Récit d’une ufophile convaincue ou contactée ?

Publié le 03/03/2014

Témoignage recueilli par l’enquêteur Georges Metz, oct. 2013

* Ufofile : néologisme de Ufo = Ovni et Phile, littéralement : qui aime les ovnis.
Ce récit chronologique est celui de Christiane Douçot. (née en 1946) confrontée au phénomène Ovni dans sa généralité. Il fait suite au « Récit des phénomènes paranormaux que j’ai vécus ».
Pour rester fidèle aux événements, nous laissons la parole au témoin qui s’exprime librement.

1956 – 1959, La « comète » de Versailles

— Depuis mon tout jeune âge, je n’ai pas de souvenir réel de mon contact avec des phénomènes extraordinaires. Je me souviens d’un spectacle « son et lumière », la nuit, à Versailles, avec mes parents. Je devais avoir dix ou treize ans.
Le spectacle avec les fontaines lumineuses m’enchantait, le ciel très étoilé captait mon attention, quand j’ai aperçu une étoile qui se mouvait par bonds dans le ciel.
Je criai : — « une comète, une comète ! » . Tout le monde leva le nez au ciel. Ce n’était pas une comète. Mon père me rassura, —  » elle n’a pas de queue ! « . C’était mon premier objet volant non identifié. J’étais heureuse, plus personne ne regardait le spectacle du « Son et Lumière « . Tous les yeux étaient braqués vers l’étoile, qui accéléra soudain et disparut.
Ce n’était pas une étoile ! Ni une comète ! Alors quoi : un ovni ?

1966, Ovnis dans la région de Montpellier

— Je suis en faculté de médecine à Montpellier. Je rentre à Pérols, chez mes parents le soir en mobylette, quand j’aperçois un objet couleur aluminium dans le ciel. Des automobiles s’arrêtent pour le voir. L’objet est immobile et silencieux, puis part brusquement vers le nord avec une accélération qui me semble impossible pour un avion. J’en parle à mes parents dès mon retour. Ils me croient. Mon père, scientifique, est très ouvert sur ces sujets.
Le lendemain, on lit dans le « Midi Libre » que des objets lumineux ont été aperçus dans les monts de la Madeleine, collines situées à l’ouest de Montpellier, entre Sète et Montpellier.
Au même moment, dans le nord d’Alès, mon oncle Gilbert, qui circule dans un véhicule avec deux officiers, voit un objet inconnu et lumineux derrière eux, au point qu’il dépose une main courante à la gendarmerie d’Alès, pour signaler le fait. Or, mon oncle, officier artilleur spécialiste des radars et ingénieur, est apte à identifier un avion, ou un ballon sonde.
Je conserve encore la copie de cette main courante. Mon oncle, à présent décédé, m’a souvent parlé de ce phénomène qui l’a beaucoup impressionné ! Il disait que c’était comme un grand phare jaune intelligent qui les pourchassait…Ils avaient eu une belle frousse !

1968, Washington et New York, USA

— je suis aux USA, à Washington D.C. comme étudiante. Je travaille dans un restaurant français, réputé : « Chez François « . Je suis habillée en alsacienne et je sers une dizaine de tables à midi, occupées par des diplomates, des VIP etc… Une femme m’interpelle et me dit : —  » je vois que vous ne ferez pas ce job toute la vie » — Je réponds :  » I hope so » ! (j’espère bien !) Et vers 15h 30, quand je quitte mon service, je suis abordée, par un français, qui dit s’appeler M. Fournier, (je me souviens du nom). Je croyais que ce monsieur voulait me draguer, j’ai 22 ans !
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Il me parle de projets d’avenir et me dit que je suis connue de leur service (lequel CIA, FBI ?) Je pense qu’il se trompe mais il me rappelle que mon père, comme officier chimiste, est venu travailler avec des américains, qu’ils le connaissent etc…Moi, je n’y comprends rien, mais il insiste et prétend que je fréquente des diplomates, dont Maurice B. Je tombe des nues, car cela est vrai !
La conversation continue puis il me demande enfin, si je veux bien par l’intermédiaire de ce dernier, intervenir auprès du secrétaire d’État (Dean Rusk) pour faire porter des plans…
Je commence à trembler, mais j’insiste pour savoir le contenu de ces plans ? Il me montre des schémas d’engins et des formules, avec des coupes et des calculs, auxquels je n’y comprends rien …Cela ressemble à des dessins de soucoupes. Il y a des formules avec du silicium et du magnésium… Je refuse tout net et il part en disant que je pourrais le regretter un jour ! En effet, je le regrette à présent !
A New York, alors que je fais un stage de cytologie au French Hospital, (en attendant que la Révolution de 68 cesse en France), un homme me suit dans la rue en automobile. Je prends un autobus, pour rejoindre la 3eme avenue — j’habite la 86ème. Il suit l’autobus et s’arrête à chaque arrêt de celui-ci. Je suis intimement persuadée qu’il me guette. Je sors de l’autobus et rentre dans un building, me cache et n’en sors que deux heures après — il n’est plus là — ouf ! Je décide de quitter les USA au plus tôt. J’allais devenir parano !

Juillet 1969, Bruxelles, Belgique — Trois Ovnis pendant une panne électrique

— Je vis seule, dans un petit meublé avec un « velux » dans la salle de bains. Je travaille pour : « Cetelci et Gregg Associates », deux contrats précaires.
Une nuit, vers 22 h, panne d’électricité générale. Je veux en avoir le coeur net. Un petit bourdonnement m’intrigue, et mon petit chat est tout hérissé. Je me demande pourquoi cette vibration le dérange autant ?
Je regarde le ciel, en tirant une chaise sous le velux, pour découvrir, mais vraiment très près des toits, trois ovnis avec des lumières, trois gros phares sous le dôme, passant au-dessus des toits, n’émettant pratiquement pas de bruit, mais un chuintement. Ils accélèrent à toute allure et partent hors de mon champ de vision. J’ai tellement peur, prise de panique, que j’en fais pipi…que mes jambes tremblent et que je suis tétanisée. Le lendemain, j’appelle Danielle D.* au journal  » La Lanterne », pour lui faire part de ma vision. Elle me dit que des avions de chasse ont décollé la nuit pour poursuivre des engins…mais que le journal avait reçu l’ordre de n’en rien dire !
En effet, j’avais entendu, après le passage des ovnis, les avions qui vrombissaient … J’ai tellement peur que le lendemain, je fais ma valise et prends le premier train pour Paris, pour aller raconter cette aventure à une amie : Annick T. Je n’ai plus envie de retourner à Bruxelles ! J’y retourne quand même, pour placer le chat dans une ferme et arrêter mon travail. Grâce à Annick, je retrouve un job à Versailles, chez Satem (pastillages électroniques). Je ne veux plus entendre parler d’ovnis….

* Danielle Deschamps, alors journaliste à La Lanterne.

Note de l’enquêteur: Il n’a pas été possible de retrouver une confirmation de survol de Bruxelles par des Ovnis dans les archives de la SOBEPS, revue ufologique reprise par l’association du COBEPS de Patrick Ferryn.

1974, le 13 Juillet — La Faute sur Mer, Vendée

— En vacances à La Faute sur Mer, en Vendée, chez mes beaux-parents :
Vers 22 h, j’étends du linge d’enfant (j’en ai deux, Jean .Philippe, né en octobre 72 et Pierre né en décembre 73) sur une corde dans le jardin, je suis accompagnée de Monique Deuil, une amie et marraine de Pierre. Je vois un objet lumineux comme une étoile très brillante s’élever en silence et en grande parabole du nord-ouest au sud-ouest au-dessus de l’océan. D’abord à faible vitesse puis de plus en plus vite, (vitesse vertigineuse et point fixe.) J’appelle Monique restée à l’intérieur et l’invite à voir cette « étoile  » brillante fixe et lui raconte ce que j’ai vu. Elle regarde à son tour et l’étoile se remet en marche, reprend une parabole inverse et repart à toute vitesse, sud nord, et puis disparaît. Nous restons bouche bée. Aucun journal ne signale cette information.

1980. Épisode du changement de pneu, dans la forêt près de Noisiel, Seine et Marne : De curieux dépanneurs

— En plein hiver, de la neige partout. Je roule sur la route parallèle à la N4, en direction de Torcy où je dois prendre mon RER pour gagner Montparnasse. Je travaille aux Equipes Centrales à France Télécom. J’exerce alors la fonction de technico- commerciale ( Téléx, Spe5 Sagem et Fax) car je suis technicienne supérieure. J’habite alors à Lésigny, avec mon fils Yann, mes deux autres fils et mon mari, qui travaille la nuit, à Orly.
Mon pneu arrière gauche crève. Il fait très froid, au-dessous de zéro, et impossible de desserrer les boulons, faute de triangle. Je pleure, assise au volant de ma R5 bleue et puis je prie… Bien sûr, personne ne passe et ne vient à mon secours…!
Soudain, à la lisière de la forêt, je vois des hommes, des supers géants de 2 mètres. Peut-être des sportifs, qui viennent vers moi, habillés de combinaisons blanches avec une ceinture et des écussons sur les manches courtes en haut des bras, en forme de chevrons bleus. Ce sont des écussons comme le sigle de Citroën, mais en bleu, jamais vus !
Un seul homme se détache du peloton et me parle, avec un léger accent inconnu : Je pense avoir à faire à des membres, soit d’une équipe de sport qui serait étrangère, soit à des militaires, mais en manches courtes et en blanc l’hiver, sortant d’une forêt et à présent en train de crapahuter… Celui qui parle me dit qu’il va changer ma roue, et cela est fait en quelques secondes. Je ne sais pas comment les remercier et je balbutie des remerciements un peu idiots, et je leur souhaite de gagner au loto ! Idiot, mais c’est tout ce qui me sort par la bouche. Le chef apparent me rétorque — Prenez garde, c’est peut-être ce qui vous arrivera ! *
Ils repartent vers la forêt ! Je suis encore perplexe, un seul parlait, les autres étaient-ils muets ? Je crois avoir rêvé !

* L’avenir le confirmera avec le gain de mon époux au Tac o Tac !

Août 1981, Cagnes sur Mer, Alpes Maritimes

— Je suis assise à 7 h du soir sur ma terrasse avec mon mari, le père de Yann. Nous allions prendre un apéritif avant de dîner, quand nous vîmes un engin en forme de cigare, couleur aluminium, de la taille apparente de cinq avions, faisant route du sud au nord , dans l’ axe du Var, avec une vitesse uniforme, rapide comme un avion de ligne.
Mon époux, qui travaille dans une compagnie aérienne et qui a été aviateur, ne reconnaît pas cet aéronef et s’étonne de sa taille. Il me demande de ne jamais en parler. Il craint pour sa réputation au sein de la compagnie aérienne, à Nice.
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Il a vu comme moi, et n’a pas d’explication. Mais 29 ans après, il s’en souvient et devant notre fils Yann, il avoue avoir vu un OVNI. Mon fils, ne voulait pas le croire pendant des années ! OVNI pour moi veut dire : « On veut nous initier ! « .

Juillet 1983, Pérols, Hérault

-— Séjournant chez mes parents, pour des vacances à Pérols, j’ai vu un engin non identifié sur l’étang de Mauguio avec des boules de lumière rouge sortant du lac ou juste au ras des flots ; ma mère me dit : — C’est un ovni ! — Elle est toute bouleversée. Malheureusement, elle est décédée en 1999 et ne peut plus témoigner !
Il était environ 9 heures du soir sur la route de La grande Motte à Carnon, et nous longions ce lac. Le soleil était couché et le ciel était rose. Les boules lumineuses rouges étaient immobiles puis elles ont décollé en accélérant verticalement de la surface de l’eau et se sont évaporées ! J’ai émis alors l’hypothèse des gaz des marais, mais, je n’avais pas encore vu le décollage.

De 1984. Pas d’observations jusqu’à : janvier 1992, Pourrières, Var. Rencontre d’une soucoupe avec humanoïdes.

— Mais à mon souvenir, le 2 Janvier 1992 à 18 heures, j’étais en train de rouler sur l’autoroute A8, de Nice à Aix. Il avait beaucoup plu.
J’atteignais la deuxième sortie de Pourrières, avant Aix, quand sur ma gauche, à l’ouest du mont Olympe, une soucoupe en sustentations m’a agréablement surprise. D’environ 12 m de diamètre, ovoïde, avec des hublots et des êtres humains derrière ces hublots…Elle ne tournait pas sur elle-même. Composée de bandes traversantes sombres et claires et des lumières statiques, sans mouvement, en suspension dans l’air. Il y avait des formes humaines qui bougeaient derrière les hublots rectangulaires, je les ai vus nettement, c’était habité ! Ils semblaient me regarder ! Je leur fis un petit signe de la main. La distance apparente entre mon véhicule et l’engin était d’environ 50 à 60 m, à 15 m au-dessus des arbustes. Silence total, et aucun véhicule ne s’est arrêté. Je continuais de rouler avec une joie indicible, médusée et ravie. Pourquoi ? J’aurais dû stopper. Je ne comprenais pas ! Je continuais à rouler … Enfin la soucoupe a démarré en trombe et s’est volatilisée…! (voir dessin en annexe).
Je repensais alors à un étrange message reçu deux nuits plus tôt à l’intérieur de moi, (télépathie) avec une voix métallique disant : — « Tu retrouveras les petits frères, entre Pourrières et prison centrale  » (sic). J’en avais touché deux mots mon amie Anne Marie Martin à Cagnes, (résidant à Vichy, à présent), et nous avons cherché sur le Quid, « Pourrières » et les prisons alentour. Rien trouvé, excepté la ville de Pourrières, non loin de Transe-en-Provence…
Et soudain je compris : « prison centrale », mots du message, signifiaient AUBAGNE. Dès mon arrivée à Pérols, je téléphonais à Anne-Marie pour lui faire part de mon observation.
En effet, l’objet était stationné en l’air, à mi-distance entre Pourrières et Aubagne.
Je ressentis cette vision comme un vrai cadeau du ciel et je commençais à étudier l’Ufologie avec plus d’attention, à partir de cette date. Un certain nombre de personnes que j’ai rencontré depuis, avait plus au moins abordé le problème Ufo, (Patrice Clary qui travaillait aux télécom, avec moi etc.. cf les invisibles du col de Vence etc…
Les récits de tout acabit foisonnaient… Je travaillais, je me remariais et je retournais vivre à
Pérols, près de ma mère en 1993. J’ai bien vu quelques lumières dans le ciel, en compagnie de
Jean Fumeau, venu me rendre visite en fin d’année 94. Nous prenions des photos, et nous vîmes beaucoup d’Ovnis au-dessus des monts d’Auvergne.
 
Un dessin réalisé par le témoin, a permis de reconstituer la scène de l’ovni observé au- dessus de l’autoroute A8 entre Saint Maximin et Aix en Provence.
Le vaisseau en sustentation à 15 mètres du sol, est décrit de forme ovoïde de couleur beige métallisé avec au centre, des bandes blanches séparant une rangée de hublots rectangulaires derrière lesquels se profilent des passagers d’apparence humanoïde.
La particularité de cette vision onirique a fait suite à un étrange message reçu deux nuits plus tôt prévoyant cette rencontre.
Nous ignorons si d’autres automobilistes ont pu voir cette soudaine apparition. Il est permis d’émettre l’hypothèse que la sensibilité particulière du témoin serait sensible à la présence rapprochée d’un objet d’origine extraterrestre modifiant l’espace-temps. Une fréquence imperceptible aux personnes insensibles à cette gamme vibratoire.
 

31 décembre 1994 Pérol, Hérault — La photo d’un « petit gris »

— J’ai pris des tas de photos argentiques, et une de ces photos, derrière la vitre de ma cuisine, m’a fait beaucoup rire :
C’était un petit nain, avec de grands yeux, qui nous regardait, un petit gris ? (cf. le cliché).
Je l’ai envoyé à Jean Fumeau, en souvenir de sa visite. Je pense à lui, en ce moment, (2013).
Il est alité à l’hôpital, et m’a souvent demandé de témoigner devant les caméras, comme il l’avait fait, lui-même. Il avait annoncé le séisme de Kobé et l’intervention des Frères de l’Espace. C’est comme ça qu’il les appelait.
Pour lui, la plupart venait d’Acturus…Il était passé plusieurs fois à la Télé, sur la 2, avec Monsieur Jacques Carter, dont j’avais lu le livre et que je voulais connaître. J’allais à toutes les conférences sur les Ovnis, rencontrant plus de charlatans que de réels contactés.
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NDA – Roland Gonsalès, un ufologue régional est aussi un gendarme en fin de carrière. Il a rencontré Christiane le dimanche matin du 10 novembre 2013. Elle reçoit un appel téléphonique. Triste coïncidence tragique : Jean Fumeau est décédé à 10 h, ce matin.
Le jour même où il était question de le joindre pour qu’il confirme son témoignage.
Dans les enquêtes il y a souvent des déconvenues, mais là, c’est comble de malchance.
On comprend les ufologues qui ont parfois envie de tout laisser tout tomber.
 
Roland a établi un rapport dans le style gendarmerie dont nous pouvons citer un extrait :

— Je souhaite livrer mon témoignage sur des événements étranges vécus tout au long de ma vie (ces cinquante-cinq dernières années) et pour lesquels je ne suis pas encore parvenue à trouver d’explication rationnelle.
C’est pour cette raison que j’ai décidé de faire appel à monsieur Georges METZ dont j’ai lu dernièrement le livre « OVNIS en France.
Je vous remets, à l’appui de mes déclaration un document photographique. Il s’agit du film d’une photo argentique. Pour vous situer le contexte, cette photographie a été prise un 31 décembre. Je ne suis pas sûre de l’année (1994 ou 1995) mais je souviens que c’était après le décès de mon beau-père.
Nous revenions d’Auvergne, avec Jean. Sur le chemin du retour, nous avions observé plusieurs engins étranges au-dessus des monts d’Auvergne, mais nous n’avons pas pris de photos. Nous sommes rentrés à ma maison de PEROLS (34). C’était le soir du réveillon et nous étions seuls à la maison, Jean et moi. En fin d’après-midi, vers 19 ou 20 heures, j’ai voulu terminer ma pellicule en prenant une photo par la fenêtre de la cuisine. C’était la dernière de la série et je n’étais même pas sûre qu’il en restait une. Sur le coup, je n’ai rien observé de particulier et j’ai amené ma pellicule à développer dès que possible. C’est quand j’ai récupéré les tirages que j’ai été intriguée par cette photo. Comme Jean est un ufologue convaincu, l’idée m’est venue de lui envoyer cet original en guise de carte de bonne année, assortie d’une légende humoristique, du style :
 » Les petits frères te souhaitent une bonne année ».

En faisant des recherches dans mes archives, à votre demande, je viens de retrouver le négatif original de la photo. J’accepte de vous confier pour étude et expertise éventuelle par monsieur Georges METZ. Les photos qui précèdent sont celles d’une promenade à cheval, en Camargue, avec mon amie Jeannine. Cela pourra peut-être aider à préciser l’époque.

Examen du film argentique

Il s’agit de la fin de bande d’un négatif couleur Kodak 200 ASA avec masque orangé.
Un cliché a été réalisé en macro noir et blanc par transparence, sous éclairage tamisé.

L’image qui nous intéresse est l’avant dernière en fin de bande. La photo est prise façon portrait sur un coté de la fenêtre, dont on distingue le montant central sur le film.
En inversant le négatif par transformation informatique, on obtient l’image positive.
Celle-ci est tout à fait semblable à la photo procurée par le témoin, Christiane Douçot.

Sans trop d’imagination, on y voit la silhouette d’un personnage mince, avec un cou frêle et une grosse tête avec des grands yeux. On ne voit rien qui ressemblerait à des bras. L’ensemble un peu flou, est entouré d’une sorte de brume.
C’est la représentation typique qui est faite, de l’humanoïde extraterrestre de type  » petit gris ».

À moins qu’un plaisantin soit venu s’agiter de nuit, derrière la fenêtre de cuisine, nous ne savons pas comment cette image a pût se former sur le film.
La dernière image du film ne montre rien d’autre qu’une exposition à la lumière ambiante.

Faudrait-il donc imaginer l’hypothèse hardie, que le phénomène ait la possibilité d’influencer une surface sensible avec la complicité ou à l’insu d’un témoin ayant des facultés de médium ?
La science de l’information devrait trouver là, un terrain propice à explorer.

1995, Paris — Ovni et panne de batterie

— Appel de France 2, je vais témoigner sur les Anges à Paris, dans l’émission de Tina Kieffer.  » J’y crois ou j’y crois pas » . Bien que je n’ai pas peur, je passe la première et je ne suis pas très à l’aise à l’émission. Je rencontre beaucoup d’écrivains et mythomanes charlatans dans cette émission et quelques voyantes étonnantes…Une jeune fille de France Télécom, qui capte l’esprit de Jacques Brel et transcrit sa poésie !

je me rends au lycée pour chercher Yann vers 17H, je parque mon véhicule Honda, sur le parking, près du lycée, et aperçois dans le ciel clair un objet lumineux non identifié, une demi minute environ, puis disparition subite . Mon fils arrive, monte dans l’auto, et j’essaie de démarrer, mais la batterie est vidée ! Or j’avais fait quelques kilomètres avant et elle avait eu le temps de charger. Par chance, au magasin  » Carrefour « , en face du lycée, j’ai pu en racheter une neuve. Ils ne sont pas toujours sympa, ces ovnis !

L’été 1995, Col de Vence

— Pique-nique avec quelques amis. Des avions que je « filme en 8 mm, semblent faire des acrobaties particulières avec des accélérations et des virages à angle droit ! Je n’ai jamais vu ça ! En me rendant à Tourettes, au lieu-dit  » l’oreille » avec Jean Fumeau et Valérie :
Observation d’engin, un peu sombre, métallisé, vers la montagne. Estomaquée, à cause de l’émotion, je redémarre, marche arrière. La Honda s’encastre dans un poteau, je froisse de la tôle. Mes deux amis sont éberlués, Jean dit : —  » Il y a des mauvais Ovnis, comme il y en a de bons  » ! — Je vais finir par le croire !

Juillet 1997, Villefranche sur Mer

— Je rends visite à mon maître de sculpture Nicole D.* à St Michel près de Villefranche.
Elle me laisse son fils à garder. Il a des fractures aux bras, et part pour le weekend. Je dors dans sa chambre, et la nuit une grande lueur blanche me réveille. Les volets sont fermés, je ne comprends pas, je regarde les réveils, il y en a trois, il est alors 3h 10.
Je me rendors et le matin, les réveils marquent encore 3h10, je regarde les piles, elles sont toutes hors service. Le lendemain à midi, je suis sur la terrasse avec une vue imprenable, sur la rade de Villefranche.
Valérie, une amie, est venue déjeuner avec moi. Je lui raconte l’anecdote de la nuit, et à ce moment-là, dans le ciel au-dessus de Villefranche, une lumière clignote trois fois.
Valérie monte sur la chaise et hurle : —  » Ce sont eux, ce sont les petits Frères » !

Ces petits signes lumineux, je commence à les voir souvent quand je conduis sur l’autoroute…
Suis-je en train de devenir parano ? Je me sens reliée, contactée, protégée par des forces invisibles…
Quand il y a danger, ou si je dois ralentir, les lumières interviennent parfois en clignotant deux ou trois fois. Je fais alors des photos comme celle de Pompéi. On dirait que je suis enfin autorisée à photographier les phénomènes. (cf photos) J’en parle peu, ou à des personnes averties.

Episode d’Aix en Provence : Aire de Lançon : Gonflage des pneus par des inconnus et téléportation

Je suis à la hauteur du restoroute, avant la sortie vers Montpellier. Je m’arrête pour gonfler les pneus, à l’automatique gratuit. Deux personnes, en blanc, en jogging, que je crois être là pour nous aider et faire de la publicité, me demandent de ne pas sortir du véhicule et disent qu’ils vont faire le gonflage pour moi.
Un homme et une femme jeunes — je crois avoir à faire à des marchands de pub pour station automobile — Je les laisse faire, et ils me souhaitent —  » bon voyage ». Je reprends la route non sans avoir regardé l’heure. La montre marque 11h 30, et je me retrouve presque aussitôt devant le château de Lamanon où j’ai habité. Je regarde la montre, il est 11h32 !
Je ne sais pas comment je me suis trompée de route, devant aller à Montpellier ? Et il y a plus de quarante kilomètres, entre le gonflage et Lamanon. J’ai parcouru la distance en un temps record ! Deux minutes ! Ma Rover décapotable a du se transformer en Ovni…Mais je n’ai ni témoin, ni preuves et je m’en étonne encore ! Qui saura m’expliquer ce phénomène ?

1997, Pompéi, Italie

— j’étais avec ma soeur Catherine, décédée en 2000. En développant la pellicule de la visite, deux engins qu’on n’avait pas vus, (cf photo)
Tous les clichés que j’ai pris, montrant des phénomènes insolites et non expliqués ont été confiés à Jean-Marie M. qui en fait un petit film. J’en ai fait aussi un CD.
 

Février 2000 – Guadeloupe

Février 2000 – Guadeloupe
Nous ici en présence d’une série de photos d’objets inconnus pris lors d’une visite touristique en Guadeloupe et aux Iles Saintes.
Un étal de pêcheurs au bord d’une plage avec un objet insolite dans le ciel, qui fait penser à un parachutiste avec un gros paquet noir sous un parachute jaune.
Rien de commun non plus, avec un quelconque ULM.
Reste l’hypothèse la plus vraisemblable d’un ballon et d’une nacelle.
Difficile de se prononcer sur cette image.
 
 
Les deux autres images suivantes prisent aux Iles Saintes montrent chacune un objet allongé ne correspondant à aucun avion sans ailes, ni à aucun ballon dirigeable. Si s’était le cas, celui-ci n’aurait pas manqué d’être signalé dans le secteur.
L’Ovni fait penser à l’un de ces vaisseaux-mère de type « cigare » larguant parfois de plus petits Ovnis d’observation, à proximité de notre planète Terre.
Une recherche d’archives ne nous a pas permis de retrouver le signalement du phénomène.
 

Septembre 2004, Cassiglio, Italie

Le cliché montre trois traces lumineuses laissées dans le ciel pendant le bref temps d’exposition de la photographie. Si trajectoire il y a, elle n’est pas rectiligne.
Il pourrait aussi s’agir d’un faisceau courbe tronqué.
 


Antibes, 6.12.2004

Ici, on peut voir deux points brillants dans le ciel.

 

3.02.2005, Cannes. Des orbes au-dessus de la ville.

 

Février 2005 , Var

Deux gros points lumineux flous, d’un bleu intense sont aperçus dans le ciel.
La photo ne permet pas d’identifier ces lumières à des objets connus.

 

Mars 2005 – Col de Vence

Plusieurs taches de lumière colorées sont saisies par l’objectif photographique.

 

Encore des lumières de toutes les couleurs dans le ciel.
Cette fois, ce sont des lumières disposées en triangle ou un groupe multicolor.

 
 
Au coucher du soleil, ce sont trois points disposés en triangle semblant faire partie d’une structure qui stationne dans le ciel.
 
21.03.2005

Le soir, c’est l’apparition d’une forte lumière oblongue à hauteur des arbres
 
22.04.2005, Monts des Albères, Pyrénnées
 

Similitudes – Août 1986, Greenwich, Londres (G.B.)

Une amie de Christiane, Muriel B. avait pris une photo de son fils à Greenwich Village, près de Londres, en août 1986.
Sur cette photo argentique qui a été difficile à retrouver, on voit un jeune homme, fervent navigateur, se tenant sur un cordage de son bateau. Outre le caractère familial de cette photographie touristique, il a été découvert des anomalies qui n’avaient pas été perçues à la prise de vue.

La première anomalie est cet objet dans le ciel, constitué de trois points disposés en triangle.
La curiosité inattendue est la similitude flagrante avec l’objet photographié en 2005 au Col de Vence et au Monts Albères. On pourrait penser à un copié collé du même objet constitué de trois taches noires appartenant à une structure identique.
Quand on regarde bien, on peut voir que si la disposition est semblable, les écartements sont légèrement différents.

Deuxième anomalie, l’objet allongé que l’on voit dans le ciel tout en haut à gauche de l’image.
Celui-ci est tout à fait semblable à l’objet de type « cigare » découvert sur les photos de Guadeloupe aux Iles Saintes, en février 2000.
Cela fait beaucoup de similitudes étranges étalées dans le temps, mais proches par les personnes amies ayant des dispositions favorables à recevoir ce type de phénomènes.

 

2.05.2005, Anomalie ciel du Var
 

6.05 2005, Cap Esterel
 

14.05.2005, D 21 Alpes-Maritimes

 

Toujours des anomalies dans ciel. De nuit comme de jour.
Ici, de curieux nuages photographiés depuis une voiture, dont on voit le dessin du détecteur de pluie sur le pare-brise, en haut à gauche.
 
2005 – Panne d’électricité générale, à Vallauris.

Explication donnée par EDF, peu probable.
Vers 20 h, ciel clair. Je suis allée prendre quelques photos et voir si la panne s’était étendue
Jusqu’ à Cannes. Le résultat est sur la photo numérique.(cf) un objet d’une taille gigantesque apparaît dans le ciel. Il s’éloigne vers l’ouest. L’électricité revient une heure plus tard !
Je ne sais plus la date, en août 2005, je crois. Les infos ont parlé de rupture de câble.
— J’ai pris la décision de témoigner de cette expérience insolite depuis deux jours, nous sommes le 24 août 2013. Je vais avoir 67 ans le 20 Septembre. Je ne mens pas.

 
Septembre 2005, Madone d’Utelle, Alpes Maritimes.

— Le 25 septembre, le dimanche après mon anniversaire où j’étais venue visiter les lieux vers 17 h. Nous étions seuls avec Jean-Pierre H. Un immense engin nous a survolé alors que nous redescendons vers Roussillon, route déserte. Peu de temps auparavant, dans l’église, alors que nous étions assis, pour prier et contempler l’église, une vibration telle un séisme léger nous a décontenancés. Nous sommes sortis en vitesse et avons vu l’Ovni gigantesque de plus de 25 m de long et environ 8 à 10 m de haut, gris argenté, qui passait du Sud au Nord vers la Tour, village dans la Tinée, à vitesse réduite de 30 à 40 km/h. apparent et accélérant soudain pour disparaître hors de notre vue.
Malheureusement nous sommes les seuls témoins de ce phénomène. J’ai, plus tard rapproché ce ressenti de vibration avec une observation ultérieure.

 

NDA – Le témoignage est concis, mais bien explicatif du phénomène d’abord ressenti physiquement, avant de se précipiter au dehors pour voir de quoi il retourne.
Le dessin du témoin est remarquable de réalisme et la description est suffisamment précise pour estimer les dimensions d’un objet rapproché.
Nous sommes ici en présence de l’observation d’une classique « soucoupe volante » vu de près.
Tout, ou presque y est pour accepter ce témoignage comme véridique.
On est en droit de retenir l’hypothèse du témoin réceptif et ciblé par une intelligence pour recevoir cette observation
Nous allons faire notre possible pour faire confirmer le phénomène par le second témoin.


27.11.2005, Points curieux dans les nuages
 

5.10.2013. Baie des Anges
 

Une vue d’ensemble de la Baies des Anges, dont le ciel va montrer une curieuse activité.
 

C’est une bizarrerie dans le ciel, qui a incité le témoin à prendre cette seconde photo.
Un détail agrandi et accentué numériquement permet de voir une traînée dans lequel on peut nettement voir un triangle plus foncé.
Quelque chose qui aurait marqué un temps d’arrêt pendant l’instantané de l’exposition photo ?
L’ovni aurait donc été pris, ou bien se serait laissé prendre pour faire plaisir au témoin.
Toutes les options paranormales, à caractère psychique, sont envisageables dans ce lourd dossier ufologique. Des personnes sont plus sensibles que d’autres à recevoir ces phénomènes qui dérangent le sens commun des choses dites naturelles de l’entendement.
Nous ne remercierons jamais assez les témoins, comme Christiane, de nous laisser rapporter ces événements hors du commun difficiles à comprendre.
Le constat est clair. Le phénomène Ovni est autre chose que de simples véhicules matériels comme on les entend dans notre physique.
Il faut envisager et explorer les capacités de l’esprit dans la constitution de la matière.
Certain de nos scientifiques s’y emploient dans le domaine quantique.
La plus large diffusion de ce rapport est donc recommandée à la communauté ufologique pour information et réflexion par les publications spécialisées.

Déclarations et textes du témoin, madame Christiane Douçot.
Témoignage recueilli par l’enquêteur Georges Metz, oct. 2013

 

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