Sachant que la plupart sont accomplis en silence avec de très fortes accélérations et/ou vitesse, avec dans certains cas l’arrêt des moteurs des véhicules terrestres à proximité, ainsi que la paralysie locomotrice des témoins.
De quelles technologies peut-il s’agir ?
Sommes-nous capables aujourd’hui sur terre de concevoir de tels prototypes ?
Où en sont nos connaissances à ce sujet ?
À supposer qu’il s’agisse d’engin venu d’un autre monde, comment auraient-ils pu se déplacer de si loin ?
Comme le souligne Hugo Nhart dans » Ovni, enquête sur des faits » : » L’énormité des problèmes logistiques que posent les voyages interstellaires devrait toutefois être évidente. La distance de la Terre à Alpha du Centaure (4,3 année-lumière) est supérieure à 40000 milliards de kilomètres. Une sonde se déplaçant à la vitesse de 40 kilomètres seconde, soit à la limite de nos possibilités technologiques actuelles, mettrait plus de 42000 ans pour accomplir le voyage « . voilà où nous en sommes aujourd’hui, officiellement du moins.
» Le phénomène Ovni soulève effectivement une suite de questions importantes. Comment des intelligences extraterrestres pourraient-elles traverser l’immensité des espaces interstellaires ? Puisque nous ne le savons pas, nous avons tendance à croire que personne ne le sait » résumé Auguste Meesen qui dénonce notre vision anthropocentriste du monde en plaçant vaniteusement l’homme au sommet de la pyramide de la Connaissance et du Savoir.
Pour en revenir au Paradoxe de Fermi, notre Soleil est né il y a 4,5 milliards d’années, mais à cette époque notre Galaxie avait déjà 8 milliards d’années. La vie avait donc eu largement le temps de se développer sur d’autres planètes et atteindre un degré de développement technologique élevé et ainsi en arriver à nous visiter.
Notons qu’après seulement quelques centaines de milliers d’années, l’ensemble de la Galaxie devrait être sous l’emprise d’une possible civilisation extraterrestre (a supposé qu’il n’y en ait qu’une seul qui aurait entrepris ce voyage). Car, si d’autres ET auraient décidés d’entreprendre ce périple, cela augmenterait considérablement les chances qu’ils en soient arrivés à nous.
Enrico Fermi demande donc : » si les extraterrestres existent, mais où sont-ils donc ? « .
Un million d’années ne représentent rien à l’échelle de la Galaxie, ils devraient donc être arrivés à nous et il ne devrait pas être impossible qu’on puisse les voir.
Ils auraient même pu nous visiter avant la naissance de l’homme sur terre.
À supposer que ces Ovnis observés sont d’origine exotique, beaucoup de spécialistes sont convaincus que ces êtres exploitent une source d’énergie inconnue sur Terre.
Une énergie qui bouleverserait toutes les lois de la physique telle que nous la connaissons. Sachant que ces accélérations supposent que ces vaisseaux disposent d’une technologie permettant d’annihiler les effets de la gravité sur les passagers, qui ne survivraient pas sans une protection adaptée à leurs organismes.
Théorie sur le mode de fonctionnement des Ovnis et hypothèses sur les supposés crashs
Un ami, que je qualifierai d’éminent penseur de l’ufologie et avec un important bagage scientifique, nous livre des explications à prendre très au sérieux, car tirées de son expérience dans ce domaine et de rencontres fortes intéressantes.
» En étudiant tous les témoignages en ufologie concernant des supposés crashs, des rencontres dites du type 3 ainsi que les témoignages d’abductés, on a souvent des descriptions similaires de l’intérieur des objets. Ces appareils sensés se déplacer à des vitesses hors normes avec des accélérations fulgurantes ne semblent pas avoir de machinerie intérieure à l’exception d’une sorte de tableau de commande, donc en quelque sorte des coquilles vides.
L’image qu’on a à ce moment c’est celle d’une balle de ping-pong sur un jet d’air, ce petit objet ne tient sur rien de visible et si on augmente brutalement le flux porteur il peut partir à toute vitesse.
On peut imaginer que l’énergie nécessaire au vol et au déplacement est certainement apportée à l’ovni par un système extérieur. Des essais dans notre technologie ont été faits et montrent la faisabilité. Il y a même des projets de centrale électrique solaire en orbite terrestre dont l’énergie produite serait transférée sous forme de micro-ondes jusqu’aux récepteurs au sol. Ne pas oublier le projet de Nikola Tesla sur la transmission d’énergie motrice par radiofréquences.
Ceci pourrait expliquer la présence d’ovni de très grandes tailles en orbite basse en même temps que des petits objets près du sol. Comme une sorte de vaisseau mère qui largue ses modules d’exploration et leur fournit l’énergie nécessaire avec un faisceau de rayonnement.
Et ce serait ce rayonnement associé avec les caractéristiques des constituants de la coque qui fournirait la motricité. Les halos entourant les objets en vol pourraient trouver leur explication, la propulsion MHD aussi produirait ce phénomène lumineux, mais celle-ci ne permet pas le vol stationnaire.
Il reste l’énigme des crashs. On peut se dire logiquement qu’une technologie très en avance sur la nôtre ne devrait pas connaître ce genre de mésaventures.
Il semble qu’il y a 2 possibilités :
– Soit l’ovni est très complexe avec une multitude de pièces et dans ce cas c’est mathématique : la fiabilité ne peut pas être égale à 100% et si les vaisseaux sont nombreux les accidents sont probables. Ces lois fonctionnent pour nos avions qui sillonnent le ciel par milliers chaque jour et qui connaissent des accidents rares, mais probables (dans le sens mathématique du terme).
– Soit l’ovni est une coquille vide, mais une coquille très particulière dont » l’excitation » par un faisceau d’énergie extérieure lui permet la sustentation et le déplacement. Dans cette éventualité, la fiabilité serait proche de 100% et les accidents pratiquement inexistants. Alors, pourquoi des crashs ? Il semble que l’explication la plus logique est l’interruption ou l’altération durable du transfert d’énergie. Quelle peut-être la raison de ce dysfonctionnement ?Le flash électromagnétique d’une explosion nucléaire est susceptible d’être la raison.
N’oublions pas que ces impulsions électromagnétiques produites par des charges nucléaires sont envisagées pour détruire l’électronique des systèmes d’armes bien terrestres. La plupart des crashs se sont produits à proximité de zones d’essais atomiques. L’intérêt du phénomène ovni pour les bases, les centrales, les aires d’essais et de stockage d’armes atomiques est récurrent, certainement parce que nos visiteurs y voient un danger pour leurs appareils.
De plus, la réaction de la coque aux hyperfréquences pourrait expliquer l’invisibilité au radar (alors que visuellement l’objet est présent, on a de nombreux témoignages concordants) la transparence d’une coque aux hyperfréquences est une garantie de furtivité, d’où l’intérêt supplémentaire des militaires. «
La Théorie des Unniversons
Ce qui voudrait dire que l’espace ainsi que des éléments cosmiques seraient utilisés afin d’effectuer des voyages interstellaires.
En interaction avec les Universons, un vaisseau serait donc capable de bénéficier de leurs propriétés cinétiques et de se propulser à la même vitesse, dans n’importe quel endroit du cosmos. Les champs de gravité artificiels ainsi crées permettraient en outre de compenser l’effet des très fortes accélérations sur les occupants.
Plusieurs scientifiques réfutent cependant cette idée.
C’est le cas d’Auguste Meesen qui songe plutôt à la matière sombre, amas de particules invisibles qui selon certains scientifiques constitueraient plus de 90% de l’univers, pourrait servir de source d’énergie aux vaisseaux interstellaires. Il explique même dans un article paru en 2004, intitulé » La propulsion des ovnis et les thèses de Claude Poher » que : » Si tout cela était vrai, il y aurait une réserve d’énergie utilisable devant notre porte, à l’intérieur même de notre système solaire et l’on peut penser que des ovnis, installés sur Mars ou des astéroïdes par exemple, s’y approvisionnent couramment. En tout cas, les observations d’ovnis ne suggèrent nullement qu’ils exploitent une source d’énergie conventionnelle « .
L’Antimatière
Lorsque l’on sait que ce type de propulsion produit 1000 fois plus d’énergie que la fission nucléaire, on se fait une petite idée de la puissance potentielle de cette technologie.
Selon le physicien américain Robert Lull Forward, spécialiste de la gravitation, ce système de propulsion sera sans doute disponible pour l’humanité d’ici quelques siècles.
Le problème est que la création et le stockage de seulement quelques milligrammes d’antimatière coûte aujourd’hui plusieurs milliards de dollars.
Le Projet Hyperdrive
Dans la perspective des voyages stellaires, ces scientifiques estiment que l’Univers pourrait être composé de 4 dimensions supplémentaires à celles que nous percevons, dans lesquelles la vitesse de la lumière serait plusieurs fois plus élevée que dans notre réalité.
En théorie, une propulsion utilisant un champ antigravitationnel répulsif serait capable de faire glisser un vaisseau spatial dans ces autres dimensions pour se déplacer à des vitesses extraordinaires.
La Lune ne serait donc plus qu’à quelques minutes de trajet, et Mars à 3 petites heures alors qu’il faudrait à l’aide de notre technologie actuelle 1 an.
L’USA Army est très intéressé par cette recherche même si l’application est encore loin d’être réalisable. Le projet a obtenu en 2005 le prix du meilleur projet de vol du futur délivré par l’American Institute of Aeronautics and Astronautics.
Le Docteur Franklin Felber, qui travaille aussi sur un système de propulsion anti-gravité dit : » En me basant sur les recherches actuelles, j’envisage le lancement d’émissions spatiales utilisant des vaisseaux capables d’approcher la vitesse de la lumière avant la fin de ce siècle (…) Les solutions que propose l’antigravité évoquée dans la théorie d’Einstein vont changer notre point de vue sur notre capacité à voyager au plus profond de l’univers « .
La MHD
Il s’agit d’une branche de la physique qui traite de la dynamique des fluides conducteurs en présence d’un champ magnétique. Le physicien Jean Pierre Petit, ancien directeur de recherche au CNRS, s’intéresse depuis longtemps à la propulsion des ovnis. Il expliquait à VSD en 2000 : » La magnétohydrodynamique est l’art et la manière d’agir sur un fluide, liquide ou gaz, en lui exerçant des forces électromagnétiques, à condition qu’il soit suffisamment conducteur de l’électricité. «
Il serait possible de propulser des engins (bateaux, voitures, avions…) à l’aide d’un aimant (ou d’un bobinage) et d’une source d’électricité. Les avantages sont nombreux : les déplacements seraient extrêmement rapides et silencieux. Seul problème : cette technique consomme une quantité d’énergie colossale.
Dans l’eau de mer, il est facile de faire circuler un courant au moyen d’électrodes posées sur l’enveloppe du mobile. C’est pourquoi la propulsion MHD a été expérimentée, pour l’instant avec succès aux USA et au Japon, sur des maquettes de navires, aussi bien de surface que sous-marins.
Dans l’air, naturellement isolant, il est plus difficile de faire passer un courant électrique, mais on sait rendre l’air conducteur au moyen par exemple de champs électriques puissants engendrés, là encore, par des électrodes appropriées (l’air, rendu conducteur, peut devenir plus ou moins lumineux, ce qu’on a observé autour des objets inconnus).
Quant au champ magnétique, il peut être créé comme pour les bateaux. Cependant, dans l’air, la propulsion est plus difficile à obtenir, puisqu’elle doit non seulement propulser le mobile, mais d’abord compenser son poids. Les champs électriques et magnétiques requis sont donc beaucoup plus intenses que pour un navire et, en pratique, il n’est guère envisageable d’obtenir les champs très intenses indispensables sans avoir recours à des bobinages supraconducteurs. Encore théorique jusqu’à il y a quelques années, leur mise en œuvre dans un véhicule aérien est, depuis 1991, une perspective crédible, avec la découverte de températures proches de l’ambiante.
La propulsion dans l’atmosphère ans hélices ou réacteurs, est donc en principe tout à fait possible par MHD, et le calcul montre que la puissance nécessaire n’est dans certains cas pas incompatible
Les premiers essais de propulsion MHD eurent lieu en France en 1976.
Si les ovnis utilisaient effectivement cette technique pour se déplacer, cela expliquerait leur vol stationnaire, leur déplacement silencieux et leurs accélérations prodigieuses sans » bang » supersonique. Ce qui résoudrait le mystère du halo de lumière qui souvent les entoure et qui serait donc de l’ozone ionisé.
Dans son ouvrage » Le temps manipulé « , Luc Mary pense que si nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements de la MHD sur Terre, des entités d’une intelligence supérieure utilise cette propulsion pour diriger leurs machines volantes : » Les OVNIS sont donc une vitrine de l’avenir technologique. Pour résumer les vertus du générateur MHD, celui-ci créerait un vide autour de l’engin lui permettant d’atteindre des vitesses fabuleuses. Et la forme la plus rationnelle pour un vaisseau utilisant ce champ serait précisément celle de la soucoupe « .
Ce sont Andrei Sakharov et J.P.Petit qui ont popularisé la MHD.
D’après J.P.Petit dans son ouvrage » Enquête sur les Ovnis » : » Nos fusées éjectent leurs gaz à une vitesse maximale de 2500 mètres par seconde, directement indexée sur la température, régnant dans la chambre de combustion. Comme celle-ci est nécessairement limitée par la tenue thermique des matériaux, la puissance d’éjection l’est aussi.
Plus on éjecte vite, plus on tire parti du moindre kilo du mélange carburant/comburant. C’est particulièrement intéressant quand on prévoit des missions de longue durée, comme un voyage aller et retour vers Mars. Or, il se trouve qu’il n’y a pratiquement pas de limitation à la vitesse d’éjection des tuyères MHD (…).
En 1972, dans des expériences effectues en France en sortie de tube à choc sur ces gaz très chauds et très conducteurs d’électricité, on enregistra des gains de vitesse de 5000 mètres par seconde sur une longueur de seulement 10 cm. Les canons à plasma de la guerre des étoiles ne sont d’ailleurs rien d’autre que des accélérateurs MHD qui poussent cette éjection jusque dans ses extrêmes limites, puisque celle-ci tangente alors la vitesse de la lumière « .
A savoir qu’il n’y a que les USA qui continuent les recherches sur la MHD.
Sources :
Magazine » ALIENS : Les OVNIS FACE A LA SCIENCE » N° 4
» Les OVNI et la défense : À quoi doit-on se préparer ? » (Broché) de Rapport Cometa (Auteur), Général Bernard Norlain (Préface).
» OVNIS : Enquête sur un secret d’Etats » de Egon KRAGEL et Yves COUPRIE