendez-vous avec le Cabinet du Ministre de la Défense le 15 juillet 2008, une visite de la base de Villacoublay et nos demandes réitérées, Monsieur Barnier, Sous-Préfet de Palaiseau, entreprend actuellement de faire le nécessaire afin qu’une réelle concertation puisse avoir lieu prochainement en vue de faire évoluer la situation favorablement ».
On trouve d’ailleurs une question sur le sujet à soumise à l’assemblée Nationale en 2008 :
http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-362QOSD.htm
« NUISANCES SONORES DES HÉLICOPTÈRES MILITAIRES À LIMOURS ».
La population locale est donc habituée au survol d’hélicoptères dans cette zone.
Le témoignage de Monsieur F. centré sur l’activité des hélicoptères observés fait ressortir les points suivants :
- les faits se sont déroulés le dimanche 15 décembre 2013 à 19h00.
- 5 hélicoptères minimum (ressemblant à ceux de la gendarmerie) étaient positionnés à environ 300 mètres de l’ovni.
- les hélicoptères tentaient d’éclairer la zone avec des spots mais sans succès car ils étaient trop éloignés de l’engin.
- le témoin a eu l’impression que quelque chose tirait depuis le sol sur l’engin, mais celui-ci a esquivé tous les tirs avec une grande facilité en se mettant en position verticale.
- départ de l’ovni.
- dispersion des hélicoptères.
Ces manoeuvres ressemblent à une tentative d’interception d’un objet volant avec des moyens assez conséquents.
Le nombre d’hélicoptères engagés peut aussi fait penser à un exercice militaire. Cependant, j’ai un peu de mal à imaginer un exercice nocturne du GIGN par exemple, ou des Forces Spéciales au-dessus du centre de « Thales Air System » un dimanche soir à 19h00 et sur le territoire français.
En cas de détection d’un engin volant non identifié, il est fait appel à un dispositif sous l’autorité du C.N.O.A (Centre National des Opérations Aériennes) basé au Mont Verdun (région lyonnaise) qui va déclencher une intervention aérienne d’interception. Dans le cas qui nous concerne, il est fort probable que c’est l’escadron d’hélicoptères 3/67 Parisis qui a été sollicité. Cet escadron dépend de l’armée de l’air et se trouve sur la base aérienne 107 à Villacoublay. Il fait partie des moyens engagés lors de missions de sureté aérienne : defense.gouv.fr
Caractérisques de l’hélicoptère utilisé : wikipedia
Source : avionslegendaires.net
Les mesures « MASA » (Mesures Actives de Sûreté Aérienne) :
Cette mission est assurée par des hélicoptères de type Fennec à bord desquels sont embarqués des tireurs d’élite. Elle a pour objectif d’intercepter un éventuel aéronef à basse vitesse (avion d’aéroclub, U.L.M., hélicoptères, ovni ?) dont la trajectoire peut le conduire dans une zone interdite, de l’arraisonner sur ordre de la Haute Autorité de la Défense Aérienne, et éventuellement de le détruire sur ordre du gouvernement.
Les équipages « MASA » participent à la sécurité lors des sommets des chefs d’Etats, des grandes manifestations publiques, ou lors des défilés parisiens du 14 juillet.
Conclusion : ce ballet aérien et cette mission aérienne n’a sans doute pas échappé à d’autres témoins : les employés du site Thales, les habitants de la zone de Limours et les militaires de la base aérienne 107. D’autre part, si mon hypothèse est exacte, une opération « MASA » à forcément eu lieu le dimanche 15 décembre 2013 vers 19h00 sur Limours. Ces opérations sont-elles couvertes par le Secret Défense ? Peut-on obtenir ces informations via le GEIPAN ou par Monsieur Luc Dini ? Quel a été le facteur déclencheur de cette interception : le signalement d’un engin depuis le site de Thales, une détection radar via le C.N.O.A, ou peut-être les deux ».
Notes* :
Quel degré d’implication ?
Caractéristiques du degré zéro : observation et détection à distance du phénomène ovni. Collecte de rapports d’observations et de témoignages. Enregistrements radar, films et photos d’ovnis. Récupération de divers matériaux dont l’origine n’est pas humaine. Analyses approfondies de traces au sol, d’échantillons de végétation, voire même d’implants. Le phénomène ne représente pas une menace pour la sécurité des états. Les autorités assistent impuissantes aux évolutions du phénomène ovni dans leur espace aérien. Pas de contact direct avec le phénomène, mais simple constat que le phénomène est bien réel.
2) Degré 1 d’implication.
Caractéristiques du degré 1 : observation du phénomène ovni avec contacts sporadiques et limités, sans influence directe sur les affaires humaines. Rencontres secrètes que l’on peut qualifier de « courtoises » entre des représentants de la civilisation (ou des civilisations) qui produit le phénomène ovni et des représentants terriens rigoureusement sélectionnés. Echanges d’informations, voir transfert limité de technologies. Démonstration des prouesses des ovnis pour montrer aux terriens leur supériorité technologique. Contacts avec le phénomène ovni, mais pas d’interférence notable avec les affaires humaines. Tout se passe à un niveau très confidentiel.
3) Degré 2 d’implication.
Caractéristiques du degré 2 : Il y a des contacts importants et fréquents au plus haut niveau. Collaboration active avec la civilisation extraterrestre. Il existe des échanges importants d’informations et des transferts massifs de technologies. Nous pouvons imaginer que dans le pire des scénarios, la civilisation extraterrestre exercerait un contrôle presque total sur notre planète. Les extraterrestres dicteraient les grandes lignes de l’organisation économique, politique et scientifique des états. Ils pourraient programmer notre avenir. Une infiltration des extraterrestres dans toutes les sphères dirigeantes de la planète est aussi envisageable. Ils pourraient même prendre une apparence humaine pour passer inaperçus. Dans ce scénario de l’extrême, les politiques seraient soumis aux extraterrestres. A ce niveau d’implication, tout est possible. Le phénomène peut alors représenter une grave menace pour notre planète et l’avenir de notre civilisation. C’est le pire des scénarios, digne des théories conspirationnistes les plus sombres.
4) Alternative.
Cependant, nous pouvons aussi imaginer l’hypothèse inverse, c’est-à-dire que les extraterrestres exerceraient un contrôle bénéfique et positif sur notre civilisation, avec l’intention de nous guider et peut-être même de nous « éduquer », pour nous permettre d’accéder à un niveau supérieur de civilisation. Le degré 2 implique des contacts étroits avec les extraterrestres, avec intervention et ingérence maximales dans les affaires humaines. Tout se passe à un niveau confidentiel mais les militaires et les scientifiques sont soumis au phénomène. Le phénomène dicte sa « loi », mais cette « loi » est destinée à nous faire progresser. Les extraterrestres auraient un « plan » destiné à orienter l’évolution de l’espèce humaine dans un sens positif pour nous.
Le SR71 a-t-il bénéficié de la rétro-ingénierie ?
En bref : la société Thales :
THALÈS EN ESSONNE : • Limours : 900 salariés, dont 76 % d’ingénieurs et de cadres. • Brétigny-sur-Orge (depuis 1973) : centre de compétence mondial dans le domaine de la billettique, 500 salariés. • Palaiseau, campus de Polytechnique (depuis 2006) : centre d’excellence dédié à l’innovation, 350 salariés, 80 doctorants et 100 scientifiques d’instituts de recherche.