Cas de Victimes d’Ovnis
C’est justement ce message que tentent de faire passer les débunkeurs afin qu’aucune enquête publique ou autre ne soit diligentée. Ils nous répondent comme à leur habitude qu’il n’y a aucun risque pour la sécurité nationale. Cette seule affirmation suffirait apparemment à lever tous les doutes possibles.
Ce que je vous présente ci-dessous est une sélection de cas que j’ai trouvé bon de décrire afin d’évaluer et de mesurer un autre visage de ce phénomène : la face sombre.
Car effectivement, contrairement à ce qu’on a souvent voulu nous faire croire, il y a bien eu des décès directement liés à des manifestations d’Ovnis, classés comme rencontre du 5em type.
Je tiens tout de même à préciser qu’il pourrait s’agir pour certains cas détaillés ci-dessous de rencontre avec des engins militaires de l’armée, nocifs pour la santé.
A Crixas (Goias), le 13 Aout 1967, Inacio De Souza tente de tirer avec son fusil sur un objet en forme de soucoupe au sol où sortaient deux personnages. Il est atteint à l’épaule par un faisceau de lumière émis par l’engin. Il s’écroule aussitôt et souffre de diverses douleurs par la suite, dont abdominales. Il perd très vite du poids et décède deux mois plus tard le 11 octobre.
En octobre 1974, dans le nord du Ceara, suite à une rencontre rapprochée, une institutrice soufra de nausées et de douleurs aiguës. Elle porta des brûlures sous forme de cloques. En 6 ou 8 mois environ, elle perdit 16 kilos et ne guérît jamais.
Le 23 Avril 1976, à Quixada, Luis Fernandes Barroso âgé de 53 ans, propriétaire d’une entreprise fit une rencontre rapprochée à la suite de laquelle il perdit toutes ses facultés puis beaucoup de poids par la suite. Il ne prononça presque plus le moindre mot depuis cette rencontre et décéda le 1er avril 1993.
En 1977, l’île brésilienne de Colares est visitée par des objets volants inconnus pendant des mois. On voit tous les jours toutes sortes d’engins de toutes tailles et toutes formes, arrivant par le Nord, depuis le ciel voire sortant des eaux.
Trente-cinq habitants de l’île sont blessés par des rayons dirigés sur eux par les objets. L’armée intervient, filme, photographie, interroge, la presse est là. Finalement, devant la menace, tous les habitants évacuent l’île.
» Le 24 mai 1978, l’incroyable s’est produit sur les pentes des plages de Baía Do Sol. La nuit était sombre, sans étoiles visibles dans le ciel. A 2 heures du matin, alors qu’ils se reposaient dans leur voiture à l’abri des fortes pluies, les journalistes de l’Estado Do Pará ont été réveillés par un faisceau de lumière puissant qui, aussi incroyable que cela puisse paraître, traversa la structure métallique du toit du véhicule. Alarmés, ils sont rapidement sortis de la voiture. Puis, quand ils furent à une petite distance de la voiture, ils a vu qu’un faisceau lumineux en forme de tube, d’environ dix pouces de diamètre, descendait d’au-dessus sur le toit de la voiture et traversaient le panneautage en métal. Tout ceci a continué pendant environ deux minutes. Quand ils ont commencé à prendre des photographies, l’engin qui émettait les faisceaux lumineux et flottait silencieux et stationnaires dans le ciel, a immédiatement éclairé toutes les cimes des arbres aux alentours « .
» Nous avons réussi à photographie les OVNIS une autre nuit. Je pense qu’en tout pendant ces veilles de nuit nous sommes parvenus à prendre plus de 200 photos. Pour commencer, nous avons perdu beaucoup d’images. Nous employions un film de très haute sensibilité, et un appareil-photo de Nikon muni d’un téléobjectif. Je n’ai gardé aucune de ces photos, et plus tard, sur des ordres du bureau du journal, la collection entière de nos photos a été vendue à un groupe nord-américain – je ne sais pas pour quelle somme « .
» Des choses très curieuses se sont produites pendant ces veilles. Au début, les engins apparaissaient la nuit, les marées hautes. Leur arrivée était annoncée par des flashes répétés, en moyenne de 7 à 9. A ce moment, nous commencions à nous sentir très endormis, et j’ai en particulier commencé à ressentir des sortes de nausées. Peu de temps après, l’engin commençait à apparaître. Nous n’avons jamais entendu le plus léger bruit provenant d’eux pendant leurs manœuvres dans le ciel, qui étaient habituellement très rapide « .
A savoir qu’une femme d’environ 45 ans soufra de brûlures sur la poitrine, et décéda huit heures après l’incident d’une crise cardiaque.
Prés de Cambrai, le 29 mars 1978, un jeune homme de 15 ans quitte le domicile de ses parents, vers 12h15 pour se rendre à son entrainement de football. On le retrouve quelques minutes plus tard inanimé à la sortie du village. Il est immédiatement transporté à l’hôpital où on lui décèle des symptômes incompréhensibles. Il affirme avoir été assailli par des nains sortis d’un objet en forme d’œuf lumineux. Des traces sont visibles sur l’herbe, à l’endroit où l’incident semble avoir eu lieu.
A 70 km au nord-est de Minsk en URSS, le 7 Septembre 1984, le pilote et le copilote d’un Tupolev 134, Vladimir Gotsiridzé et Y. Kabatchnikov, volant de nuit, sont frappés par un rayon lumineux émis par un ovni situé loin devant l’avion. Ils souffrirent de malaises graves et leur santé fut complètement détériorée.
Gotsiridzé décéda en novembre 1985 et Kalachnikov fut révoquée sans pension le 1er juillet 1985 pour inaptitude physique.
Le 28 Avril 1986 sur l’Ile au Crabes (Maranhao), un groupe de 4 pécheurs fut frappé par le phénomène et l’un d’eux Verissimo fut retrouvé mort avec des marques sur le corps. Les trois autres, Juvencio, Lazaro et Anselmo tombèrent malades avec des brûlures et des nausées.
L'appartement se trouvait au 1er étage d'une tour et la fenêtre donnait sur une pelouse où se trouvaient des peupliers d'environ 4 mètres de haut).
Entre 1h et 2h du matin, alors que son marie dormait, Ghislaine entendit un sifflement, ressemblant à un bruit de turbine. C'est alors qu'elle se leva pour aller voir.
Voyant des lumières jaunes et rouges qui ne cessaient de s'allumer et de s'éteindre, elle ouvrit la fenêtre et entrouvrit les persiennes d'une pièce dans laquelle elle se trouvait toute seule.
Elle remarquait l'aspect assez étrange du paysage où tout était blanc, comme si on était en plein jour.
Elle observa une soucoupe d'environ 5 ou 6 mètres de diamètre, surmonté d'une coupole opaque, de même aspect que la partie inférieure immobilisée au-dessus d'un petit peuplier. L'objet était d'aspect métallique et entièrement vert sombre.
Les lumières jaunes et rouges venaient du dessous de l'engin et elle entendait toujours ce petit bruit de turbine.
Ghislaine ne pouvait plus bougeait ni appeler, comme si elle était époustouflée par ce qu'elle avait devant elle.
Elle se trouvait à une vingtaine de mètres de l'engin qui finit par s'élever et filer en direction de Nanteuil-les-Meaux.
Le même objet semble avoir été vu au même moment par un gardien de nuit qui faisait une ronde avec son chien.
De même pour des gendarmes qui s'étaient étonnés de voir vers 1h ou 2h du matin " le ciel tout blanc d'un côté et tout noir de l'autre ".
Ghislaine se coucha vers 3h du matin avant de se lever quelques heures après vu qu'elle devait aller travailler à 5h30. Elle souffre déjà d'un mal de tête insupportable.
Elle raconta son récit à sa collègue puis à son patron qui lui conseilla de tout raconter aux gendarmes.
Quittant son service à 14h30, elle rentre chez elle et constate la présence d'une trace sur la pelouse, juste à l'endroit qui avait été survolé par l'engin.
Lorsqu'elle se rendit à la gendarmerie pour effectuer sa déposition, ils ne semblent pas l'avoir pris au sérieux.
Durant 13 mois et demi, Ghislaine souffre de maux de tête terribles, que rien ne parvient à calmer.
Le 8 octobre 1978, elle entra dans le coma à cause d'une thrombose cérébrale pendant un mois.
Elle devint par la suite handicapée, paralysée des 4 membres et ne récupéra que progressivement l'usage partiel de sa jambe gauche et de son bras gauche.
Sa carte d'invalidité, en date du 11 Juin 1991, précise que son taux en pourcentage de l'incapacité est de 80%.
Source
Je remercie Joel Mesnard et son ouvrage " Vérités et mensonges sur les Ovnis " qui a été mon principal support pour réaliser cette partie. Je recommande vivement cet ouvrage à tous les passionnés d'ufologie ainsi qu'à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur le phénomène, décrypté de manière magistrale par ce brillant chercheur et ufologue.
Ce sont les signes fonctionnels, lésionnels et généraux présentés par le témoin d'une rencontre de près, constatés parés la rencontre ou apparus le lendemain. Ils ne sont pas étudiés par les médecins septiques et sont souvent maladroitement ramenés par les enquêteurs.
On note souvent des troubles ophtalmiques de type conjonctivite photonique palpébrale et oculaire, allant du larmoiement avec sensation de sable sous les paupières, du coup d'arc et de la conjonctive des neiges, rougeur, œdème, hyperhémie, écoulement persistant après l'exposition, pouvant devenir purulent.
Atteinte rétinienne : phosphènes, scotome, baisse de l'acuité visuelle, cécité, transitoire ou durable,…
Lésion cutanée et sous-cutanée : éruption, rougeurs, abcès, furoncle, anthrax, contusions, plaies, hématomes, pétéchies, purpura, cicatrice nouvelle sans notion de plaie antérieure.
Brûlure au 1er degré, type coup de soleil cas le plus fréquent, au 2em degré, phlyctènes (bulles emplies de liquide séreux, décollements, pertes liquides), au 3em degré ou carbonisation profonde. Indolores, car les terminaisons nerveuses ont été carbonisées.
Brûlures atypiques : sous des vêtements intacts, brûlures profondes sans lésion cutanée, des muqueuses, des bronches.
Troubles digestifs : nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée, sang dans les selles et mélaena les jours suivants.
Syndrome d'irradiation : certains troubles font penser à une exposition à un rayonnement ionisant, radioactif ou autre, voire des micro-ondes. Ce sont des hémorragies digestives hautes avec hématémèse, basse ou rectale avec mélaena, associé à une atteinte général, leucémie.
Des morts, plusieurs au Brésil par brûlures, deux en Argentine et chez un aviateur russe par cancer galopant après avoir été frappé par un rayon cylindrique fin, à grande distance.
Sont aussi recensés comme symptômes des troubles généraux tels que la peur panique, tremblements, frissons, crampes, céphalées, perte de connaissance, agitation (immédiatement calmées par le regard de l'aliène ou par un crayon ou rayon immobilisateur), abattement, ou au contraire adhésion sectaire, euphorie, sentiment océanique, d'appartenance cosmique…
Source :
Magazine " Top Secret " n°46 .